Spiritisme…

…Etat des lieux

 

Le Spiritisme en France…

 

   

Amis…

Nous voici réunis dans la souffrance immense que vous croyez seulement appartenir à vos Plans, alors que dans les nôtres -ces Plans lointains que vos yeux ne peuvent encore pénétrer- nos cœurs fluidiques sont déchirés par une tristesse et une souffrance immenses au spectacle de gestes que nous avons été obligés de contempler dans cet accomplissement qui n'en finissait pas de gestes d'errements, et, dois-je le dire, de… destruction.

Pourquoi ne pas prendre exemple sur ces pays lointains où la foi intense, vibrante mais la foi primaire d'êtres qui sont encore à des niveaux élémentaires de spiritualité, cette foi porte pourtant vers nous, venant de ces êtres à genoux, l'intensité de leur amour, de leur espoir, de leur attente alors que des êtres glissent, glissent sans cesse sur une pente sans vouloir faire le geste de tendre la main pour attraper en chemin la moindre racine qui pourrait freiner ou arrêter leur chute…
Nous vous avions avertis, enfants, des difficultés de cette rencontre qui représentait pourtant un élément de tellement grande importance que nous avons accompagné les pas de Marie-Madeleine pour qu'elle aille, au bout de sa peine, essayer de faire ouvrir les portes monumentales d'un autre devenir.
Pourquoi, enfants, pourquoi avez-vous laissé s'exprimer cette jalousie mordante et destructrice ?
Pourquoi avez-vous infligé ce supplice de l'attente d'êtres élus qui auraient dû, dans ces retrouvailles que nous avons tant souhaitées, pouvoir amener à être fondues les forces spirituelles de deux pays aimés ?
Pourquoi, enfants, lorsque l'élan d'un être venu de bien loin
(le médium brésilien) a tendu vers Marie-Madeleine l'élan de ce cœur qui espérait, pourquoi avoir bloqué ces portes ?…

Vous avez ajouté la note de l'ignominie à des gestes de bassesse accomplie : des traductions, il y en a eu, mais en laissant "au coin d'une rue" comme on laisse un paquet que l'on veut abandonner, les phrases les plus belles, les mots les plus choisis, les images les plus lumineuses…
Ah ! comme elle était heureuse cette Marie que nous aimons, de servir d'instrument à notre expression pour t'apporter, ami João, ces vérités profondes qu'il te fallait entendre…

 

Depuis des temps, ami João, nous souhaitions concrétiser cette fusion de vos deux pays, cette fusion de vos deux vies -spirituellement s'entend- car il ne faut pas confondre les flammes qui peuvent brûler des éternités avec ces flammes qui auront vite fait de s'étioler car ne prenant leurs racines que dans des cœurs humains…
Nul d'entre vous, enfants, ne pourra jamais contrecarrer les désirs divins et lorsque Dieu veut que quelque chose s'accomplisse aucun d'entre vous ne pourra bloquer ce que Dieu veut unir, et Dieu veut aujourd'hui, enfants, la réunion, la fusion de ces deux pays qu'Il aime.
Deux pays ?
Non, enfants, car si l'un remplit son cœur, cette pauvre France qui est en train de partir à vau-l'eau et de se désagréger en abandonnant tout élément de spiritualité, n'a pu trouver grâce à ses yeux que parce que cette enfant présente (le médium) est la représentante de ce pays que Dieu pourrait… vomir devant tant d'avilissement et devant tant de perversion…
Il vous a envoyé Marie-Madeleine, enfants qui m'écoutez, pour vous donner tout à coup envie de découvrir la vraie vie de la spiritualité, pour vous redonner ces notions trop souvent absentes de vos vies, car vous avez tout foulé aux pieds, enfants de France…

 
 
Unions spirites… groupes spirites… médiums qui se disent spirites, où est votre spiritualité, ô vous que nous blâmons ?
 
Etat des lieux…
   

Au lieu d'aller puiser les racines de cette spiritualité vivante dans ces Plans lointains où la lumière sans cesse brille et d'où l'amour éternel de Dieu se répand sur vous, vous allez plonger ces racines, après les y avoir découvertes, dans les bas-fonds et les ruisseaux car que gardez-vous, enfants, dans vos mains sinon des lamentables débris de ce que vous croyez avoir appris et dont vous n'avez rien retenu.

Où est ta spiritualité, France ?…
Cet être que nous bénissons (le médium) et sur le front de laquelle nous traçons le signe de la croix, a donné sa vie goutte à goutte pour que la lumière de nos Plans puisse briller éternellement sur vos devenirs obscurcis, entachés, avilis, et vous foulez tout aux pieds ; mais enfants, quelle généralité dans ces pays que nous avons pourtant bénis, dans ce plan terrestre que nous bénissons sans cesse et sur lequel nous déversons sans discontinuer la lumière brillante que nous souhaitons voir éclairer vos pas !…
Ce Plan lointain encore inaccessible à vos yeux et souvent -trop souvent- à votre compréhension, ce Plan lointain qui sans cesse irradie de pureté, de lumière et d'amour, ensemence et fait pousser sur ces terrains que nous essayons de cultiver avec tant d'attention -et souvent tant de peine- ensemence et cultive ces terrains pour pouvoir protéger ces graines que nous semons sans cesse dans ces terrains trop souvent arides ou trop souvent trop secs ;
nous lançons la pluie bienfaisante de cet amour comme une ondée vivifiante.

Après les jours de tempête, la froideur des jours, l'obscurité des heures, nous lançons sans cesse ces gerbes de lumière pour que vos pas ne s'égarent point sur des chemins trop difficiles et trop dangereux…
Nous vivons, enfants, à votre rythme, penchés sans cesse sur la scène de cette Terre où trop souvent le rideau se lève ou s'ouvre sur des scènes de drame, de terreur et d'horreur.

Ami João, je voudrais te redire ce que j'ai dit hier, car malgré cette prière que nous formulions pour que ces paroles puissent te pénétrer, enfant, des Ombres difficiles s'interposaient pour empêcher ces mots d'arriver jusqu'à toi… [Raphaël fait allusion à un message donné par lui, la veille, à João après sa prestation de chirurgie spirituelle, mais mal traduit -ou pas traduit du tout- ayant entraîné chez le médium brésilien une incompréhension et une tristesse profondes.]
Nous bénissons ton trajet, ton chemin, enfant, nous te regardons et nous assistons à ce travail que tu accomplis et sache-le, ce travail qui nous réjouit,
car tu fais… tu fais… tu donnes… tu dispenses… C'est vrai que tu accomplis une œuvre magnifique, enfant chéri, et tu donnes sans compter…
Des paroles malencontreusement traduites qui ont pu te faire penser que nous critiquions ce travail… Mais non, enfant, il n'en est rien, car nous savons que la seule flamme qui t'anime dans ces moments est la flamme de l'Amour, du désintéressement, et nous savons très bien, enfant, que jamais tu n'as tendu la main pour enlever le prix d'un simple morceau de pain à ces êtres que tu assistais.

Mais non, enfant, mais non…
Crois-tu que dans nos Plans la valeur des êtres échappe, alors que nous pouvons briser toutes les chapes qui enserrent les cœurs et les âmes, et nous savons où brûlent les flammes de la valeur, de la grandeur, de l'amour et de la bonté…
Ton cœur est un immense brasier, enfant, car l'amour l'alimente sans cesse, mais… mais… il y a comme une forteresse autour de toi, enfant, pour t'isoler de ce que tu devrais plus approcher encore pour cette notion d'amour…
Tu es un joyau étincelant, ami João, un joyau étincelant que la main de Dieu a posé sur la Terre… Tu sais répondre aux prières, mais enfant, pourquoi tant de mains se tendent pour recouvrir à l'envi cette pierre que chacun guigne comme un bien précieux ?… Pourquoi ces êtres toujours ne peuvent que penser que tu n'appartiens qu'à eux, à eux, rien qu'à eux…
mais non, enfants, car il est le don fait par Dieu aux êtres qui sont dans le tourment et il n'appartient à personne, car sans cesse et toujours il se donne à ceux qu'abat le désespoir, à ceux qui avancent dans le noir de la souffrance et de l'horreur…

Ah ! nous attendions tellement de ces moments de rencontre mais… pouvons-nous forcer les volontés des êtres ?… Pouvons-nous violer les esprits qui définitivement ont décidé d'être pervertis pour ne pas offrir cette chance ?…
Nous ne pouvons que regarder, malheureux, bras pendants près de nos corps fluidiques où nos cœurs déchirés pleurent et pleurent encore sur la déception de notre attente car des êtres ont glissé sur la pente de l'horreur, et se sont avilis…

Les jours ont passé n'apportant à votre attente et à votre tristesse, à votre souffrance que des éléments de confirmation… triste, difficile, de ces gestes que nous blâmons car pourquoi avoir trouvé dans ces cœurs qui auraient dû s'ouvrir plus encore dans la joie de ces rencontres voulues par Dieu, pourquoi avoir trouvé dans ces cœurs des élans d'avilissement, des éléments négatifs qui, au lieu de faire fusionner ces joies, ont fait exploser jusqu'aux limites de l'impossible, la souffrance de deux êtres en particulier et de ces amis si chers qui entouraient ce cœur de lumière que Dieu avait voulu poser en face de vous…

Que de responsabilités, enfants, que… d'obscurité sur ces vies !

Pourquoi ne vous êtes-vous pas souvenu, enfants, du sens des mots : propreté, honnêteté, estime, respect, charité, amour, et pardon ?…
Pourquoi avoir voulu de vos mains fébriles, garder et serrer, enfermer… empêcher…
emprisonner ?…
Pensiez-vous vraiment que ces lumières qui devaient se rencontrer pour s'éparpiller dans une gerbe éblouissante, ne se rencontreraient pas ?…
Croyez-vous, enfants, que les ombres que vous jetiez sur ces tableaux allaient définitivement obscurcir cette toile qui commençait à être parée des teintes lumineuses, des teintes d'or et de feu de ce plan qui vivait en ces instants l'apothéose d'une rencontre que nul d'entre vous ne pourra soupçonner ?…

Savez-vous, enfants, qu'il existe dans nos Plans des paliers, des paliers séparés par des distances quelquefois tellement grandes qu'il vous faudra des temps et des temps pour pouvoir creuser dans la face abrupte de ce versant, les marches qu'un roc difficile vous empêche déjà de tracer pour pouvoir grimper, vous hisser péniblement sur ce palier que vous apercevez bien loin et qui reste inaccessible à vos efforts ?
Savez-vous, enfants, que dans ces paliers, l'être que seuls sa valeur et ses mérites ont pu y faire accéder pourra s'y installer et y demeurer ?…
Où êtes-vous, enfants que nous regardons avec tristesse, où êtes-vous dans cette échelle, à quel niveau ?…
à quel Plan ?… à quel palier ?…
Croyez-vous que le barrage puissant de vos forces d'obstruction pourra empêcher l'ascension d'un être que nous avons béni ; croyez-vous que le barrage puissant de vos forces pourra lui interdire l'accès à ces paliers supérieurs qui sont les seuls Plans de sa vie ?…
Oui, enfants, vous blesserez, oui, enfants vous peinerez, oui, enfants vous… détruirez… Mais « y a-t-il une ombre quand la Lumière de Dieu est là ?… » et même si d'obstruction en obstruction, d'intervention en intervention, de silence en silence et, dois-je le dire… de mensonge en mensonge, vous avez retardé la marche de ce véhicule qui devait emporter vers nos Plans la fusion de ces êtres, le chemin se fera, mais il se fera en allant à l'encontre de vos volontés destructrices car rien ni personne ne pourra intervenir dans les volontés d'un Dieu qui sans cesse, certes, se penche pour bénir et encenser les êtres qu'il aime, mais pour sévir, regard dur, pour contempler ces êtres qui ont souillé sa Lumière et sa pureté, car que faites-vous, enfants, lorsque vous essayez de vous attaquer à ces représentants de Dieu ?

 
  Savez-vous que les messagers de Dieu sont la lumière et l'image de Dieu, car rien ne peut se faire sans ce vouloir qui est le sien lorsqu'il dépêche vers vous ces êtres de lumière.
Donnez-leur le nom que vous voulez, enfants, qu'ils soient instruments ou médiums, mais sachez que des êtres comme ceux que vous avez vu réunis dans cette salle sordide sont les messagers lumineux d'un Dieu d'amour, d'équité et de justice que vous avez souillé en souillant ses… interprètes.
 
   


Tends la main, ami João, tends la main, même si la distance des océans te semble trop grande et si tu penses que jamais rien ne pourra de nouveau réunir et unir ces deux mains que nous avions bénies car quel… profit ami, aurais-tu pu avoir !… Non pas ce profit matériel qui ne vient même pas à notre pensée lorsqu'il s'agit de toi, enfant, mais quelle richesse pour ton âme, ami João, richesse de la découverte de ces Plans que tu n'as pas encore pénétrés, les Plans de la ferveur, les Plans de la fierté acquise dans la découverte d'une foi nouvelle sous le regard de Dieu et sous le regard pur et lumineux de Jésus qui contemple et voudrait vous réunir, toi, ami brésilien et elle, amie française lointaine, pour vous faire avancer d'un même pas sur un même chemin pour la découverte d'une autre vie…

Elle, a accompli ce destin, enfant chéri… destin de messagère de celui que tu honores, de ce Jésus que tu implores, de ce Christ auquel tu parles, de ce Christ que tu veux faire voir dans sa beauté à ceux qui t'approchent…
L'œuvre de Dieu s'accomplit à travers l'espace et le temps, à travers les êtres, à travers les siècles.

Je vous ai, enfants, aujourd'hui, conduit celle qui est ma voix, celle qui œuvre par notre volonté puissante pour que s'accomplisse ce que nous attendons.
L'Esprit qui s'est réincarné en cet être dont j'utilise aujourd'hui les pouvoirs matériellement corporels est un Esprit très vieux qui par les dédales obscurs et déchirants d'épreuves cinglantes est arrivé à la lumière parce qu'un regard de Jésus l'a relevé.
Ses cheveux étaient longs, amis, et son cœur immense malgré ses péchés.
Elle a su, enfants, parfumer le Maître, elle a su, enfants, laver les pieds du Maître, elle a su, enfants, aimer le Maître, l'aimer d'un amour humain, d'un amour divin, d'un amour éternel, qui, à travers l'espace et le temps, à travers les siècles, vibre encore en ce cœur noyé de paix, d'amour, de tendresse, de charité et… de pardon.
Elle a su, enfants, accepter sa souffrance, elle a lutté en lui disant :
- « Maître, ne les laisse pas te supplicier… Maître…
Maître, je t'en prie, tu peux échapper à leurs coups !…
Regarde, Maître, la foule gronde et crie, et toi, tu ploies sous le poids de ta croix…
O Maître ! ton visage… tes traits tirés par la souffrance… ton visage… ton visage bouleversé… tes yeux qui nous supplient !…
Oh ! ces crachats et ce sang qui maculent cette face chérie !
Non !… Pourquoi faut-il que tu acceptes alors que tu pourrais échapper à leurs coups (pleurs de l'entité)
Non… non… je t'en supplie… non !… »
Il lui a été répondu :
- « Ne pleure plus, Marie-Madeleine, mon royaume n'est pas de ce monde.
Je dois aller au bout de mon destin de souffrance par la volonté de mon Père et le poids de ma croix m'est léger… parce que le sacrifice n'aura pas été vain et que par-delà le temps, par-delà les siècles les Humains comprendront et sauront…

O Père… pourquoi m'as-tu abandonné ?… Ah !… »

Tobie, du fond de sa nuit, savait que Dieu dans sa miséricorde tendait vers lui une main secourable, et l'amertume, le fiel de l'amertume qui un temps avait rongé son âme, a reçu en offrande le fiel sorti des eaux qui a fait renaître la source vivante de l'eau salutaire et bénie de larmes de joie.
C'est pourquoi, sachant ce qu'elle pouvait représenter pour toi, spirituellement parlant, nous avions offert à ton attente ce cadeau merveilleux : cette rencontre à deux, qui aurait pu, déjà placés sur cette orbite lointaine, vous emporter plus encore dans ce travail commun vers ces Plans où seule brille la Lumière de Dieu, car le moment est venu, enfant, d'accomplir ses vœux sur cette Terre où tout s'effrite…

Marie-Madeleine irradie cette lumière que nous avons voulu projeter sur vos Plans, mais sais-tu sa souffrance ?
Des Guides près de toi pourraient tendre la main pour apaiser une partie de ce drame pour quelle puisse accomplir la promesse quelle a faite au Maître merveilleux qui la regarde avec des yeux tristes et malheureux car Il sait la souffrance de son âme…

Dans nos Plans, ces Plans si proches de Dieu, nous devons, souvent malheureux, regarder et nous taire, car chaque Plan a ses règles, enfants, et même nous, Esprits supérieurs, ne pouvons imposer aux âmes ce qu'elles doivent accomplir pour que jamais ne s'éteignent des flammes…
Votre libre arbitre est puissant, enfants, et vous seuls pouvez disposer de ce temps d'amour, de dons ou…
de désertion et d'abandon…
Nous ne pouvons que… souhaiter et formuler une prière pour que vous ayez envie de comprendre et pour que vous couriez sans attendre apporter, à l'être déchiré, la douceur de votre présence…
Réfléchissez à cela, enfants, car il faut que l'on y pense à ces gestes que l'on doit accomplir…
Ah, enfants, que de travail à faire !

Nos bénédictions sont sur vous ; toutes nos vibrations de paix sont projetées dans vos êtres pour régénérer vos êtres profonds à cette source divine de puissance et à cette source radieuse de vie.

 

 

 

 

Abreuvez-vous, enfants, à l'eau vive de la spiritualité.
Combien est dur, amis très chers, ce chemin de la spiritualité !…

 
   

Hasardez-vous, enfants, sur ce chemin qui serpente durement et dont les pierres acérées blesseront vos pieds ;
       ne craignez point les ronces du chemin,
       ne craignez point les pierres tranchantes,
       ne craignez point, enfants, les sarcasmes et les épreuves.

Tu es, ami João, une pierre précieuse, un diamant déposé par la main de Dieu sur les étagères sinistres d'un Monde où hélas, aujourd'hui, plus rien ne vibre que le difficile enchevêtrement de sentiments bas et vils…
Tu es ce joyau précieux, ami João, que la main de Dieu a déposé sur ces étagères et que des mains salies de poussière essayent de camoufler pour que personne ne puisse encore se réjouir de sa beauté… Nous savons ton dévouement et ton désintéressement, je le répète, enfant, mais exige plus de spiritualité de ceux qui viennent à toi, n'accepte pas, ami, de dispenser tes dons dans des lieux où les gens ne veulent pas s'incliner car il faudrait même souvent qu'ils demandent pardon à Dieu de leurs iniquités pour mériter toutes ces bontés.

Ami João, nous avons dépêché vers toi des Guides qui pourront peut-être, en dessillant tes yeux, te faire contempler, heureux, ce message de nos Plans lointains car nous avons pris ta main, enfant chéri, et sache que jamais, ami, nous ne la lâcherons car, sais-tu, combien nous souhaitons que cette main que nous tenons, cette main symbole du Brésil et de sa spiritualité puisse rejoindre, même un jour lointain, cette autre main que nous avions fait se tendre vers toi, cette autre main, symbole de la France et de la spiritualité de celle qui est définitivement notre messagère car, où est la fusion de ces spiritualités en France, enfants ?…

Oui, où est ta spiritualité, France ?…

Ah ! quelle tristesse, car où est la vérité ?…
Quelle pauvre spiritualité !…

Travaillez, travaillez encore -plus encore- amis très chers avec cette attention permanente qui doit être votre lot… Oui, analysez, enfants… combien de pièges tendus sur les chemins que seul l'esprit attentif et vigilant pourra éviter !… Approfondissez plus encore votre travail, enfants, dans le sens de la découverte d'une… analyse, d'une… dissection plus puissante encore de ces messages que vous recevez…

 
 

Ne laissez rien dans l’ombre… car lorsque l’aile duveteuse et noire de l'ombre s'étend sur la lumière d'une page, il faut être vraiment très sage pour analyser sans détour ces mots que l'on croit découvrir dans un cours de valeur importante et définitivement établie…

 
Etat des lieux…
   

Ouvrez plus encore vos cœurs, amis, à l'acceptation de ces obligations qui sont la réalité de liens entre vos plans et le nôtre…
Les détresses et les souffrances rampent sur les chemins difficiles d'une Terre où l'aile obscure d'un rapace déchaîné, destiné à détruire, flotte et couvre d'ombre ces terres qui sont déjà trop imprégnées des sueurs de l'horreur, des larmes de souffrance et du sang des épreuves accomplies…
Ah, enfants, comme nous souhaiterions voir la réunion de ces forces vives, de ces élans puissants qui pourraient, en recréant un bloc définitivement enraciné dans la valeur de nos Plans, un bloc qui pourrait s'opposer aux atteintes des ombres sur une planète qui vit sans cesse dans une quête perpétuelle de jouissance et de folie !

Action difficile que cet affrontement aux drames et aux détresses…
Savez-vous, enfants, la lourdeur de ces moments où les esprits perdus ne peuvent qu'espérer, espérer sans savoir quelle main pourra un jour se tendre vers eux pour leur apporter apaisement et espoir ?
Et ils n'en finissent pas de tomber ces soirs de souffrance et de solitude immenses sur ces vies perdues !
Savez-vous la grandeur de la vertu qui sans cesse donne et donne encore et toujours pour semer, tout au long des jours, les fleurs duveteuses et veloutées d'un espoir infini et d'une infinie bonté pour offrir, au jour, la radiance de la beauté des vies retrouvées ?…
Quelle abnégation, enfants !… un travail sans répit, sans repos… car il ne faut pas tourner le dos ne serait-ce qu'un instant à l'attente de ces enfants qui sans cesse appellent au secours, car ils peuvent basculer, ces jours, dans l'horreur du drame et vous n'en aurez jamais fini de ranimer ces flammes qui, vacillantes trop souvent, pourront peut-être un jour, malgré les souffles d'un vent glacial et destructeur, relancer vers le bonheur, l'attente et l'espoir…
Des vies où le « moi » doit être définitivement banni des instants ; des vies ou le pronom « je » ne pourra plus rendre heureux, et il n'y aura de place que pour l'autre car, enfants, dans ce combat que vous voulez engager, combien de fois allez-vous… "pleurer", ce mot que je mets entre guillemets, sur la souffrance des autres ?…
Mais il faut encore, enfants, avant d'accomplir cela, endurcir vos êtres profonds car, en contact avec l'effroi et l'émoi, vous n'êtes pas encore suffisamment forts pour pouvoir assumer ces efforts de porter tant d'êtres à bout de bras car, enfants très chers, quel dantesque combat !…

De nos Plans de Lumière, nous essayons de projeter sans cesse ces forces vives capables de faire bouger les masses mais… mais… mais… combien de fois l'être se lasse parce que les heures pèsent trop lourd, parce qu'il faut toujours et toujours s'abstraire définitivement de soi, car sa vie n'existe plus, car on ne compte plus, et l'être seul qui demande a droit à cette attention, à cette offrande d'amour, de présence et de foi. Mais il est des moments, enfants, où vous pourriez plus encore…
Oui, vous pourriez, enfants, mais il vous faut encore trouver ce temps d'une fin d'apprentissage pour être devenus tout à fait sages pour pouvoir prendre à bras-le-corps, ces problèmes qui, chaque fois encore, détruisent et détruisent des vies.
Vos pas vous conduisent sur un chemin largement montant, enfants que nous aimons, mais des paliers sont encore à atteindre où vous verrez un jour se peindre sous vos yeux éblouis un paysage irisé de lumière, irisé de moire azurée et pure, et vous saurez que plus rien ne dure de ces instants d'hésitation où vous auriez voulu cependant ne pas minimiser vos œuvres.
Voulez-vous, enfants que nous aimons, accepter que nous vous aidions à franchir les pas nécessaires à l'orientation de vos vies, car vous pouvez encore plus et mieux… et vous irez bien plus vite vers Dieu en acceptant humblement de comprendre, sans tourment, qu'il est encore des gestes à faire, et en réponse à votre prière, nous vous offrons, enfants, la possibilité, à travers le don que nous voulons vous faire, d'une réponse à cette prière pour accéder à ces Plans de Lumière qui vous permettront d'arracher aux Ombres ces êtres qui se perdent et qui s'enfoncent dans un "no man's land" qui aurait dû être un temps de répit mais qui n'est que l'antichambre des Ombres où s'accompliront les méfaits de cohortes haineuses, vindicatives, provocatrices qui viendront, comme en un supplice, détruire et détruire encore…

Des mots nouveaux à découvrir, des élans nouveaux à avoir pour ce chemin rempli d'espoir que nous voulons offrir à votre attente et à votre joie…

Savez-vous seulement formuler les prières nécessaires pour apporter à ceux qui souffrent les éléments de leurs attentes ?
Pourquoi vos prières ne s'élèvent-elles pas plus intenses et plus vibrantes : non des prières psalmodiées dans un rite établi, mais des prières venues du fond de l'âme comme la lumière vient du fond de l'Infini et submerge tout… des prières venues du fond de l'âme qui, dans un envol, porteraient à Dieu l'intensité de vos espoirs et de votre attente, l'intensité de votre besoin de sa présence, de son amour…

Oui, priez, enfants, priez !…

Sans cesse près de vous, des Esprits attentifs lancent puissamment sur vos Plans des messages de compréhension, de tendresse et de joie que vous recevez dans l'émoi…
Prenez et gardez, car, dans ce bagage d'amour, vous pourrez puiser sans détours pour offrir, à votre tour, à ces êtres qui mendient…
Le Ciel a vu, enfants, bon nombre de ces êtres accomplir un destin de lumière au milieu des drames et des souffrances, mais c'est vous qui avez cette chance de recevoir encore et toujours et vous pourrez, ô combien, embellir vos jours si vous savez écouter ces conseils, si vous savez, tout au long de vos veilles, méditer et méditer encore ces paroles que, venus de bien loin, nous vous apportons pour éclairer vos chemins d'une lumière nouvelle.

Un rôle à jouer, important, mais un rôle que vous ne pourrez accomplir tout à fait sans un engagement pour ce combat dantesque qui s'engage à chaque instant…

Ah ! Comme nous déplorons cet éparpillement des forces de valeur, des forces de lumière !…
Nous avons mis dans cette main (celle du médium), une bannière qui devrait flotter très haut, signe de ralliement des volontés de Dieu qui pourrait réunir sous nos yeux cette élite que nous souhaitons placer aux quatre coins du Monde car elle n'en a pas fini de tourner cette ronde des êtres malheureux, des êtres détruits par l'ignominie qui ne pourront voir épargner leurs vies…

 
 

Quels souhaits nous formulons, enfants, pour qu'au fil du temps vous puissiez être réunis !…

 
le Spitisme en France…
   

Les flambeaux que nous mettons dans les mains sont trop souvent trop vite éteints car les souffles de l'orgueil, de la morgue et de la suffisance agissent comme une lance pour éteindre les flammes, mais notre souffle sera puissant, enfants, pour ranimer ces flammes, pour nettoyer les âmes, pour faire renaître ces points lumineux qui seront aux croisées des chemins comme le symbole d'une main qui se tend pour tirer l'être perdu hors des chemins battus des ombres pour le replacer sur le sol solide où il pourra, après s'être récupéré sous le regard de Dieu, recommencer à avancer, moins malheureux, vers des Plans de clarté lumineuse…

Pourquoi, groupes français, groupes éparpillés à travers un territoire dans le silence de gestes qui se font trop souvent… "à guichet fermé" dans le silence des vies, groupes éparpillés comme ces feux que l'on peut mettre aux coins d'un champ pour délimiter un terrain où un avion pourra se poser, groupes qui ferment leurs portes pour que rien ne sorte de ce qui se passe dans leurs murs et qui trop souvent dénaturent les vérités spirituelles dans un esprit d'intérêt, pourquoi ne pas vous ouvrir à cet esprit que nous souhaiterions vous voir avoir sans cesse ?…

Pourquoi n'œuvrez-vous pas dans cet esprit d'amitié, de sincérité, d'élans, en un mot : de spiritualité… car vous dispensez des données qui ne sont qu'embryonnaires ?…

Non, enfants, non… non…
œuvrez certes à l'intérieur de vos propres murs, mais ne faites pas que durent ce silence et cet isolement… Pourquoi refuser les éléments de ceux qui viennent à vous en acceptant de ne considérer comme valable que ce qui émane de vous ?… Les médiumnités sont différentes, enfants, et au lieu de jalouser celui qui va pouvoir offrir à votre attente le joyau venu de nos Plans, au contraire, enfants, mettez-vous à genoux, et remerciez Dieu de vous avoir offert ce diamant qui va illuminer vos instants.
Mais non, enfants, vous jalousez, vous refusez, vous repoussez, car lorsque ces messages lointains viennent à vous dans leur beauté, vous mesurez tout d'un coup les limites de votre valeur, de votre spiritualité…

Attention, enfants, au jeu que vous jouez… Ne saisissez pas l'occasion de la détresse des êtres pour essayer de les amener à vous car là vous jouez le rôle de "gourous" qui se servent et usent du malheur des autres… terrains de chasse faciles, enfants, que l'attente curieuse ou douloureuse des êtres !…

Transformez votre travail, groupes français, avancez vers plus de spiritualité, mais pour arriver à ce faire, il faudra, enfants, que je formule une prière : celle de vous voir vous nettoyer plus encore pour vous épurer car vous êtes tous limités et pourtant depuis des années j'ai essayé de vous envoyer ces messages pour vous ressaisir et vous faire avancer, mais… comme l'enfant qui pirouette et fait un pied-de-nez aux parents attentifs qui veulent le conseiller, vous fermez vos portes à double tour, et comme ces peuples lointains qui clouent des planches sur les fenêtres parce qu'un typhon est annoncé, vous barricadez vos issues pour rester hors de notre vue et continuez à pianoter sans arriver à pouvoir un jour réussir à jouer la mélodie qui enchante…

 
 

Attention, groupes spirites, vous glissez sur une pente difficile à nos yeux… Ressaisissez-vous il est temps…

 
   

Acceptez l'évidence de dons différents pour chacun, et au lieu de jalouser, levez les yeux vers le lointain pour remercier ce Dieu d'Amour qui sans cesse et pour toujours tend la main pour vous bénir et vous entoure pour vous chérir, pour vous donner encore l'espoir de pouvoir un jour, enfin définitivement transcendés, sublimés, épurés, avancer sans avoir à rougir, ayant accompli votre repentir, vers sa Lumière et vers sa Gloire…

Permettez-nous de tendre la main et dans une caresse, de vous bénir, de finir de dessiller vos yeux pour que votre regard enfin ébloui ne puisse, dans ce constat de la vie, n'espérer que se relever pour contempler, bien plus haut dans les Cieux, le visage radieux de ce Dieu qui tout au long des jours et des soirs, déverse sur votre Terre, en réponse à nos prières, la lumière éternelle de sa Vérité et de sa Gloire.

Remettez-vous en question, enfants !

Les drames s'accumulent, les erreurs se font, les conséquences sont graves, et nous encourageons ceux qui, dans l'élan d'une pureté intérieure, décident de se battre contre l'abjection de ces exploitations et de ces abus de pouvoir qui conduisent à des abus destructeurs, définitivement destructeurs…

Oui, battez-vous, enfants, battez-vous, ne craignez point, quelles que soient les réactions difficiles, quel que soit ce semblant d'indifférence qui répondra à votre élan, continuez, unissez vos forces -nous l'avons souhaité depuis tant de temps- mais depuis tant de temps nos appels sont passés trop loin de ces oreilles que des mains énergiques avaient fermées, et n'ont pu pénétrer ces cœurs que des mains puissantes ont fermés, et n'ont pu arriver à pénétrer ces esprits que nos lumières pourtant auraient tant voulu inonder pour les éclairer définitivement.

Oui, battez-vous, enfants ; essayez de reprendre conscience comme l'être qui, après des moments, des phases de remise en question, de questions, de doutes, ne pouvant accepter l'évidence de gestes difficiles accomplis par l'un, par l'une, par l'autre, vient au fil du temps d'être le témoin privilégié d'horreurs qui peuvent se passer, de scènes déchirantes, de scènes révoltantes ; faites comme lui, enfants, et retrouvez au fond de vous la conscience des gestes à avoir pour pouvoir vous engager définitivement dans l'espoir que nous formulons de voir des gestes accomplis par des êtres élus qui auront enfin compris quel combat ils devaient engager sur cette scène d'une Terre perverse et pervertie.

Battez-vous, engagez le combat, amis, agissez, et si d'autres près de vous peuvent comprendre l'importance de ces gestes, qu'ils bondissent de leurs fauteuils, qu'ils franchissent les distances, qu'ils ouvrent leurs cœurs, qu'ils tendent la main, et que pour une fois, ils puissent planter une plume neuve dans le fond de ces cœurs pour signer un autre engagement qu'un engagement brinquebalant qui nous a tant attristé et que nous déplorons.

Les portes de l'Au-delà se sont ouvertes aujourd'hui pour laisser venir à vous des millions d'Esprits attristés, désespères et presque jaloux de ces richesses que certains possédaient et qu'ils ont laissé fouler aux pieds ou…
volontairement foulées en les souillant de fange.

 

   Spiritisme…

… état des lieux

 
Lorsque la voix d'un Archange, enfants, arrive jusqu'à vous, même s'il est en courroux, comprenez et acceptez que Jésus lui-même a dû un jour montrer sa colère car, malgré ses prières, personne ne voulait comprendre…
 

   

alors sachez, enfants, que la voix d'un Archange peut quelquefois se teinter de colère et asséner non plus une prière, mais les mots qui devraient -comme un couperet- couper ces cordes auxquelles vous êtes attachés pour vous permettre de vous en aller plus loin vers des plans lointains de valeur, de lumière et de… paix.

Nous pleurons sur ces esprits bornés qui ne veulent comprendre et qui, persuadés de détenir toutes les vérités et la grandeur de pensée, n'analysent et ne dissèquent qu'en fonction de pensées limitées sans compréhension et sans vouloir d'attention, les conséquences entraînées par des gestes… anodins, et qui laissent en chemin des êtres qui auraient eu besoin de réconfort et d'amour…

Je garde aussi l'espoir qu'à travers ces mots que j'ai prononcés si souvent, vous pourrez redevenir ces… "enfants" que nous avons chéris, que nous avons bénis, ces enfants que nous avons aimés, que nous avons aidés ; mais encore faut-il, enfants, que vous acceptiez de redevenir dignes de cette attention car même lorsqu'un enfant vient de se rouler dans la boue pour s'amuser à genoux dans les allées d'un jardin, lorsqu'il revient maculé de terre, sale et couvert de poussière, la maman prend ce tout-petit et même si la colère est en elle car il a souillé ses habits, elle va le prendre avec tendresse et avec une caresse commencera ce bain qui pourra nettoyer le bambin ; et la terre, la poussière s'en iront et la boue disparaîtra et le bébé aimé renaîtra dans la beauté de ses fossettes.
Vous êtes comme ces bambins qui se sont roulés dans trop de terre dans un jardin un petit peu trop empoussiéré…

Comme la mère remplie de tendresse, nous essayons depuis toujours, et nous allons continuer tous les jours à vous ramasser, vous, couverts de poussière et de terre, mais nous avec une prière, pour vous amener et vous nettoyer, et nous vous aiderons dans ce geste avec l'espoir que vous fuirez comme peste ces éléments trop dégradants.
Laissez-nous encore une fois, enfants, avec la tendresse d'une maman, prendre l'éponge la plus douce et laissez-nous vous couvrir de mousse pour nettoyer non seulement vos corps, mais pour nettoyer d'abord les replis de vos âmes.

Puissiez-vous, enfants, ne jamais laisser s'éteindre ces flammes sur lesquelles nous soufflons avec amour pour qu'elles brûlent pour toujours pour illuminer l'horizon… et vous verrez alors, enfants, comme il faudra peu de temps pour que s'ouvrent définitivement les portes de ces prisons terrestres, et comme l'apôtre Paul un jour a pu le faire, vous partirez, heureux, en laissant derrière vous cette geôle sombre pour grimper des sentiers lumineux qui vous conduiront jusqu'à ce Dieu qui, attendri et heureux, tendra les bras vers vous pour vous accueillir, et peut-être, alors, vous mettrez-vous à genoux pour le remercier de vous avoir donné l'espoir d'être inondés de sa Gloire…

Nos bénédictions sont sur vous, enfants très chers, et nous formulons une autre prière pour que ces mots reçus en ce jour vous accompagnent pour toujours tout au long de vos chemins ; et vous irez, main dans la main, avec ces Guides pleins d'amour qui vous amèneront, un jour, vers les clartés radieuses où vous découvrirez, heureux, la luminosité plus intense d'un Dieu d'amour qui, dans une éternité de beauté, vivra dans ces cœurs où, jour après jour, il voudrait que vous le gardiez pour toujours…

 

Spiritisme…

… état des lieux

 


Mais quel miracle, enfants, pourra accomplir Dieu si définitivement vous fermez vos yeux pour ne pas voir sa Lumière et sa Gloire ?…


archange Raphaël

 

Spiritisme…

… état des lieux

   


 

 

 

 


Marcher séparément, agir réunis : une idée grandiose, humanitaire, puisque son résultat eût été la fusion des divers groupes et diverses opinions de toutes les nuances du spiritualisme moderne…