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Spiritisme
Etat
des lieux
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Amis
Nous
voici réunis dans la souffrance immense que vous
croyez seulement appartenir à vos Plans, alors que
dans les nôtres -ces Plans lointains que vos yeux
ne peuvent encore pénétrer- nos curs
fluidiques sont déchirés par une tristesse
et une souffrance immenses au spectacle de gestes que nous
avons été obligés de contempler dans
cet accomplissement qui n'en finissait pas de gestes d'errements,
et, dois-je le dire, de
destruction.
Pourquoi ne pas prendre exemple sur ces pays lointains où
la foi intense, vibrante mais la foi primaire d'êtres
qui sont encore à des niveaux élémentaires
de spiritualité, cette foi porte pourtant vers nous,
venant de ces êtres à genoux, l'intensité
de leur amour, de leur espoir, de leur attente alors que
des êtres glissent, glissent sans cesse sur une pente
sans vouloir faire le geste de tendre la main pour attraper
en chemin la moindre racine qui pourrait freiner ou arrêter
leur chute
Nous vous avions avertis, enfants, des difficultés
de cette rencontre qui représentait pourtant un élément
de tellement grande importance que nous avons accompagné
les pas de Marie-Madeleine pour qu'elle aille, au bout de
sa peine, essayer de faire ouvrir les portes monumentales
d'un autre devenir.
Pourquoi, enfants, pourquoi avez-vous laissé s'exprimer
cette jalousie mordante et destructrice ?
Pourquoi avez-vous infligé ce supplice de l'attente
d'êtres élus qui auraient dû, dans ces
retrouvailles que nous avons tant souhaitées, pouvoir
amener à être fondues les forces spirituelles
de deux pays aimés ?
Pourquoi, enfants, lorsque l'élan d'un être
venu de bien loin (le
médium brésilien) a
tendu vers Marie-Madeleine l'élan de ce cur
qui espérait, pourquoi avoir bloqué ces portes
?
Vous avez ajouté la note de l'ignominie à
des gestes de bassesse accomplie : des traductions,
il y en a eu, mais en laissant "au coin d'une rue"
comme on laisse un paquet que l'on veut abandonner, les
phrases les plus belles, les mots les plus choisis, les
images les plus lumineuses
Ah ! comme elle était heureuse cette Marie que nous
aimons, de servir d'instrument à notre expression
pour t'apporter, ami João, ces vérités
profondes qu'il te fallait entendre
Depuis
des temps, ami João, nous souhaitions concrétiser
cette fusion de vos deux pays, cette fusion de vos deux
vies -spirituellement s'entend- car il ne faut pas confondre
les flammes qui peuvent brûler des éternités
avec ces flammes qui auront vite fait de s'étioler
car ne prenant leurs racines que dans des curs humains
Nul d'entre vous, enfants, ne pourra jamais contrecarrer
les désirs divins et lorsque Dieu veut que quelque
chose s'accomplisse aucun d'entre vous ne pourra bloquer
ce que Dieu veut unir, et Dieu veut aujourd'hui, enfants,
la réunion, la fusion de ces deux pays qu'Il aime.
Deux
pays ?
Non, enfants, car si l'un remplit son cur, cette pauvre
France qui est en train de partir à vau-l'eau et
de se désagréger en abandonnant tout élément
de spiritualité, n'a pu trouver grâce à
ses yeux que parce que cette enfant présente (le
médium) est la représentante de ce pays que
Dieu pourrait
vomir devant tant d'avilissement et
devant tant de perversion
Il vous a envoyé Marie-Madeleine, enfants qui m'écoutez,
pour vous donner tout à coup envie de découvrir
la vraie vie de la spiritualité, pour vous redonner
ces notions trop souvent absentes de vos vies, car vous
avez tout foulé aux pieds, enfants de France
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Unions
spirites
groupes spirites
médiums qui
se disent spirites, où est votre spiritualité,
ô vous que nous blâmons ?
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Etat
des lieux
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Au
lieu d'aller puiser les racines de cette spiritualité
vivante dans ces Plans lointains où la lumière
sans cesse brille et d'où l'amour éternel
de Dieu se répand sur vous, vous allez plonger ces
racines, après les y avoir découvertes, dans
les bas-fonds et les ruisseaux car que gardez-vous, enfants,
dans vos mains sinon des lamentables débris de ce
que vous croyez avoir appris et dont vous n'avez rien retenu.
Où est ta spiritualité, France ?
Cet être que nous bénissons (le médium)
et sur le front de laquelle nous traçons le signe
de la croix, a donné sa vie goutte à goutte
pour que la lumière de nos Plans puisse briller éternellement
sur vos devenirs obscurcis, entachés, avilis, et
vous foulez tout aux pieds ; mais enfants, quelle généralité
dans ces pays que nous avons pourtant bénis, dans
ce plan terrestre que nous bénissons sans cesse et
sur lequel nous déversons sans discontinuer la lumière
brillante que nous souhaitons voir éclairer vos pas !
Ce Plan lointain encore inaccessible à vos yeux et
souvent -trop souvent- à votre compréhension,
ce Plan lointain qui sans cesse irradie de pureté,
de lumière et d'amour, ensemence et fait pousser
sur ces terrains que nous essayons de cultiver avec tant
d'attention -et souvent tant de peine- ensemence et cultive
ces terrains pour pouvoir protéger ces graines que
nous semons sans cesse dans ces terrains trop souvent arides
ou trop souvent trop secs ;
nous lançons la pluie bienfaisante de cet amour comme
une ondée vivifiante.
Après les jours de tempête, la froideur des
jours, l'obscurité des heures, nous lançons
sans cesse ces gerbes de lumière pour que vos pas
ne s'égarent point sur des chemins trop difficiles
et trop dangereux
Nous vivons, enfants, à votre rythme, penchés
sans cesse sur la scène de cette Terre où
trop souvent le rideau se lève ou s'ouvre sur des
scènes de drame, de terreur et d'horreur.
Ami
João, je voudrais te redire ce que j'ai dit hier,
car malgré cette prière que nous formulions
pour que ces paroles puissent te pénétrer,
enfant, des Ombres difficiles s'interposaient pour empêcher
ces mots d'arriver jusqu'à toi
[Raphaël fait allusion à un message donné
par lui, la veille, à João après sa
prestation de chirurgie spirituelle, mais mal traduit -ou
pas traduit du tout- ayant entraîné chez le
médium brésilien une incompréhension
et une tristesse profondes.]
Nous bénissons ton
trajet, ton chemin, enfant, nous te regardons et nous assistons
à ce travail que tu accomplis et sache-le, ce travail
qui nous réjouit,
car tu fais
tu fais
tu donnes
tu dispenses
C'est vrai que tu accomplis une uvre magnifique, enfant
chéri, et tu donnes sans compter
Des paroles malencontreusement traduites qui ont pu te faire
penser que nous critiquions ce travail
Mais non, enfant,
il n'en est rien, car nous savons que la seule flamme qui
t'anime dans ces moments est la flamme de l'Amour, du désintéressement,
et nous savons très bien, enfant, que jamais tu n'as
tendu la main pour enlever le prix d'un simple morceau de
pain à ces êtres que tu assistais.
Mais
non, enfant, mais non
Crois-tu que dans nos Plans la valeur des êtres échappe,
alors que nous pouvons briser toutes les chapes qui enserrent
les curs et les âmes, et nous savons où
brûlent les flammes de la valeur, de la grandeur,
de l'amour et de la bonté
Ton cur est un immense brasier, enfant, car l'amour
l'alimente sans cesse, mais
mais
il y a comme
une forteresse autour de toi, enfant, pour t'isoler de ce
que tu devrais plus approcher encore pour cette notion d'amour
Tu es un joyau étincelant, ami João, un joyau
étincelant que la main de Dieu a posé sur
la Terre
Tu sais répondre aux prières,
mais enfant, pourquoi tant de mains se tendent pour recouvrir
à l'envi cette pierre que chacun guigne comme un
bien précieux ?
Pourquoi ces êtres toujours
ne peuvent que penser que tu n'appartiens qu'à eux,
à eux, rien qu'à eux
mais non, enfants, car il est le don fait par Dieu aux êtres
qui sont dans le tourment et il n'appartient à personne,
car sans cesse et toujours il se donne à ceux qu'abat
le désespoir, à ceux qui avancent dans le
noir de la souffrance et de l'horreur
Ah ! nous attendions tellement de ces moments de rencontre
mais
pouvons-nous forcer les volontés des êtres ?
Pouvons-nous
violer les esprits qui définitivement ont décidé
d'être pervertis pour ne pas offrir cette chance ?
Nous ne pouvons que regarder, malheureux, bras pendants
près de nos corps fluidiques où nos curs
déchirés pleurent et pleurent encore sur la
déception de notre attente car des êtres ont
glissé sur la pente de l'horreur, et se sont avilis
Les jours ont passé n'apportant à votre attente
et à votre tristesse, à votre souffrance que
des éléments de confirmation
triste,
difficile, de ces gestes que nous blâmons car pourquoi
avoir trouvé dans ces curs qui auraient dû
s'ouvrir plus encore dans la joie de ces rencontres voulues
par Dieu, pourquoi avoir trouvé dans ces curs
des élans d'avilissement, des éléments
négatifs qui, au lieu de faire fusionner ces joies,
ont fait exploser jusqu'aux limites de l'impossible, la
souffrance de deux êtres en particulier et de ces
amis si chers qui entouraient ce cur de lumière
que Dieu avait voulu poser en face de vous
Que de responsabilités, enfants, que
d'obscurité
sur ces vies !
Pourquoi ne vous êtes-vous pas souvenu, enfants, du
sens des mots : propreté, honnêteté,
estime, respect, charité, amour, et pardon ?
Pourquoi avoir voulu de vos mains fébriles, garder
et serrer, enfermer
empêcher
emprisonner ?
Pensiez-vous vraiment que ces lumières qui devaient
se rencontrer pour s'éparpiller dans une gerbe éblouissante,
ne se rencontreraient pas ?
Croyez-vous, enfants, que les ombres que vous jetiez sur
ces tableaux allaient définitivement obscurcir cette
toile qui commençait à être parée
des teintes lumineuses, des teintes d'or et de feu de ce
plan qui vivait en ces instants l'apothéose d'une
rencontre que nul d'entre vous ne pourra soupçonner ?
Savez-vous, enfants, qu'il existe dans nos Plans des paliers,
des paliers séparés par des distances quelquefois
tellement grandes qu'il vous faudra des temps et des temps
pour pouvoir creuser dans la face abrupte de ce versant,
les marches qu'un roc difficile vous empêche déjà
de tracer pour pouvoir grimper, vous hisser péniblement
sur ce palier que vous apercevez bien loin et qui reste
inaccessible à vos efforts ?
Savez-vous, enfants, que dans ces paliers, l'être
que seuls sa valeur et ses mérites ont pu y faire
accéder pourra s'y installer et y demeurer ?
Où êtes-vous, enfants que nous regardons avec
tristesse, où êtes-vous dans cette échelle,
à quel niveau ?
à quel Plan ?
à quel palier ?
Croyez-vous que le barrage puissant de vos forces d'obstruction
pourra empêcher l'ascension d'un être que nous
avons béni ; croyez-vous que le barrage puissant
de vos forces pourra lui interdire l'accès à
ces paliers supérieurs qui sont les seuls Plans de
sa vie ?
Oui, enfants, vous blesserez, oui, enfants vous peinerez,
oui, enfants vous
détruirez
Mais «
y a-t-il une ombre quand la Lumière de Dieu est là
?
» et même si d'obstruction en obstruction,
d'intervention en intervention, de silence en silence et,
dois-je le dire
de mensonge en mensonge, vous avez
retardé la marche de ce véhicule qui devait
emporter vers nos Plans la fusion de ces êtres, le
chemin se fera, mais il se fera en allant à l'encontre
de vos volontés destructrices car rien ni personne
ne pourra intervenir dans les volontés d'un Dieu
qui sans cesse, certes, se penche pour bénir et encenser
les êtres qu'il aime, mais pour sévir, regard
dur, pour contempler ces êtres qui ont souillé
sa Lumière et sa pureté, car que faites-vous,
enfants, lorsque vous essayez de vous attaquer à
ces représentants de Dieu ?
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Savez-vous
que les messagers de Dieu sont la lumière et l'image
de Dieu, car rien ne peut se faire sans ce vouloir qui est
le sien lorsqu'il dépêche vers vous ces êtres
de lumière.
Donnez-leur le nom que vous voulez, enfants, qu'ils soient
instruments ou médiums, mais sachez que des êtres
comme ceux que vous avez vu réunis dans cette salle
sordide sont les messagers lumineux d'un Dieu d'amour, d'équité
et de justice que vous avez souillé en souillant ses
interprètes. |
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Tends
la main, ami João, tends la main, même si la
distance des océans te semble trop grande et si tu
penses que jamais rien ne pourra de nouveau réunir
et unir ces deux mains que nous avions bénies car
quel
profit ami, aurais-tu pu avoir !
Non pas
ce profit matériel qui ne vient même pas à
notre pensée lorsqu'il s'agit de toi, enfant, mais
quelle richesse pour ton âme, ami João, richesse
de la découverte de ces Plans que tu n'as pas encore
pénétrés, les Plans de la ferveur,
les Plans de la fierté acquise dans la découverte
d'une foi nouvelle sous le regard de Dieu et sous le regard
pur et lumineux de Jésus qui contemple et voudrait
vous réunir, toi, ami brésilien et elle, amie
française lointaine, pour vous faire avancer d'un
même pas sur un même chemin pour la découverte
d'une autre vie
Elle, a accompli ce destin, enfant chéri
destin
de messagère de celui que tu honores, de ce Jésus
que tu implores, de ce Christ auquel tu parles, de ce Christ
que tu veux faire voir dans sa beauté à ceux
qui t'approchent
L'uvre de Dieu s'accomplit à travers l'espace
et le temps, à travers les êtres, à
travers les siècles.
Je vous ai, enfants, aujourd'hui, conduit celle qui est
ma voix, celle qui uvre par notre volonté puissante
pour que s'accomplisse ce que nous attendons.
L'Esprit qui s'est réincarné en cet être
dont j'utilise aujourd'hui les pouvoirs matériellement
corporels est un Esprit très vieux qui par les dédales
obscurs et déchirants d'épreuves cinglantes
est arrivé à la lumière parce qu'un
regard de Jésus l'a relevé.
Ses cheveux étaient longs, amis, et son cur
immense malgré ses péchés.
Elle a su, enfants, parfumer le Maître, elle a su,
enfants, laver les pieds du Maître, elle a su, enfants,
aimer le Maître, l'aimer d'un amour humain, d'un amour
divin, d'un amour éternel, qui, à travers
l'espace et le temps, à travers les siècles,
vibre encore en ce cur noyé de paix, d'amour,
de tendresse, de charité et
de pardon.
Elle a su, enfants, accepter sa souffrance, elle a lutté
en lui disant :
- « Maître, ne les laisse pas te supplicier
Maître
Maître, je t'en prie, tu peux échapper à
leurs coups !
Regarde, Maître, la foule gronde et crie, et toi,
tu ploies sous le poids de ta croix
O Maître ! ton visage
tes traits tirés
par la souffrance
ton visage
ton visage bouleversé
tes yeux qui nous supplient !
Oh ! ces crachats et ce sang qui maculent cette face chérie
!
Non !
Pourquoi faut-il que tu acceptes alors que tu
pourrais échapper à leurs coups (pleurs de
l'entité)
Non
non
je t'en supplie
non !
»
Il lui a été répondu :
- « Ne pleure plus, Marie-Madeleine, mon royaume n'est
pas de ce monde.
Je dois aller au bout de mon destin de souffrance par la
volonté de mon Père et le poids de ma croix
m'est léger
parce que le sacrifice n'aura pas
été vain et que par-delà le temps,
par-delà les siècles les Humains comprendront
et sauront
O Père
pourquoi m'as-tu abandonné ?
Ah !
»
Tobie, du fond de sa nuit, savait que Dieu dans sa miséricorde
tendait vers lui une main secourable, et l'amertume, le
fiel de l'amertume qui un temps avait rongé son âme,
a reçu en offrande le fiel sorti des eaux qui a fait
renaître la source vivante de l'eau salutaire et bénie
de larmes de joie.
C'est pourquoi, sachant ce qu'elle pouvait représenter
pour toi, spirituellement parlant, nous avions offert à
ton attente ce cadeau merveilleux : cette rencontre à
deux, qui aurait pu, déjà placés sur
cette orbite lointaine, vous emporter plus encore dans ce
travail commun vers ces Plans où seule brille la
Lumière de Dieu, car le moment est venu, enfant,
d'accomplir ses vux sur cette Terre où tout
s'effrite
Marie-Madeleine irradie cette lumière que nous avons
voulu projeter sur vos Plans, mais sais-tu sa souffrance
?
Des Guides près de toi pourraient tendre la main
pour apaiser une partie de ce drame pour quelle puisse accomplir
la promesse quelle a faite au Maître merveilleux qui
la regarde avec des yeux tristes et malheureux car Il sait
la souffrance de son âme
Dans nos Plans, ces Plans si proches de Dieu, nous devons,
souvent malheureux, regarder et nous taire, car chaque Plan
a ses règles, enfants, et même nous, Esprits
supérieurs, ne pouvons imposer aux âmes ce
qu'elles doivent accomplir pour que jamais ne s'éteignent
des flammes
Votre libre arbitre est puissant, enfants, et vous seuls
pouvez disposer de ce temps d'amour, de dons ou
de désertion et d'abandon
Nous ne pouvons que
souhaiter et formuler une prière
pour que vous ayez envie de comprendre et pour que vous
couriez sans attendre apporter, à l'être déchiré,
la douceur de votre présence
Réfléchissez à cela, enfants, car il
faut que l'on y pense à ces gestes que l'on doit
accomplir
Ah, enfants, que de travail à faire !
Nos
bénédictions sont sur vous ; toutes nos vibrations
de paix sont projetées dans vos êtres pour
régénérer vos êtres profonds
à cette source divine de puissance et à cette
source radieuse de vie.
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Abreuvez-vous,
enfants, à l'eau vive de la spiritualité.
Combien est dur, amis très chers, ce chemin de
la spiritualité !
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Hasardez-vous,
enfants, sur ce chemin qui serpente durement et dont les
pierres acérées blesseront vos pieds ;
ne craignez point
les ronces du chemin,
ne
craignez point les pierres tranchantes,
ne
craignez point, enfants, les sarcasmes et les épreuves.
Tu es, ami João, une pierre précieuse, un
diamant déposé par la main de Dieu sur les
étagères sinistres d'un Monde où hélas,
aujourd'hui, plus rien ne vibre que le difficile enchevêtrement
de sentiments bas et vils
Tu es ce joyau précieux, ami João, que la
main de Dieu a déposé sur ces étagères
et que des mains salies de poussière essayent de
camoufler pour que personne ne puisse encore se réjouir
de sa beauté
Nous savons ton dévouement
et ton désintéressement, je le répète,
enfant, mais exige plus de spiritualité de ceux qui
viennent à toi, n'accepte pas, ami, de dispenser
tes dons dans des lieux où les gens ne veulent pas
s'incliner car il faudrait même souvent qu'ils demandent
pardon à Dieu de leurs iniquités pour mériter
toutes ces bontés.
Ami João, nous avons dépêché
vers toi des Guides qui pourront peut-être, en dessillant
tes yeux, te faire contempler, heureux, ce message de nos
Plans lointains car nous avons pris ta main, enfant chéri,
et sache que jamais, ami, nous ne la lâcherons car,
sais-tu, combien nous souhaitons que cette main que nous
tenons, cette main symbole du Brésil et de sa spiritualité
puisse rejoindre, même un jour lointain, cette autre
main que nous avions fait se tendre vers toi, cette autre
main, symbole de la France et de la spiritualité
de celle qui est définitivement notre messagère
car, où est la fusion de ces spiritualités
en France, enfants ?
Oui, où est ta spiritualité, France ?
Ah ! quelle tristesse, car où est la vérité
?
Quelle pauvre spiritualité !
Travaillez, travaillez encore -plus encore- amis très
chers avec cette attention permanente qui doit être
votre lot
Oui, analysez, enfants
combien de
pièges tendus sur les chemins que seul l'esprit attentif
et vigilant pourra éviter !
Approfondissez
plus encore votre travail, enfants, dans le sens de la découverte
d'une
analyse, d'une
dissection plus puissante
encore de ces messages que vous recevez
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Ne
laissez rien dans lombre
car lorsque laile
duveteuse et noire de l'ombre s'étend sur la lumière
d'une page, il faut être vraiment très sage
pour analyser sans détour ces mots que l'on croit
découvrir dans un cours de valeur importante et
définitivement établie
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Etat des lieux
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Ouvrez
plus encore vos curs, amis, à l'acceptation
de ces obligations qui sont la réalité de
liens entre vos plans et le nôtre
Les détresses et les souffrances rampent sur les
chemins difficiles d'une Terre où l'aile obscure
d'un rapace déchaîné, destiné
à détruire, flotte et couvre d'ombre ces terres
qui sont déjà trop imprégnées
des sueurs de l'horreur, des larmes de souffrance et du
sang des épreuves accomplies
Ah, enfants, comme nous souhaiterions voir la réunion
de ces forces vives, de ces élans puissants qui pourraient,
en recréant un bloc définitivement enraciné
dans la valeur de nos Plans, un bloc qui pourrait s'opposer
aux atteintes des ombres sur une planète qui vit
sans cesse dans une quête perpétuelle de jouissance
et de folie !
Action
difficile que cet affrontement aux drames et aux détresses
Savez-vous, enfants, la lourdeur de ces moments où
les esprits perdus ne peuvent qu'espérer, espérer
sans savoir quelle main pourra un jour se tendre vers eux
pour leur apporter apaisement et espoir ?
Et ils n'en finissent pas de tomber ces soirs de souffrance
et de solitude immenses sur ces vies perdues !
Savez-vous la grandeur de la vertu qui sans cesse donne
et donne encore et toujours pour semer, tout au long des
jours, les fleurs duveteuses et veloutées d'un espoir
infini et d'une infinie bonté pour offrir, au jour,
la radiance de la beauté des vies retrouvées
?
Quelle abnégation, enfants !
un travail sans
répit, sans repos
car il ne faut pas tourner
le dos ne serait-ce qu'un instant à l'attente de
ces enfants qui sans cesse appellent au secours, car ils
peuvent basculer, ces jours, dans l'horreur du drame et
vous n'en aurez jamais fini de ranimer ces flammes qui,
vacillantes trop souvent, pourront peut-être un jour,
malgré les souffles d'un vent glacial et destructeur,
relancer vers le bonheur, l'attente et l'espoir
Des vies où le « moi » doit être
définitivement banni des instants ; des vies ou le
pronom « je » ne pourra plus rendre heureux,
et il n'y aura de place que pour l'autre car, enfants, dans
ce combat que vous voulez engager, combien de fois allez-vous
"pleurer", ce mot que je mets entre guillemets,
sur la souffrance des autres ?
Mais il faut encore, enfants, avant d'accomplir cela, endurcir
vos êtres profonds car, en contact avec l'effroi et
l'émoi, vous n'êtes pas encore suffisamment
forts pour pouvoir assumer ces efforts de porter tant d'êtres
à bout de bras car, enfants très chers, quel
dantesque combat !
De nos Plans de Lumière, nous essayons de projeter
sans cesse ces forces vives capables de faire bouger les
masses mais
mais
mais
combien de fois
l'être se lasse parce que les heures pèsent
trop lourd, parce qu'il faut toujours et toujours s'abstraire
définitivement de soi, car sa vie n'existe plus,
car on ne compte plus, et l'être seul qui demande
a droit à cette attention, à cette offrande
d'amour, de présence et de foi. Mais il est des moments,
enfants, où vous pourriez plus encore
Oui, vous pourriez, enfants, mais il vous faut encore trouver
ce temps d'une fin d'apprentissage pour être devenus
tout à fait sages pour pouvoir prendre à bras-le-corps,
ces problèmes qui, chaque fois encore, détruisent
et détruisent des vies.
Vos pas vous conduisent sur un chemin largement montant,
enfants que nous aimons, mais des paliers sont encore à
atteindre où vous verrez un jour se peindre sous
vos yeux éblouis un paysage irisé de lumière,
irisé de moire azurée et pure, et vous saurez
que plus rien ne dure de ces instants d'hésitation
où vous auriez voulu cependant ne pas minimiser vos
uvres.
Voulez-vous, enfants que nous aimons, accepter que nous
vous aidions à franchir les pas nécessaires
à l'orientation de vos vies, car vous pouvez encore
plus et mieux
et vous irez bien plus vite vers Dieu
en acceptant humblement de comprendre, sans tourment, qu'il
est encore des gestes à faire, et en réponse
à votre prière, nous vous offrons, enfants,
la possibilité, à travers le don que nous
voulons vous faire, d'une réponse à cette
prière pour accéder à ces Plans de
Lumière qui vous permettront d'arracher aux Ombres
ces êtres qui se perdent et qui s'enfoncent dans un
"no man's land" qui aurait dû être
un temps de répit mais qui n'est que l'antichambre
des Ombres où s'accompliront les méfaits de
cohortes haineuses, vindicatives, provocatrices qui viendront,
comme en un supplice, détruire et détruire
encore
Des mots nouveaux à découvrir, des élans
nouveaux à avoir pour ce chemin rempli d'espoir que
nous voulons offrir à votre attente et à votre
joie
Savez-vous seulement formuler les prières nécessaires
pour apporter à ceux qui souffrent les éléments
de leurs attentes ?
Pourquoi vos prières ne s'élèvent-elles
pas plus intenses et plus vibrantes : non des prières
psalmodiées dans un rite établi, mais des
prières venues du fond de l'âme comme la lumière
vient du fond de l'Infini et submerge tout
des prières
venues du fond de l'âme qui, dans un envol, porteraient
à Dieu l'intensité de vos espoirs et de votre
attente, l'intensité de votre besoin de sa présence,
de son amour
Oui, priez, enfants, priez !
Sans cesse près de vous, des Esprits attentifs lancent
puissamment sur vos Plans des messages de compréhension,
de tendresse et de joie que vous recevez dans l'émoi
Prenez et gardez, car, dans ce bagage d'amour, vous pourrez
puiser sans détours pour offrir, à votre tour,
à ces êtres qui mendient
Le Ciel a vu, enfants, bon nombre de ces êtres accomplir
un destin de lumière au milieu des drames et des
souffrances, mais c'est vous qui avez cette chance de recevoir
encore et toujours et vous pourrez, ô combien, embellir
vos jours si vous savez écouter ces conseils, si
vous savez, tout au long de vos veilles, méditer
et méditer encore ces paroles que, venus de bien
loin, nous vous apportons pour éclairer vos chemins
d'une lumière nouvelle.
Un rôle à jouer, important, mais un rôle
que vous ne pourrez accomplir tout à fait sans un
engagement pour ce combat dantesque qui s'engage à
chaque instant
Ah ! Comme nous déplorons cet éparpillement
des forces de valeur, des forces de lumière !
Nous avons mis dans cette main (celle du médium),
une bannière qui devrait flotter très haut,
signe de ralliement des volontés de Dieu qui pourrait
réunir sous nos yeux cette élite que nous
souhaitons placer aux quatre coins du Monde car elle n'en
a pas fini de tourner cette ronde des êtres malheureux,
des êtres détruits par l'ignominie qui ne pourront
voir épargner leurs vies
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Quels souhaits nous formulons, enfants, pour qu'au fil
du temps vous puissiez être réunis !
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le Spitisme en France
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Les
flambeaux que nous mettons dans les mains sont trop souvent
trop vite éteints car les souffles de l'orgueil,
de la morgue et de la suffisance agissent comme une lance
pour éteindre les flammes, mais notre souffle sera
puissant, enfants, pour ranimer ces flammes, pour nettoyer
les âmes, pour faire renaître ces points lumineux
qui seront aux croisées des chemins comme le symbole
d'une main qui se tend pour tirer l'être perdu hors
des chemins battus des ombres pour le replacer sur le sol
solide où il pourra, après s'être récupéré
sous le regard de Dieu, recommencer à avancer, moins
malheureux, vers des Plans de clarté lumineuse
Pourquoi, groupes français, groupes éparpillés
à travers un territoire dans le silence de gestes
qui se font trop souvent
"à guichet fermé"
dans le silence des vies, groupes éparpillés
comme ces feux que l'on peut mettre aux coins d'un champ
pour délimiter un terrain où un avion pourra
se poser, groupes qui ferment leurs portes pour que rien
ne sorte de ce qui se passe dans leurs murs et qui trop
souvent dénaturent les vérités spirituelles
dans un esprit d'intérêt, pourquoi ne pas vous
ouvrir à cet esprit que nous souhaiterions vous voir
avoir sans cesse ?
Pourquoi n'uvrez-vous pas dans cet esprit d'amitié,
de sincérité, d'élans, en un mot :
de spiritualité
car vous dispensez des données
qui ne sont qu'embryonnaires ?
Non, enfants, non
non
uvrez certes à l'intérieur de vos propres
murs, mais ne faites pas que durent ce silence et cet isolement
Pourquoi refuser les éléments de ceux qui
viennent à vous en acceptant de ne considérer
comme valable que ce qui émane de vous ?
Les
médiumnités sont différentes, enfants,
et au lieu de jalouser celui qui va pouvoir offrir à
votre attente le joyau venu de nos Plans, au contraire,
enfants, mettez-vous à genoux, et remerciez Dieu
de vous avoir offert ce diamant qui va illuminer vos instants.
Mais
non, enfants, vous jalousez, vous refusez, vous repoussez,
car lorsque ces messages lointains viennent à vous
dans leur beauté, vous mesurez tout d'un coup les
limites de votre valeur, de votre spiritualité
Attention, enfants, au jeu que vous jouez
Ne saisissez
pas l'occasion de la détresse des êtres pour
essayer de les amener à vous car là vous jouez
le rôle de "gourous" qui se servent et usent
du malheur des autres
terrains de chasse faciles,
enfants, que l'attente curieuse ou douloureuse des êtres !
Transformez votre travail, groupes français, avancez
vers plus de spiritualité, mais pour arriver
à ce faire, il faudra, enfants, que je formule une
prière : celle de vous voir vous nettoyer plus encore
pour vous épurer car vous êtes tous limités
et pourtant depuis des années j'ai essayé
de vous envoyer ces messages pour vous ressaisir et vous
faire avancer, mais
comme l'enfant qui pirouette et
fait un pied-de-nez aux parents attentifs qui veulent le
conseiller, vous fermez vos portes à double tour,
et comme ces peuples lointains qui clouent des planches
sur les fenêtres parce qu'un typhon est annoncé,
vous barricadez vos issues pour rester hors de notre vue
et continuez à pianoter sans arriver à pouvoir
un jour réussir à jouer la mélodie
qui enchante
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Attention,
groupes spirites, vous glissez sur une pente difficile
à nos yeux
Ressaisissez-vous il est temps
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Acceptez
l'évidence de dons différents pour chacun,
et au lieu de jalouser, levez les yeux vers le lointain
pour remercier ce Dieu d'Amour qui sans cesse et pour toujours
tend la main pour vous bénir et vous entoure pour
vous chérir, pour vous donner encore l'espoir de
pouvoir un jour, enfin définitivement transcendés,
sublimés, épurés, avancer sans avoir
à rougir, ayant accompli votre repentir, vers sa
Lumière et vers sa Gloire
Permettez-nous de tendre la main et dans une caresse, de
vous bénir, de finir de dessiller vos yeux pour que
votre regard enfin ébloui ne puisse, dans ce constat
de la vie, n'espérer que se relever pour contempler,
bien plus haut dans les Cieux, le visage radieux de ce Dieu
qui tout au long des jours et des soirs, déverse
sur votre Terre, en réponse à nos prières,
la lumière éternelle de sa Vérité
et de sa Gloire.
Remettez-vous en question, enfants !
Les drames s'accumulent, les erreurs se font, les conséquences
sont graves, et nous encourageons ceux qui, dans l'élan
d'une pureté intérieure, décident de
se battre contre l'abjection de ces exploitations et de
ces abus de pouvoir qui conduisent à des abus destructeurs,
définitivement destructeurs
Oui, battez-vous, enfants, battez-vous, ne craignez point,
quelles que soient les réactions difficiles, quel
que soit ce semblant d'indifférence qui répondra
à votre élan, continuez, unissez vos forces
-nous l'avons souhaité depuis tant de temps- mais
depuis tant de temps nos appels sont passés trop
loin de ces oreilles que des mains énergiques avaient
fermées, et n'ont pu pénétrer ces curs
que des mains puissantes ont fermés, et n'ont pu
arriver à pénétrer ces esprits que
nos lumières pourtant auraient tant voulu inonder
pour les éclairer définitivement.
Oui, battez-vous, enfants ; essayez de reprendre conscience
comme l'être qui, après des moments, des phases
de remise en question, de questions, de doutes, ne pouvant
accepter l'évidence de gestes difficiles accomplis
par l'un, par l'une, par l'autre, vient au fil du temps
d'être le témoin privilégié d'horreurs
qui peuvent se passer, de scènes déchirantes,
de scènes révoltantes ; faites comme lui,
enfants, et retrouvez au fond de vous la conscience des
gestes à avoir pour pouvoir vous engager définitivement
dans l'espoir que nous formulons de voir des gestes accomplis
par des êtres élus qui auront enfin compris
quel combat ils devaient engager sur cette scène
d'une Terre perverse et pervertie.
Battez-vous, engagez le combat, amis, agissez, et si d'autres
près de vous peuvent comprendre l'importance de ces
gestes, qu'ils bondissent de leurs fauteuils, qu'ils franchissent
les distances, qu'ils ouvrent leurs curs, qu'ils tendent
la main, et que pour une fois, ils puissent planter une
plume neuve dans le fond de ces curs pour signer un
autre engagement qu'un engagement brinquebalant qui nous
a tant attristé et que nous déplorons.
Les portes de l'Au-delà se sont ouvertes aujourd'hui
pour laisser venir à vous des millions d'Esprits
attristés, désespères et presque jaloux
de ces richesses que certains possédaient et qu'ils
ont laissé fouler aux pieds ou
volontairement foulées en les souillant de fange.
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Spiritisme
état des lieux
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Lorsque
la voix d'un Archange, enfants, arrive jusqu'à vous,
même s'il est en courroux, comprenez et acceptez que
Jésus lui-même a dû un jour montrer sa
colère car, malgré ses prières, personne
ne voulait comprendre
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alors
sachez, enfants, que la voix d'un Archange peut quelquefois
se teinter de colère et asséner non plus une
prière, mais les mots qui devraient -comme un couperet-
couper ces cordes auxquelles vous êtes attachés
pour vous permettre de vous en aller plus loin vers des
plans lointains de valeur, de lumière et de
paix.
Nous pleurons sur ces esprits bornés qui ne veulent
comprendre et qui, persuadés de détenir toutes
les vérités et la grandeur de pensée,
n'analysent et ne dissèquent qu'en fonction de pensées
limitées sans compréhension et sans vouloir
d'attention, les conséquences entraînées
par des gestes
anodins, et qui laissent en chemin
des êtres qui auraient eu besoin de réconfort
et d'amour
Je garde aussi l'espoir qu'à travers ces mots que
j'ai prononcés si souvent, vous pourrez redevenir
ces
"enfants" que nous avons chéris,
que nous avons bénis, ces enfants que nous avons
aimés, que nous avons aidés ; mais encore
faut-il, enfants, que vous acceptiez de redevenir dignes
de cette attention car même lorsqu'un enfant vient
de se rouler dans la boue pour s'amuser à genoux
dans les allées d'un jardin, lorsqu'il revient maculé
de terre, sale et couvert de poussière, la maman
prend ce tout-petit et même si la colère est
en elle car il a souillé ses habits, elle va le prendre
avec tendresse et avec une caresse commencera ce bain qui
pourra nettoyer le bambin ; et la terre, la poussière
s'en iront et la boue disparaîtra et le bébé
aimé renaîtra dans la beauté de ses
fossettes.
Vous
êtes comme ces bambins qui se sont roulés dans
trop de terre dans un jardin un petit peu trop empoussiéré
Comme la mère remplie de tendresse, nous essayons
depuis toujours, et nous allons continuer tous les jours
à vous ramasser, vous, couverts de poussière
et de terre, mais nous avec une prière, pour vous
amener et vous nettoyer, et nous vous aiderons dans ce geste
avec l'espoir que vous fuirez comme peste ces éléments
trop dégradants.
Laissez-nous encore une fois, enfants, avec la tendresse
d'une maman, prendre l'éponge la plus douce et laissez-nous
vous couvrir de mousse pour nettoyer non seulement vos corps,
mais pour nettoyer d'abord les replis de vos âmes.
Puissiez-vous, enfants, ne jamais laisser s'éteindre
ces flammes sur lesquelles nous soufflons avec amour pour
qu'elles brûlent pour toujours pour illuminer l'horizon
et vous verrez alors, enfants, comme il faudra peu de temps
pour que s'ouvrent définitivement les portes de ces
prisons terrestres, et comme l'apôtre Paul un jour
a pu le faire, vous partirez, heureux, en laissant derrière
vous cette geôle sombre pour grimper des sentiers
lumineux qui vous conduiront jusqu'à ce Dieu qui,
attendri et heureux, tendra les bras vers vous pour vous
accueillir, et peut-être, alors, vous mettrez-vous
à genoux pour le remercier de vous avoir donné
l'espoir d'être inondés de sa Gloire
Nos bénédictions sont sur vous, enfants très
chers, et nous formulons une autre prière pour que
ces mots reçus en ce jour vous accompagnent pour
toujours tout au long de vos chemins ; et vous irez, main
dans la main, avec ces Guides pleins d'amour qui vous amèneront,
un jour, vers les clartés radieuses où vous
découvrirez, heureux, la luminosité plus intense
d'un Dieu d'amour qui, dans une éternité de
beauté, vivra dans ces curs où, jour
après jour, il voudrait que vous le gardiez pour
toujours
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Spiritisme
état des lieux
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Mais
quel miracle, enfants, pourra accomplir Dieu si définitivement
vous fermez vos yeux pour ne pas voir sa Lumière
et sa Gloire ?
archange Raphaël
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Spiritisme
état des lieux
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Marcher séparément, agir réunis :
une idée grandiose, humanitaire, puisque son résultat
eût été la fusion des divers groupes
et diverses opinions de toutes les nuances du spiritualisme
moderne
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