• Les Humains sont ainsi faits…
• Dieu…
• Le Ciel pleure

 

 

 

 

Spirite

Visa pour l'Au-delà…

   

Il est un toujours dérangeant de côtoyer sans cesse des éléments de valeur…
Comme l'amour et la haine se côtoient, la tristesse et la joie s'interpénètrent, et l'oubli est la faculté que l'humain veut garder précieusement par-devers lui pour se permettre de ne plus penser à ce qu'il devrait être, à ce qu'il devrait accomplir, aux gestes qu'il devrait avoir.

L'humain est ainsi fait qu'il ne veut pas voir projeter la Lumière sur ses propres gestes et sur ces propres fonds car il est difficile, ô combien difficile, de pouvoir se voir tel que l'on est quand on veut s'imposer aux autres paré de toutes les vertus… Et par cela même, les Humains deviennent oublieux de tout ce qui leur est donné et qu'ils acceptent volontiers -qu'ils exigent même trop souvent car tout devient un dû- et il suffit qu'il y ait un problème, une épreuve, la souffrance, un drame pour que l'on dise :
« Seigneur, Seigneur, ne peux-tu tendre la main vers moi ? Pourquoi m'abandonnes-tu ? Mais il faut que tu m'aides maintenant à dépasser tout ceci parce que mon épreuve doit se terminer, parce que je veux retrouver la joie et le plaisir de la vie, de la vie facile que les Humains mènent. C'en est trop, et je ne veux que cela continue… » et l'on attend avec impatience que Dieu tende la main et d'un geste du doigt, fasse le miracle qui va tout effacer alors qu'on serre au fond de soi tant d'éléments de turpitude, d'iniquité, de crasse la plupart du temps, d'abjection trop souvent… et on exige, et on demande, et on demande, et on exige, et on attend, et on espère… et si le miracle ne s'accomplit pas, l'humain désemparé rue dans les brancards, se révolte et se cabre dans le défi, la provocation, la haine, la violence…

Ah ! enfants, quelle tristesse dans nos cœurs dans ces moments ou nous constatons ces gestes que nous avons tant de fois voulu apaiser et effacer de vous.

 
 


Vous vous trouvez face à la Lumière qui vous inonde et réchauffe vos âmes, éclaire vos chemins, cette Lumière que nous vous offrons sans cesse et sans discontinuer comme le cadeau le plus merveilleux car lumière de Vie… Lumière d'Amour… Lumière d'Espoir… Lumière venue de fonds de pureté qui sans cesse, sans cesse, la déverse à flots sur une humanité que nous voyons flotter indifférente et souvent pleine de violence, sur une humanité que nous aurions tant voulu voir arriver… à des points de valeur, à des points de grandeur qui auraient été pour nos cœurs, des éléments de bonheur…

 
   

Nous pleurons… nous pleurons sans cesse, enfants…
Sans cesse nous tendons la main pour arrêter sur des chemins trop difficiles, trop rocailleux, des pas pressés, des êtres qui pirouettent, qui pirouettent sans cesse, inlassablement portés par le tourbillon des Ombres.

Il est dans l'Infini, enfants, des cercles qui tournent et tournoient, symboles de ces vies qui sans cesse se côtoient, qui pourraient être des échanges d'amour puissants et vrais ; mais, enfants, enfants que nous aimons, où sont ces élans ?… Pourquoi enfants, tant de curiosité dans vos âmes ?…
Vous ne regardez pas la flamme que nous avons offerte à vos vies mais vous cherchez toujours à comprendre, à analyser, à savoir, et la question est posée -nous l'entendons sans cesse- lorsque des messagers que nous vous adressons se présentent dans ces Centres pour venir vous offrir une moisson d'amour. Combien de fois ces questions fusent-elles :
« Mais qui es-tu ?… Quel est ton nom ?…
Mais pourquoi viens-tu t'adresser à nous ?…
Ne peux-tu faire bouger ce verre ?
Quand donc aurons-nous un apport de fleur pour embellir nos heures ?… »

Comme dans ces Centres où Dieu est présent, dans la vie, face à des envoyés de Dieu, face à la Lumière que nous vous offrons, les questions continuent à fuser, indiscrètes, analysant, grattant, disséquant !…
Mais non, enfant, mais non !…
Où est la vérité des masses ?…
Vous cherchez vite une place en vous blottissant à nos pieds lorsque le drame couve et lorsque les nuages s'amoncellent, lorsque l'horizon s'obscurcit, lorsque les vies sont menacées.
Mais enfants, lorsqu'on s'est incliné devant Dieu pour appeler encore et toujours pour que sa main se tende en offrant l'amour, pourquoi souiller ces places qui sont devenues les vôtres en essayant d'ouvrir instant après instant, porte après porte, ce Plan que vous ne pouvez pénétrer ? Trop lointains de nos vérités, il vous faudra encore avancer par pas, puis par bonds pour pouvoir franchir ces distances qui vous séparent de nos Plans…
Ah !… Mais savez-vous quelle est votre chance d'avoir reçu tant d'attention ?…

Les heures passent, les jours s'écoulent, les ans s'envolent… la Terre tourbillonnante dans une folie ignoble continue dans les sarcasmes, les rires et les fantasmes, cette course qui ne la conduira pas à l'Eternité…
Non, enfants, non…
Un enfant que nous aimons rappelait, il y a un instant, que le cercle se bouclait à travers l'éternité de tant d'absence, et de tant de silence… Silence jamais pourtant, enfants, car nous étions toujours présents pour parler à vos cœurs, à vos âmes, pour ranimer toutes ces flammes qu'avec rage, violence, vous éteigniez chaque fois que nous les avions rallumées par un souffle d'amour, un souffle de tendresse. Vous avez repoussé nos caresses, vous avez craché sur nos pieds quand nous arrivions trop pressés de venir vous entourer d'amour, de tendresse, de bonté pour vous offrir la vérité de moments inexprimables. Vous avez nettoyé la table de ces offrandes et de ces dons, mais avez-vous jamais su prononcer le mot : pardon, au regard de ce Dieu qui malheureux se penche ?…
Combien d'entre vous ont compris, enfants que nous avons chéris ?
Combien ?…

Dans ces murs, des êtres qui, pour la première fois, approchent ces contacts avec nous, des êtres qui sont tombés à genoux pour attendre que notre main se tende. Sachez, enfants que ce que nous exprimons, nous l'exprimons pour vous également. Sachez, enfants, que dans ces murs, vous êtes tous au même Plan : que l'erreur de l'un un jour, sera celle de l'autre un autre jour ; que les fantasmes accomplis de l'un ont été ou seront les phantasmes de l'autre ; que la curiosité des uns a été la curiosité des autres ou sera celle de demain car vous en aurez toujours besoin et vous aurez toujours faim de ces éléments qui vous font vibrer d'une curiosité malsaine et inacceptable…

Combien de fois, enfants, Dieu est-il venu dans vos vies pour essayer de comprendre ce qui se passait sous vos lits, dans les endroits les plus cachés, les plus secrets de vos décors ?… A-t-il eu besoin, alors, de savoir si vous valiez la peine qu'il tende la main pour vous montrer les chemins ou pour briser chacune de vos chaînes ?…
Non, enfants, non !…
Présent sans cesse, sans attente, sans espoir, même si son cœur vibrait d'une impatience fébrile à vous voir avancer sur un chemin moins vil, Il était là toujours bras ouverts, cœur aimant, et Il appelait ses enfants qu'Il voyait tant souffrir, pour leur offrir le plus doux des sourires dans une étreinte chaleureuse et aimante !
Il en avait fait pousser des plantes merveilleuses sur vos chemins, enfants, mais… mais…

Regardez dans ces lointains, enfants… Contemplez le chemin parcouru : chemin humain comme chemin spirituel, chemin ancien, chemin nouveau…
Retournez-vous, enfants, et regardez à nouveau l'horizon que vous avez laissé derrière vous : y a-t-il des fleurs partout, enfants ?… Tant de graines avaient été semées et tant de graines commencent à être semées dans ces âmes que nous accueillons, mais, enfants, pourquoi toujours, avec des gestes fébriles, piler, broyer, saccager, étouffer… au lieu d'entourer, de préserver, d'arroser, de… garder ; d'arroser, enfants, d'arroser, d'arroser avec les élans de votre amour, avec, peut-être, ces larmes qu'un jour vous découvrirez de bonheur ; mais de larmes aujourd'hui, il n'y a que celle de nos cœurs, de notre attente, de notre espoir, et, je dois le dire, larmes d'espoir, mais larmes de… désespoir devant les constats accomplis.
Une Humanité qui nous désespère car, à travers quelles prières, enfants, allons-nous pouvoir lancer vers vous ces appels à plus de valeur ?…

 

Spirite

Visa pour l'Au-delà…

 

Où pouvez-vous trouver le bonheur, enfants, dans les gestes que vous faites ?…

 
   

Est-ce réellement une fête pour vous ces moments de retrouvailles ?…
Y a-t-il seulement dans vos cœurs ces sentiments de bonheur de retrouver ces Invisibles qui, pourtant, présents sans cesse, souhaitent pour vous une vie paisible, une vie de bonheur remplie de promesses.
Y a-t-il une réelle attente ?
Vous préparez-vous, enfants, à ces instants de communion avec nos Plans lointains ?…
Ah ! enfants, nous accompagnons vos pas et nous voyons chaque fois les mêmes gestes désinvoltes : la réunion approche et on est fébrile : que va-t-il se passer ? que va-t-on entendre ? que va-t-on pouvoir tirer de tout cela ?… mais… mais !…
Nous pourrions compter sur nos doigts ceux qui réellement se préparent, s'impatientent car leur âme est toute ardente de retrouver ces moments où, réunis dans un élan, nos deux plans vont fusionner… Nous pourrions compter sur nos doigts ceux qui ont répété tant de fois : « Seigneur, mais Seigneur, quelle est ma joie de retrouver ces instants !… Ai-je assez nettoyé mon âme ?… Ai-je assez ranimé cette flamme que j'avais laissée éteindre il y a si longtemps… ou ai-je compris qu'il fallait allumer cette flamme pour t'apporter la preuve, Seigneur, de l'amour qui montait vers toi pour t'offrir la chaleur de mon cœur aimant, de mon respect, de ma tendresse… ? »

Ah, enfants, ah, enfants !…
S
i l'amour porte, il y a d'autres points de détresse et ces êtres que nous voyons insolents et mauvais, curieux, menteurs, déchaînés, pirouettant sans cesse sur des sables mouvants, bravant et bravant encore en levant le menton, quand nous les voyons ensuite s'incliner en se présentant en disant : « Je suis ton enfant, tu dois continuer à m'aider, à m'aimer, à me porter… Oui je suis là devant toi, Seigneur, oui, je te brave car je suis en fureur et rien jamais ne me fera arrêter, et je ne baisserai jamais la tête devant tes volontés car ma volonté seule me guide !… »
Ah, quand nous voyons ces enfants venir ensuite tout… repentants, quand nous sondons le fond des âmes, quand nous voyons vaciller ces flammes qu'avec amour nous préservions, mais quelle tristesse, enfants !…
Regardez la plage de vos vies, enfants, regardez, regardez et regardez encore car elle est loin d'être le décor des beautés accomplies…
La mer sans arrêt vient lécher ce sable où nous aurions souhaité voir de toute éternité, des pas s'imprimer, des pas qui couraient vers ce point de lumière que nous offrions à vos prières pour vous apporter la clarté, pour vous apporter la beauté, pour vous remplir de notre bonté ; mais, regardez-la la plage de vos vies, enfants !…
La mer, sans arrêt, vient rouler sa lame et elle a éteint ces flammes en déposant force galets, force déchets, les déchets de ces palais qu'avec amour nous avions bâtis pour embellir toutes vos vies.
Vous sautez allégrement, enfants, au milieu de ces excréments et vous pensez avoir trouvé la vie ; vous courez et vos pas s'enfoncent dans ce sable humide où plus rien n'est resté qu'un peu de mousse abandonnée, arrachée à la crête des lames, et nous, au-dessus de vous, laissons couler nos larmes car si vous pouviez regarder encore, vous apercevriez alors le nombre de fois où vos pas insouciants ont été effacés du sable et vous ne verriez plus que la trace de deux pas lourdement imprimés…
car Dieu vous avait tant porté…
Mais comme l'enfant qui s'arrache à l'étreinte trop solide, au baiser qui l'embête, car il a autre chose en tête que de se laisser cajoler, vous vous arrachez à nos bras et vous accélérez le pas pour bien nous faire comprendre que vous pouvez partir sans attendre et braver vos destinées, des destinées qu'hélas vous construisez, enfants, avec des matériaux qui ne défieront jamais le temps…

Si je m'exprime ainsi aujourd'hui, enfants, c'est que, au moment de ces retrouvailles, il est important que se fasse ce point qui ne laissera aucune ombre sur ces engagements que vous avez peut-être pris allégrement, comme cela, d'un élan, en voulant venir vers nos Plans ; mais, enfants, sachez que ces moments de communion ne doivent être souillés par rien…

Dans un pays lointain que nous bénissons, [le Brésil] comme à travers le travail de celle que nous aimons [la médium], se faisaient ces moments d'attention, ces passes de dégagement données, offertes à ceux qui venaient le demander avant justement ces moments de rencontres. Purifiés, nettoyés, dégagés, les êtres vidés de leurs éléments de stress, de leurs éléments de haine, pouvaient se présenter à nous un peu plus propres, un peu plus vrais, ayant retrouvé le sens de ces vérités qui ne devraient être que le pain de vos vies.
Quel est celui de vous, enfants, qui, dans l'attente de ces moments qui commenceront bien plus tard, quel est celui de vous, enfants, qui aura eu ce geste, justement, de commencer à nettoyer son âme pour se présenter moins impur et plus vrai devant nos regards atterrés ?…

Oui, enfants, la joie et la tristesse s'imbriquent et s'interpénètrent, et lorsque nous ouvrons une fenêtre, nous avons toujours l'espoir de pouvoir apercevoir une toile d'une beauté sublime où l'élan de chacun aurait pu apporter cette touche de lumière sur un pastel déjà délicat que vous auriez refait, c'est vrai, tant de fois, pour ne pas oublier le petit temple de l'amour ailé, le jet d'eau qui continue à gicler dans la vasque en répandant alentour la fraîcheur de ses gouttes ; l'herbe si verte que le pas aurait envie de la fouler, les arbres dont les branches s'inclinent et dont les feuilles pourraient bruisser doucement au gré du doux zéphyr ; les oiseaux qui chantent et qui, à gorges déployées, lancent vers le Créateur la tendresse et le merci de leurs cœurs…
Nous espérons toujours découvrir cette œuvre d'amour en ouvrant toutes grandes nos fenêtres ; mais, enfants, quelle palette triste et sombre !… Les roses, les jaunes, l'or, l'argent, le turquoise, le blanc… le blanc, enfants, tout a été remplacé par des teintes plus sombres, et nous avons beau vous appeler, vous dire :
– « Mais non, enfant chéri, il faut que tu retires toutes ces teintes de mort… remplace donc le noir par une touche d'or, enfant que nous aimons… », vous nous regardez en dressant le menton, et la touche de noir devient plus intense…
Je crois qu'il faudrait qu'on y pense à ces gestes accomplis.

Vous voulez aller sur le chemin de la spiritualité, de la lumière, mais enfants, lorsque le fardeau trop lourd des erreurs accomplies, des engagements négatifs trop pris va peser trop lourd sur vos épaules, comment pourrez-vous avancer pour aller d'un pas plus pressé vers Dieu qui vous regarde et qui pleure, et qui du fond de son cœur lance vers vous avec tendresse, la plus douce des caresses comme on offrirait une fleur…

Notre joie est immense, enfants, de vous voir venir vers nous, mais sachez que c'est nous qui sommes à genoux pour vous prier et vous prier encore de faire un peu plus d'efforts pour arriver à cet horizon que nous avons offert à vos vœux, pour vous demander encore de nettoyer vos fonds profonds ; nous, qui sommes à genoux pour vous demander d'écarter de vous ces éléments d'indifférence et de trop grande confiance que vous avez dans ces fonds qui ne sont remplis que de tourments
car quelle est la teinte de ces fonds, enfants ?…
Vous avez paré vos visages, car vous voulez paraître plus sages, plus beaux, plus purs et plus vrais, mais… mais enfants… le regard de Dieu va plus loin que la façade : il pénètre jusqu'au tréfonds des âmes et nous tremblons souvent, enfants, du fond de notre désespoir, car en plongeant dans les tréfonds, nous n'y trouvons que du noir…


 
 

Et le Ciel pleure, enfants, le Ciel pleure !…

 
   

Larmes de joie pour ces retrouvailles, pour cette porte qui de nouveau s'est ouverte sur un destin que nous voulons chantant, mais larmes de tristesse ô combien ! Larmes de tristesse sans cesse versées, sans cesse dispensées car nos cœurs déchirés ne peuvent que pleurer, pleurer et néanmoins espérer qu'une porte enfin s'ouvre pour laisser pénétrer jusqu'à vos Plans ternis, cette Lumière d'Amour que nous braquons toujours pour illuminer vos jours…
Combien, combien d'attente, combien d'attente !… évitez de glisser sur la pente des jours trop assombris par des gestes difficiles. Nous gardons l'espoir qu'au fil des jours, au fils des soirs, vous pourrez analyser et comprendre, et que vous irez sans attendre sur ce chemin montant que nous montrons à votre attente. Nous gardons toujours l'espoir que vous pourrez comprendre… et qu'un jour, vous nous donnerez la joie de visages épanouis dans l'amour.
Nous gardons toujours l'espoir que vos gestes difficiles pourront être écartés de vos vies, et notre attente est puissante, puissante et notre souffrance est lancinante lorsque nos voix sont étouffées par vos réactions de brutalité…

 

Spirite

Visa pour l'Au-delà…

  L'amour !… l'amour… l'amour de Dieu toujours présent, l'amour de Dieu toujours offert à ces enfants qui pourtant ricanent et se gaussent…  
   

Nous semons largement, nous vous couvrons de bénédictions, nous vous entourons de tendresse et à travers nos plus belles prières, nous avons à cœur de vous offrir la bannière de l'espoir et de la vie, la bannière de lendemains chantants, la bannière d'un amour qui, flottant sur une Humanité enfin assagie, pourra être le symbole d'une nouvelle vie, une vie remplie de bonheur et de joie, et c'est sans fin que nous avons l'espoir que vous pourrez comprendre à quel point il est important de devenir dignes pour pouvoir espérer mériter sa Gloire…

Une larme, enfants, n'est rien, mais pouvez-vous savoir quel fleuve impétueux… les larmes qui coulent de nos yeux, pourrait faire déferler sur la Terre… alors, vous seriez en prières pour demander à Dieu qu'Il ouvre à vos regards l'horizon merveilleux d'un ciel redevenu bleu car aucun nuage ne l'assombrira…
Car, enfants, les larmes de Dieu ont coulé longtemps sur une Terre qui, hélas, ne rendra pas d'échos… et l'immensité de sa Gloire continuera encore longtemps à être assombrie par le noir d'actions… que nous blâmons.

Puisse le flot de ces larmes cesser un jour de s'écouler, et puissiez-vous, enfants que nous aimons, trouver très vite la solution qui vous apportera la clé qui, seule, pourra ouvrir à votre espoir, la porte qui conduit au chemin qui vous mènera à sa Gloire…

message reçu par incorporation
de l'archange Raphaël
médium : marcelle olivério

 

Spirite

Visa pour l'Au-delà…