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Amis
!
Les jours se sont écoulés et le temps a passé
depuis ces instants où nous vous avons délivré
des directives détaillées et puissantes pour
un travail que nous souhaitions précis et sérieux.
Nous avons suivi avec attention et amour ce dernier débat
où le ton, bien sûr, sélevait
quelquefois dans la contradiction profonde extériorisée
par une enfant qui voulait peut-être dans une inconscience
que nous pardonnons, mesurer et opposer des forces, mais
lheure vient toujours, amis, où la lumière
brillante descend sur une assemblée attentive et
anxieuse et éclaire les recoins obscurs et cachés,
éclaire le fond des êtres et lobscurité
des gouffres.
Je dis merci et bravo à certains dentre vous
qui ont su, au prix dun effort terrible et même
déchirant, descendre au fond de leurs êtres
pour une première analyse qui les conduira, quils
en soient certains, sur un chemin montant bien que difficile
; merci à un ami davoir eu le courage dexprimer
lintérêt porté à nos paroles
; merci à ces amis qui tendent leurs efforts à
recevoir plus encore dans ces mains tremblantes quils
lèvent vers nous. Je voudrais cependant, enfants,
me permettre quelques conseils complémentaires. Je
vais jeter en vrac, je vais semer et je sais que chacun
saura puiser dans cette gerbe offerte la fleur ou
lépine qui embaumera ou
écorchera.
Il importe de recomposer plus encore vos vécus, plus
et mieux. Attention, amis, à cette faiblesse délans
que souvent vous transposez en amour ; attention, car la
faiblesse est, je lai dit, le don de la valeur à
linutilité, la faiblesse est la perle que vous
offrez et quon laisse rouler dans la boue noire. Noffrez
pas ces perles, amis ; nattendez pas que la boue
gicle et éclabousse parce que ce joyau précieux
aura été jeté dedans.
Noffrez pas la faiblesse : Dieu nest point
faiblesse, Dieu est amour, Dieu est justice.
Que les gestes de Dieu vous apprennent vos gestes ;
comme
lui, enfants, sachez opposer le refus, le refus définitif
et ferme à toutes ces formes de tromperie : opposez
le refus à la fausseté des sentiments, opposez
le refus à la fausseté des élans ;
nacceptez que la pureté du geste, nacceptez
que la pureté du mot, nacceptez que la pureté
de lélan
Sachez, enfants, reconnaître les vôtres.
Soyez comme le prospecteur qui, lentement, patiemment, et
lenvie au cur, fouille et creuse pour trouver
un trésor
Ne gardez pas entre vos mains serrées la pyrite en
croyant détenir lor. Jetez la pyrite, et même
si des efforts longs sont nécessaires pour chercher
dans les courants glacés, dans le sable glissant,
les petites parcelles brillantes et étincelantes,
vous aurez, enfants, cette bénédiction infinie
qui vous mettra ce trésor en mains.
Jetez la pyrite pour nespérer que lor
Ne soyez pas pressés de voir étinceler sous
la lumière les mille facettes dun diamant précieux.
La gangue est dure, épaisse autour de cette étincelle
de lumière. Que defforts faudra-t-il pour casser
cette gangue et faire apparaître le joyau, et même
alors, le diamant sera brut et il faudra lhabileté
de mains expertes pour tailler les facettes doù
léclat irisé, étincelant
et lumineux pourra jaillir. Longs sont ces efforts, enfants,
mais le moment vient toujours où la gangue éclate,
explose, et le chatoiement irisé émerveille
et trouble.
Votre médiumnité est telle, enfants.
Vous êtes en ce moment comme les parents qui, voyant
leur bébé commencer ses premiers pas applaudissent
et attendent. Ils tendent les bras vers lui, et lenfant,
en déséquilibre, sur la pointe de ses orteils,
la tête penchée en avant, va vers eux avec
un rire.
Ravis, ils sont ravis, et si lenfant audacieux fait
trois pas de plus que celui quils espéraient,
alors la joie est à son comble. Soyez comme ces parents,
amis, devant ces êtres, qui, tremblants, émus,
impressionnés, attendent de faire leurs premières
armes dans ces premiers contacts si difficiles. Aidez-les
à comprendre que la moindre sensation de leur corps
est le signe valable et puissant de présences amies
et invisibles. Aidez-les à comprendre que le trouble
intense de leur être peut sextérioriser
dans un appel qui recevra réponse. Concentrez vos
forces, non plus dans des chaînes que vous aurez déjà
réalisées pour une puissance de protection
mais dans une élévation de pensées
et une projection délans damour et de
force.
Un garçon tout à lheure tremblait de
tout son être. Il sentait en lui des choses quil
aurait voulu accepter et quil refusait pourtant dans
une inconscience terrorisée car des Esprits se présentaient
qui voulaient entamer le dialogue, dire :
« Mon Dieu, je suis là
Bonjour, ami
Ecoute, ami
» mais la barrière de son
refus était solide et au fond de son être,
cet enfant se disait : « Puis-je ?
Vais-je ?
»
Il importe, amis, daller lentement sur le chemin des
découvertes spirituelles.
Je disais que les parents ravis applaudissaient aux premiers
pas, et si lenfant, le temps passant, senhardit
et un beau jour saute une marche, oh, miracle !
oh,
merveille !
: « Il a sauté ! »
direz-vous, « mais il a sauté ! Cest
un exploit !
»
Lexploit est là, en effet, mais mettrez-vous
cet enfant hardi sur les stades où -dans lenthousiasme
des foules- les athlètes se mesurent ?
Il a
sauté sa marche, mais ne lui demandez pas de se confronter
aux athlètes qui dans lélan puisant
de leurs muscles, sauteront des barres tendues à
des hauteurs vertigineuses, car déjà perdu
et déjà troublé par les bruits de la
foule et les cris qui sexpriment dans la joie délirante,
il sera un pauvre être tremblant et son cur
explosant de chagrin et de terreur essaiera de lancer un
appel vers ces êtres quil aime et qui, croira-t-il,
lauront abandonné.
Celui que vous voulez propulser dans une médiumnité
puissante vers des contacts qui le dépassent, ressent
au fond de son être le même trouble et le même
désarroi que lenfant perdu dans la foule des
stades ;
aussi aidez-le, amis, aidez-le
Des messages seront donnés dans cette assemblée,
des messages ont déjà, dans les instants qui
ont précédé, été communiqués
à des esprits qui, attentifs, et déjà
ouverts à plus de tendresse et à plus damour,
percevaient des vibrations qui leur apportaient la joie.
Sachez que votre salle est ce soir pleine dEsprits
qui écoutent et attendent.
Jai applaudi tout à lheure à des
gestes qui nous avaient touchés, je dois en
blâmer dautres car, enfants, vous ne devez,
vous ne devrez jamais, entendez-vous, quand une décision
de travail a été prise au sein de ce groupe,
passer outre au plan de travail établi.
Lincorporation amorcée nétait
point, [n.d.l.r. - une médium avait simulé
une incorporation.] et il a suffi dune pensée
pure et sincère [celle de marcelle] demandant à
Dieu dans sa justice infinie et vivante de permettre que
le contact se fasse sil était délivré
au nom de Dieu Tout Puissant, dans sa seule Vérité
et sa seule Lumière, pour que le contact sarrête
et que tout cesse.
Plus jamais, enfants, des gestes semblables ne devront se
reproduire : chacun à son tour aura sa part.
Voyez-vous, vous vous sentez en ce moment comme le pauvre
être qui, mourant de faim, épuisé, traîne
son corps affaibli car il aperçoit, au loin, les
vitres brillantes dun grand restaurant ; et il espère,
dans son immense désarroi, qu'en s'approchant de
ces lieux, une main charitable offrira le croûton
de pain dur qui pourra lui permettre de renaître enfin
à la vie. Il traîne son corps dans un dernier
élan, et quand il croit enfin toucher au but, il
se rend compte que le verre est épais, et que si
la lumière passe au travers de cette vitre brillante,
seule la lumière passe, et il se redresse en sappuyant,
désespéré, à cette vitre quil
voudrait briser de ses poings serrés pour lancer
un appel et dire :
« Mais jai faim
Je meurs !
Détournez vos regards ! Détournez vos yeux
!
Tendez vos mains dans un geste de charité !
Offrez-moi les miettes de votre table
les miettes
Je ne demande que des miettes et un peu deau
des miettes et de leau !
»
Mais les gens rient, insouciants, inconscients sans le voir,
sans le regarder
tandis que les serveurs apportent
des plateaux couverts de plats raffinés
Alors cet être qui ne demandait que la charité
de quelques miettes et dun peu deau, tout dun
coup, se sent saisi de rage, dune envie débordante,
dune jalousie torturante et dit :
« Mon Dieu ! Mon Dieu ! mais pourquoi eux ?
Mais pourquoi eux ?
Pourquoi la souffrance de
ce côté de cette vitre alors que de lautre
côté, dans la chaleur feutrée, ouatée,
ils ont
ils possèdent
ils mangent, ils
dégustent, ils se délectent
Non, Seigneur,
non !
Seigneur ! Donne-moi à moi aussi
Je veux plus encore, Seigneur !
Pourquoi ne suis-je
pas digne davoir plus et mieux ? Pourquoi Seigneur,
suis-je délaissé de toi ? Jai faim,
et eux, ils sont repus
ils possèdent et je
nai rien
mais comprends !
Ô ! vous qui mangez, Ô! comme je vous maudis
!
Jai tendu la main et vous navez point entendu
; jai supplié et vous mavez dédaigné
!
Maudits, soyez-vous tous qui possédez quand je nai
rien !
»
Vous ne maudissez pas, enfants, mais souvent la jalousie
est en vous de ces êtres que vous voyez briller et
illuminer. Au lieu de cela, demandez vous aussi ces miettes,
enfants, demandez ces quelques gouttes deau qui rafraîchiront
vos lèvres desséchées, car ces miettes
seront les miettes dun autre pain
corps divin
et céleste et une seule de ces miettes, enfants,
vous donnera la force intense de vous relever et de vous
redresser
et ces quelques gouttes deau qui mouilleront
vos lèvres seront la rosée deau vive
quune puissance merveilleuse projettera sur vous.
Gardez ces conseils en vous, enfants, et nessayez
pas, parce que vous savez marcher, de vouloir sauter trop
haut car il est facile de se dire : « léchelle
est là et je peux grimper tout en haut ! »
mais, souvenez-vous toujours que lorsque les mains ne sont
pas essuyées, lorsque des mains savonneuses saccrochent
à ces montants, on se retrouve tout à coup,
désespéré et meurtri au bas de cette
échelle quon avait crue si facile à
escalader.
Allez votre chemin, amis, pas à pas
Les médiums devront travailler à tour de rôle,
ai-je dit. Faites travailler des médiums qui ont
déjà fait leurs preuves dans cette assemblée
parce que par un premier message donné par des amis
invisibles qui connaissent les angoisses des êtres,
ils pourront aider lami qui derrière eux viendra
ouvrir son être à lattente de ce message.
Médiums instruits dabord, les autres seront
instruits à leur tour.
Il nest pas question dans ce geste, enfants, de rendre
honneur à ce quon pourrait croire être
des valeurs différentes, il est simplement question
de préparer la voie à des débutants
tremblants et angoissés.
Nous reviendrons, enfants très chers, pour vous donner
dautres éléments qui vous permettront
peut-être de canaliser des forces puissantes qui séparpillent.
Des Esprits de Lumière sont là qui vous entourent,
et leur force est puissante pour protéger cette réunion
car, un de mes messagers, un jour, vous avait avertis que
nous souhaiterions, en fonction dun travail damour
réalisé au fil du temps, faire de ce Cercle,
un flambeau lumineux.
Il importe, enfants, que cette uvre se fasse, car
nous en aurions des regrets
Je voudrais, avant de vous quitter, dévier un peu
les conseils que je donne pour les orienter vers des êtres
qui, dans la souffrance, commettent des erreurs profondes.
La mort est pour vous, Humains -mon terme est très
large et englobe non les amis présents, mais lHumanité-
une chose effroyable et horrible, et lorsquun jour,
un être cher ferme les yeux, le désespoir immense
abat et terrasse. Alors plus rien ne compte : les convictions,
les connaissances, lespoir, la foi
tout brutalement
est balayé, et lon nest plus que cur
saignant et esprit perdu, et le visage ruisselant de larmes,
on essaie de retenir encore pour quelques instants cette
vie qui sen va et que l'on croit sienne.
« Ne me laisse pas
» dites-vous ;
« Oh ! pourquoi es-tu parti ?
Mon Dieu pourquoi
lui
pourquoi elle ? Pourquoi pas moi ?
»
Et les personnes âgées offrent leur vie en
holocauste parce que des années trop longues auront
pesé sur des épaules fragiles et que des curs
auront saigné
« Mais il valait mieux
me prendre, Seigneur, ma vie était finie, mais lui,
mais elle
17 ans
3 ans
6 mois
40
ans
54 ans
Non, Seigneur, si tu avais voulu !
»
Non, enfants, non
La vie arrive un jour à un
terme que nul ne peut reculer, et il faut que ce départ
se fasse. Si le chagrin est en vous, nous ne blâmons
point car vous êtes "humains", mais que
votre foi soit plus forte, que votre confiance soit plus
grande en ce Dieu aimant, juste et bon, en ce Dieu miséricordieux
qui ne regarde jamais avec indifférence la souffrance
des êtres
Accrochez-vous à votre foi, et quand des éléments
amis viennent à vous pour vous apporter un message
de réconfort dans des explications de lumière,
nagitez pas votre tête en signe de refus
Ne repoussez pas, amis, les principes de vos réincarnations
en rejetant comme horrifiant le fait que lenfant daujourdhui
pourra être le parent de demain. Vos vies vont détape
en étape, dépreuves en épreuves,
vous faire avancer jusquà lépanouissement
et lépreuve appelle le corps, et le corps doit
justement, par lépreuve, être varié
Cessez daller vers ces êtres que vous croyez
de lumière et qui, se servant de cartes ou de boules
de cristal, vous donneront des éléments de
réponse à des questions souvent futiles et
inutiles. Nous blâmons ! Vous croyez trouver la lumière
et vous ne trouvez que la brillance factice de paillettes.
Rien nexiste, rien ! Cherchez cette vérité
en vous, dans ces contacts que vous établirez dans
des communications damour et de foi.
Je voudrais, enfants très chers, vous demander enfin
: communiquez, certes, avec ces êtres chers ; appelez,
certes, ces êtres chers pour des contacts qui vous
apaiseront en vous apportant la conviction de cette présence
vivante, mais ne recherchez pas sans cesse ces êtres
qui, aujourdhui, sont dans la félicité
et la paix. Pourquoi, quand ces enfants de 3 ans ou de 17
ans vous ont quittés, leur parler sans cesse, au
fil du temps, de jour et de nuit, à tous les instants,
dans tous vos problèmes ? Vous les retenez, enfants,
et leur tâche est là, tâche envers eux-mêmes
dabord, tâche envers dautres ensuite,
et si quelquefois des messages vous sont donnés dans
linconscient de vos rêves et que lanalyse
en soit faite, comprenez définitivement et acceptez.
Acceptez de comprendre que lêtre qui passe dans
cet autre Plan va être le mendiant despoir,
de vérité et de lumière et, parce quil
aura beaucoup reçu, il pourra à son tour donner
mais sachez aussi quil ne pourra recevoir quautant
que ses mains seront tendues pour accepter cette offrande.
Alors, amis, si, par vos appels répétés,
vous obligez ces êtres qui se tendent vers une paix
intense à tendre la main vers vous pour apaiser vos
douleurs comment pourront-ils recevoir ce fardeau de vérité
et damour ?
Transmettez, amis, ces messages à ceux qui attendent
sans savoir, et qui se désespèrent sans comprendre.
Voilà, enfants !
Je vais devoir partir car on mattend ailleurs, mais
en fonction de ces pouvoirs puissants que nous avons, ma
protection restera encore vigilante autour de vous pour
ces contacts qui vont maintenant sétablir,
ou maintenant sextérioriser parce quantérieurs
à mon intervention.
Jappelle sur vous la protection intense de Dieu ;
jappelle surtout sur vous sa lumière, et sur
toi, amie en particulier, des vibrations de force, de puissance,
damour et de paix.
Puis-je insister, amie, en te priant de te souvenir que
le sens des phrases est souvent caché par lécran
obscur des mots, et quil importe souvent de lire,
relire et analyser pour comprendre.
Que la paix du Seigneur soit sur toi, enfant
Grimpe sur cette pente que tu aperçois au-dessus
de toi, gonfle ton cur de force et de courage car
il faut que tu saches que ce chemin serpente au bord dun
précipice grondant, et sache, amie, que tu ne pourras
atteindre ce sommet lointain -trop lointain encore- que
si tu ne te laisses distraire ni par le grondement du gouffre,
ni par le chant de loiseau que tu jugeras amical.
Ton fardeau est lourd, tes épaules faibles et ton
cur, ton pauvre cur trop souvent déchiré.
Nhésite pas à reposer à terre
ce fardeau inutile qui tencombrera. On ne se charge
point, amie, pour un long voyage, dun superflu inutile.
Il importe de savoir choisir et trier, et comme le prospecteur
rejette la pyrite pour garder la pépite, il importe
de faire son tri pour que la besace puisse être jetée
plus vite, plus fort sur une épaule plus puissante,
plus robuste
Ton chemin est long, long et sinueux, difficile, et tes
efforts devront être immenses pour télever
à ce stade que nous espérons te voir atteindre.
A travers toi, je madresse à tous ces amis
présents : quils comprennent bien que le message
délivré à lun est en même
temps un message délivré à tous, mais
je tenais à te transmettre, dans cet aparté,
nos pensées de tendresse et de courage.
Des années vont passer avant que tu natteignes
ce sommet où lair pur rafraîchira tes
poumons brûlants de leffort accompli, et alors,
sans te plaindre des efforts que tu auras dû faire,
tu pourras reposer tes pieds meurtris et tu pourras enfin,
en te retournant et en te penchant du milieu de cet azur
lumineux et serein, du milieu de cette pureté vibrante,
contempler la brume épaisse qui couvrait le cloaque
doù tu auras enfin émergé,
et tes yeux pourront se mouiller de larmes, mais cette fois,
amie, il ne sagira que de larmes de bonheur et de
joie car enfin la paix sera dans ce cur où
Dieu restera vraiment pour toujours ; et parce que tu pourras
dire « Gloire à Dieu
», parce que
tu te seras ouverte à cette moisson divine, parce
que tu te seras laissée imprégner de cette
rosée céleste, tu pourras, à ton tour,
faire comprendre aux autres que leurs curs peuvent
aussi souvrir pour que Dieu y demeure, et que dans
lunisson de leurs efforts et de leurs élans,
mais aussi dans lélan dune pureté
difficile, ils pourront, à leur tour, dire : «
Gloire à Dieu !
»
Message
reçu par incorporation
de l'archange Raphaël
Médium : marcelle olivério
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