N.d.l.r. - l'enseigne
« Ephphata » est jugée conjointement
dangereuse par la DDE, la gendarmerie de Lourdes, le
Procureur de la République et le juge.
La
loi [art. 11] autorise l'autorité investie du
pouvoir de police, dans l'intérêt de
la sécurité, à faire procéder
d'office et aux frais des intéressés,
à la suppression du dispositif et à la
remise en état des lieux. Or, on remarquera que
la DDE et la préfecture ne donnent pas de délais
pour retirer l'enseigne
mais menacent d'une somme
d'argent à verser si elle n'était pas
retirée dans les quinze jours
ce qui revient
à dire que si nous étions riches, nous
aurions pu laisser cette enseigne "dangereuse"
encore en place pendant des mois et des mois
à
condition de payer, bien sûr !
Tout n'est-il en fait, qu'une question d'argent ?
L'histoire ne dit pas à qui profiterait
et à quoi servirait éventuellement cet
argent récolté
à la défense
de l'environnement ?
à la recherche ?
aux armées ?
à la Gendarmerie ?
au propriétaire du hangar qui abrite «
Ephphata » ?
Nous
entendons déjà la réponse : «
à la France
»
Bien sûr !
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