Hitler, médium de Satan




 


Hitler, médium de satan…

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Extraits…


L'animal préféré de Wotan était le loup. Or, à trois reprises, le quartier général de Hitler se nomma le loup. Au printemps 1940, en Belgique : "La gorge du loup" ; en 1942, à Vinnitza, en Ukraine : "Werwolf" (loup-garou) ; et en Prusse Orientale : "le repaire du loup". [Hitler s'y établit le 22 juin 1941 et y demeura jusqu'au 20 novembre 1944 avec de rares visites à Berlin. La Wolfsschanze se composait de plusieurs chalets en rondins et d'une forteresse souterraine, le tout défendu par d'immenses champs de mines.]

- « Wolf ! » c'est ainsi que ses camarades avaient surnommé le jeune Hitler.






Le nombre apocalyptique 666 désigne-t-il Hitler ?
Assurément si, comme le fait Robert Ambelain, on transcrit en latin son prénom et son surnom on obtient ceci :
Adolphus (555) - Lupus (60) - Hitler (51) -- 555 + 60 + 51 = 666






Pie XI, qui n'était pas, comme son successeur, l'homme des compromis et n'avait plus qu'un mois et demi à vivre, poussait un dernier cri d'alarme dans son message de Noël 1938 : « Appelons les choses par leur vrai nom. Je vous dis qu'en Allemagne aujourd'hui une véritable persécution religieuse a cours. Une persécution qui ne recule devant aucune arme : le mensonge, les menaces, la désinformation, et, en dernier recours, la violence physique.






Quant à dom Aloïs Mager O.S.B., il continuait à dire :
- « Il n'y a aucune définition plus brève, plus précise, plus adaptée à la nature de Hitler que celle-ci : médium de Satan. »

[…]

- Et le doyen de la faculté de théologie de Salzbourg écrivait quelque temps avant sa mort :
- « Il y a une mystique satanique qui pénètre, elle aussi, dans le monde souterrain, non pour le vaincre, mais pour le légitimer, le déifier et se mettre à sa disposition comme médium. »






– « Je vous étonne, Rauschning ? Ah ! Si l'on avait, pendant toute la guerre, gazé douze ou quinze mille de ces criminels hébreux, comme ont été gazés sur le champ de bataille des centaines de milles de nos meilleurs travailleurs allemands, le sacrifice n'aurait pas été vain… Je combats pour l'œuvre du Seigneur. Je crois fermement que j'agis dans le sens du Créateur tout-puissant. J'écris mon livre avec toute la ferveur, toute l'indignation d'un apôtre persécuté. »

[…]

– « Dites-moi, Rauschning, avez-vous remarqué quelque chose de spécial dans nos montagnes ?
– Ma foi, non !
– N'avez-vous pas remarqué qu'il existe deux catégories d'êtres humains : les Juifs confinés dans nos stations thermales pour y perdre leur graisse, agglutinés dans les hôtels comme des mouches autour d'un cadavre ; les allemands, les classes laborieuses cheveux au vent, sac au dos, en grosses chaussures de marche et culottes de cuir, gravissant les cîmes pour y respirer l'air pur. Tout cela n'est-il pas symbolique ? […] Selon vous, que représente le Juif dans ma lutte décisive pour une nouvelle organisation du monde ?
– C'est à vous, mon Führer, de bien vouloir m'éclairer.
– Oh ! C'est très simple, il ne peut exister simultanément deux peuples élus. Nous sommes le peuple de Dieu.
– Vous entendez cette propsition plutôt comme un symbole ?
– Non, c'est la réalité toute simple qui ne supporte même pas la discussion. Deux mondes s'affrontent : l'Homme de Dieu et l'Homme de Satan. Le Juif est la dérision de l'Homme ; le Juif est la créature d'un autre Dieu. »






Schmidt qui, à Munich, en 1919, partagé sa chambre, l'entendit pousser une sorte de hennissement et se mettre à gronder :
– « Retour au désert ! Retour au désert pour tous !… »
Schmidt le secoua pour le réveiller. Il se retourna vers le mur, poussa un grognement et continua, en rêve, de parler de désert, d'Israël, de Palestine et de Juifs.






– Adolf admirait beaucoup Fouché qui fit à Lyon, du vrai travail de S.S., à l'époque où la Convention avait condamné à mort la grande ville.






Au procès de Nurembourg, l'ex-chancelier von Papen fut le seul à souligner cet aspect du nazisme quand il déclara :
- « Je suis effaré par l'accumulation des crimes commis par quelques-uns de mes compatriotes. Ce fait est psychologiquement inexplicable. A mon avis, les principaux responsables sont le paganisme et le régime totalitaire qui, peu à peu, ont transformé Hitler en menteur pathologique… »
Il n'y eut que von Papen et Speer pour parler de crimes :
- « Pour des crimes aussi horribles, » déclare le second, « il doit y avoir une responsabilité commune et collective, même sous un régime totalitaire. » Tous les autres accusés eurent une attitude arrogante, sarcastique et n'exprimèrent aucun regret…

[…]

C'est ainsi qu'Adolf était persuadé que son destin se déroulerait immanquablement en trois septennats :
- de 1933 à 1940 : conquête du pouvoir en Allemagne ;
- de 1940 à 1947 : conquête du pouvoir en Europe ;
- de 1947 à 1954 : conquête du pouvoir dans le monde avec, en 1950, annonce universelle de l'évangile nouveau, naissance de l'ère adolfique qui succéderait à l'ère chrétienne pour des milliers d'années.
Hitler s'était fixé 1955 comme limite temporelle suprême, et cela dès 1933.






La Résistance allemande n'avait pas dit son dernier mot. Au début de 1943, on vit surgir, sur les murs de Berlin des inscriptions telles que : A bas Hitler ! Vive la liberté !
Des tracts circulaient : « Rien n'est plus indigne d'un peuple civilisé que de se laisser régir, sans résistance, par une clique de despotes irresponsables. »
Le 2 février, Hans Scholl et sa sœur Sophie sont arrêtés alors qu'ils lançaient du haut du balcon de l'université, des tracts de la Rose blanche, mouvement anti-hitlérien fondé au printemps 1942.
- « Avec une certitude quasi mathématique, Hitler conduit l'Allemagne dans un gouffre. Il ne peut gagner la guerre, alors il la prolonge. Le banditisme ne peut donner la victoire à l'Allemagne… Séparez-vous ; pendant qu'il en est encore temps, de tout ce qui est nazi… […] Quand il prononce de manière sacrilège le nom du Tout-Puissant, c'est en réalité la puissance du Malin qu'il invoque ; il nous faut combattre le mal là où il réside, c'est-à-dire dans le pouvoir de Hitler. »
Recherchant les complices des Scholl, les policiers de la Gestapo et les S.S. investirent et procédèrent à de minutieuses rafles. Quatre-vingts suspects furent arrêtés…
Hans et Sophie furent décapités à la hache, ainsi que Karl Huber, leur professeur de philosophie, qui n'avait cessé de les inspirer et de les soutenir. Ce dernier écrivit avant son supplice :
- « Tu dois te conduire comme si de toi ou de ton seul acte dépendait le destin de ton peuple. J'ai agi comme me le commandait une voix intérieure… »
Sophie, de son côté, Sophie dont la Gestapo avait brisé les deux jambes a du clopiner sur des béquilles pour se rendre jusqu'au billot déclara :
- « Nous nous sommes dressés contre la tyrannie instaurée par le Messager de l'Antéchrist… »






En 1939, un jeune officier d'état-major Fabian von Schlabrendorff, se rendit clandestinement à Londres pour rencontrer lord Halifax et Winston Churchill et leur dire ceci :
- « Il existe chez nous, une opposition qui voudrait empêcher la guerre. Elle est prête à passer à l'action, elle est suffisamment forte pour éviter l'irréparable. Ne cédez pas au bluff de Hitler ! »
Le 12 août de la même année, l'ambassadeur soviétique MaÏsky tenait au même lord Halifax le même langage :
- « La politique allemande est du bluff pour au moins cinquante pour cent. L'attitude irrésolue des Français, et des Britanniques, constitue pour la paix, un réel danger car elle donne une idée exagérée de la puissance allemande. Hitler est persuadé qu'il ne risque rien tant que Daladier et Chamberlain seront au pouvoir :
- "Ces deux là n'oseront jamais intervenir" a-t-il affirmé à ses chefs d'état-major. Nous aurons les mains libres, faites confiance à mes dons prophétiques !" »
Le lendemain de cette entrevue, un autre représentant des modérés de l'état-major allemand, Ewald von Kleist, sollicitait un entretien à lord Halifax. Il ne fut pas reçu par le ministre…






Universellement détesté, Tibère s'accommodait fort bien de cette aura d'exécration. C'est à lui que l'on doit la formule célèbre : « Qu'ils me haïssent pourvu qu'ils me craignent ! »
Hitler avait fait sienne cette devise…
Et tous les deux se sont écriés :
- « Qu'après ma mort, le monde disparaisse dans le feu ! »






En 1940, Hitler ordonna au maréchal Keitel de faire assassiner le général Weygand sous prétexte que celui-ci s'apprêtait à constituer avec l'armée française, un centre de résistance avec l'Afrique du nord. Keitel transmit les désirs du Führer à Canaris qui s'y refusa.
- « Mais, que dira Monsieur Hitler ? » (c'est toujours ainsi qu'il l'appelait)
L'amiral Canaris avait un autre adjoint qui pensait comme lui : le colonel Hans Oster. Cet officier de cavalerie éprouvait pour Hitler une haine viscérale. Au début d'avril 1940, il prit contact avec le colonel Sas -attaché militaire des Pays-bas- pour lui signaler que l'invasion du Danemarck et de la Norvège était imminente. L'information a été transmise aux Danois, qui la jugeant complètement absurde, négligèrent d'avertir les Norvègiens.
Ce n'est pas tout, le 9 mai de la même année, Oster fit passer, au même colonel Sas, le message suivant : « Attendez-vous à ce que l'offensive allemande, sur le front de l'Ouest, soit déclenchée dès demain matin. »
Le colonel Sas alerte cette fois la Reine Wilhelmine et son gouvernement. De son côté, le catholique Joseph Müller, avocat à Munich, envoie le même message à l'ambassadeur de Belgique auprès du Saint-Siège. L'ambassadeur informe Bruxelles qui, pas plus que La Haye, ne prend l'affaire au sérieux. Les Belges et les Hollandais, comme les Danois, pensent que ces précieux renseignements -fournis à titre purement bénévole par le colonel Oster- ne sont que de fausses nouvelles destinées à les intoxiquer.
En octobre 1939, Joseph Müller s'était rendu au Vatican pour savoir si les Anglais seraient disposés à œuvrer pour la paix avec une Allemagne anti-nazi. Le gouvernement de sa Gracieuse Majestée n'y était pas opposé… et l'affaire en est resté là…
Oster et son groupe se tournèrent alors vers les généraux Halder et von Brauchitsch pour leur demander de prendre une part active à la conspiration. Mais ceux-ci, découragés par l'attitude négative des Occidentaux, objectèrent -ce qui était vrai- que tout le peuple allemand soutenait Hitler.
Oster, lui, ne renonçait pas…

Hitler fut informé de la fuite et entra dans une fureur apocalyptique : comment l'ennemi a-t-il eu connaissance d'une information ultra-secrète.
Comble d'ironie, il chargea de l'enquête l'amiral Canaris et son adjoint le colonel Oster qui firent traîner l'affaire en longueur avant de la classer sans suite.






Au début de la guerre, le pasteur Bonhoeffer avoua son déchirement et son chagrin :
- « Je prie pour la défaite de mon pays. Seulement dans la défaite, nous pourrons expier les terribles crimes que nous avons commis contre l'Europe et contre le monde… » […]
- « Si nous nous déclarons du christianisme, » déclare-t-il, « alors, il n'y a pas de place pour les compromis ! Hitler est l'Antéchrist ; nous devons poursuivre notre tâche et l'éliminer à tout prix… »
Le propre de l'Antéchrist est de vouloir prendre la place de Jésus : « Le Christ » clamait Hitler dans son discours du 18 décembre 1926, « n'était pas l'apôtre de la paix. Le but de son existence et l'enseignement de toute sa vie furent la lutte contre le capitalisme ! C'est pourquoi, ses ennemis, ainsi que les Juifs, le crucifièrent. Mais je suis venu ; l'œuvre que le Christ a entreprise mais n'a pu achever, moi, Adolf Hitler, je la mènerai à terme. »






Attentats manqués…

En 1929 : une des premières tentatives d'assassinat contre Hitler, fut fomentée par un S.S. déçu dont l'histoire n'a retenu ni le nom ni le motif : échec !…

En 1936 : Otto Strasser tente d'assassiner Hitler pendant les Jeux Olympiques de Berlin, il recommence pendant une réunion du Parti à Nuremberg : échec !…

En 1937 : Otto récidive à l'occasion de la visite du Duce : échec !…

En 1938 : à Dresde, il essaie une machine infernale : échec !…

Otto Strasser avait quitté l'Allemagne dès 1933. Il y revint clandestinement pour y fomenter clandestinement les quatre attentats que nous venons d'évoquer.

En 1939 : Georg Elser était à la fois ébéniste et électricien. C'était un ouvrier communiste qui venait de purger sa peine au camp de Dachau. Il régla sa bombe pour qu'elle explosât à 23h20. A 23h07, l'orateur se dépêcha de conclure et, à la stuppeur de ses camarades, il se rua vers la sortie sans serrer les mains, s'engouffra dans sa Mercedes et ordonna à son chauffeur de le conduire en dehors de Munich. 8 minutes après, la bombe explosait, tuant sept personnes, en blessant soixante-trois autres, dont le père d'Eva Braun.
Quant il apprit la catastrophe, le miraculé s'écria :
- « Maintenant, je suis parfaitement fixé ! Le fait que j'ai quitté le Bürgerbräukeller plus tôt que d'habitude, confirme, une fois de plus, les intentions de la Providence de me permettre d'atteindre mon but. »

En 1943, le 13 mars : ce jour là, accompagné du colonel Brandt, le Führer arriva à Smolensk à bord de son avion personnel pour passer une journée -une seule- sur le front russe. Au moment où l'avion allait décolé, le lieutenant Fabian von Schlabrendorff, remit à Brandt le coffret contenant deux bombes déguisées en flacons de cognac, après avoir discrètement déclenché le mécanisme de la mise à feu. Pour déclencher le mécanisme de mise à feu, il suffit de presser sur un bouton. Un petit flacon empli d'un liquide corrosif se brise alors, il ronge peu à peu le fil. Ce fil en se rompant libère le percuteur, frappe le détonateur. L'explosion se produit généralement au bout d'un quart d'heure…
Au bout de deux heures, la nouvelle tomba désespérante dans sa banalité : « après une courte visite d'inspection sur le front de l'Est, le Führer a regagné son quartier général… »
Non seulement l'attentat avait échoué, mais on allait découvrir les donateurs des deux flacons de cognac. […]

En 1943, le 21 mars : opération Kamikaze… […]
Peu de temps avant l'arrivée d'Hitler, von Gerstdorff plaça dans les poches de sa capote, les bombes à retardement. Les deux engins étaient munis d'un dispositif qui déclencherait la mise à feu.
Hitler fit son entrée à 13 heures comme prévu. Son aide de camp s'avança vers le colonel qui venait de briser les petites capsules d'acide destinées à provoquer l'explosion. L'aide de camp lui annonça que, débordé, le Führer devait modifier son programme et ne pourrait consacrer que huit minutes à l'inspection des trophés.
Comme s'il avait été mystèrieusement averti, Hitler traversa, en coupe de vent, la cours vitrée et s'élogna rapidement. Impossible de le rejoindre. Le colonel se précipita vers les toilettes, retira en toute hâte les fusibles et les jetta dans la cuvette. Les bombes étaient devenues inoffenssives…

En novembre 1943 : opération "Mannequin".
Troisième tentative d'attentat formule kamikaze du colonel von Gerstdorff, mais c'est un autre officier qui se porta volontaire. Les conjurés avaient appris que Hitler devait donné son appobation à un nouveau manteau de campagne : ce manteau serait placé sur un mannequin en bois et non sur un quelconque soldat. Le jeune et intépide Axel décida de jouer le rôle du mannequin et de dissimiler deux bombes dans les poches de sa capote… […] le scénario était parfaitement au point. Mais, la visite fut ajournée et fut même reportée plusieurs fois.
Ces pressentiments, ses voix l'avaient-il sauvé… comme d'habitude.

En 1945, fin février : gaz asphyxiants dans le bunker…






- « Allemands, Allemandes !
Je m'adresse à vous pour que vous entendiez ma voix et sachiez que je suis indemne et en bonne santé… […] La bombe qui avait été déposée par le colonel comte von Stauffenberg a explosé à deux mètres de moi. Elle a blessé grièvement quelques-uns de mes fidèles collaborateurs. D'autres ont été tués. Je suis moi-même absolument indemne, à l'exception de quelques écorchures, contusions ou brûlures. Je considère ce fait comme la confirmation de la tâche que la Providence m'a chargé d'accomplir. Le groupe qu'avaient constitué les usurpateurs est insignifiant. Ils seront anéantis sans pitié. Nous réglerons les comptes comme nous avons l'habitude de le faire, nous autres…
Si nous avions encore besoin d'une preuve que le Seigneur et la Providence sont de notre côté, c'est acte nous l'a donnée. J'ai vu la pièce trois quart d'heure après l'attentat et vous-mêmes en avez vu des photos dans les journaux. En fait, c'était encore plus épouvantable sur place. C'est un miracle qu'un homme ait pu sortir vivant de cette Lagerbaracke. Le Seigneur a été bon pour nous. »

[…]

Quand le général Fromm apprit que le Führer était vivant, il dénonça les autres conjurés pour avoir la vie sauve. Mauvais calcul : après l'avoir entendu et obtenu de lui toutes les précisions qu'ils désiraient, les hitlériens l'exécutèrent…

[…]

Comme l'avait annoncé le Messie de Satan, les comptes furent, en effet, réglés de façon effrayante. La Gestapo -aidée en cela dans son travail par Radio-Londres qui, dans un accès de criminelle sottise, donna la liste complète des conjurés, or certains d'entre eux n'avaient pas été soupçonnés : ils auraient pu échapper aux supplices et à la mort par lent étranglement- remonta toutes les filières et ce fut un déferlement de représailles : 7 000 personnes furent emprisonnées, la plupart envoyées en camps de concentration, 145 furent condamnés à mort.
Les représailles sur les familles, comme les ordres de suicide faisait partie de la tactique du nouveau Néron. C'est ainsi que toutes les personnes apparentées à von Stauffenberg, au général Beck, à Goerdeler et aux autres conjurés passèrent par les caves de la Gestapo avant d'être envoyées en camps de concentration.






Les Français de Londres, eux aussi, gardaient le contact avec l'Au-delà : d'août 1940 à août 1949, Denis Saurat, auteur de "l'Atlantide et le règne des géants" participa à une série d'expériences faites par l'intermédiaire d'un médium à raison d'une ou deux séances par mois. Trois témoins participaient aux séances et signaient les procès-verbaux qui les résumaient. Le médium n'était pas un professionnel et l'argent ne jouait aucun rôle.
Dans ce genre d'expérience, un désintéressement absolu est indispensable…

[…]

Voici trois exemples de prédictions recueillies à Londres pendant la guerre par le groupe spiritualiste qu'animait Denis Saurat. L'écrivain les relate dans : "L'Expérience de l'Au-delà" :
Juin 1941, il leur dit :
- « Ne soyez pas trop déprimés au sujet des Français. Tout va mal en ce moment. Mais plus tard, vous serez surpris et heureux : Paris sera délivré par les Français eux-mêmes et cette délivrance prendra beaucoup moins de temps que vous ne pouvez le croire… »

[…]

Au début de novembre 1941 :
- « Vous allez recevoir de très mauvaises nouvelles de l'Extrême-Orient d'ici à deux mois. Dans le Sud-Est, de grands navires vont être coulés. Les chefs de vos forces navales ne sont pas d'accord entre eux sur ce qu'il faut faire. Cela amènera des catastrophes ? Mais, ne vous inquiétez pas, tout cela est passager… » En décembre 1941, deux grands croiseurs anglais furent coulés dans le Pacifique Sud, puis vint Pearl Harbor…

[…]

Mai 1942, alors que tous les experts militaires pensaient que l'Egypte allait être envahie par les Allemands, le groupe franco-anglais de Londres reçut ce message :
- « L'Egypte proprement dite ne sera pas envahie. Alexandrie et Le Caire ne seront pas pris. Vers septembre-octobre prochain, les Allemands seront repoussés avant d'avoir envahi l'Egypte. Et aussi en Russie ils seront repoussés ; plus ils auront pris de terre et plus cela se retournera contre eux. »

[…]


© Editions Lanore


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nous renouvelons tous nos remerciements à Jean Prieur…