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La planète Terre
L'au-delà
Le Plan spirituel
La science humaine
La médecine
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Spirite
Visa
pour l'Au-delà
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Faites
silence sur la Terre, enfants, lorsque dans ces sphères
lointaines, des Esprits, par milliers, se pressent sur cette
terrasse qui surplombe votre Plan et lancent par brassées
les fleurs d'un amour puissant, les fleurs satinées
d'une tendresse profonde, pour faire, sous vos pas, le tapis
velouté qui comblera les trous en adoucissant le
chemin difficile que vos pieds foulent pour vous amener
trop souvent vers des points d'obscurité, à
travers des drames qui sans cesse détruisent et anéantissent.
Faites silence, enfants, et écoutez !
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Le
bruit est aux Hommes, le silence est à Dieu
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Offrande
de la masse qui piétine, lourdement chargée
du poids trop lourd de la détresse et de la peine,
à ce Dieu qui vous semble si lointain, et que beaucoup
d'entre vous oublient d'honorer parce que trop souvent inconscients
de sa présence et de ses gestes.
Vous
vivez, Humains, toujours enfermés dans des notions
que vous croyez définitives. Comme il vous est difficile,
enfants, de pouvoir concevoir les limites de vos Plans !
Comme il vous est difficile de pouvoir mesurer l'étendue
du gouffre qui vous sépare de ces Plans lumineux
où un jour, vous ferez vos premiers pas dans un chemin
de retrouvailles avec ces sphères que vous avez tellement
oubliées, que le souvenir est arrivé à
s'effacer totalement de vos mémoires pour être
remplacé par la conscience solide, profonde et définitive,
d'une vie qui ne peut s'accomplir que dans les limites étriquées
de votre relation avec nous.
Limites étriquées d'une compréhension
qui vous amène à ne même plus pouvoir
percevoir le réel de l'irréel, le tangible
de l'intangible, le palpable de l'impalpable, l'humain,
du
divin.
Lorsque
penchés à ce balcon qui, je l'ai dit, surplombe
votre Monde, nous écoutons monter les échos
de vos voix, les sourires souvent viennent éclairer
nos visages soucieux, mais quelquefois notre sourcil se
fronce, car nous mesurons encore une fois les barrières
épaisses et solides qui séparent nos Mondes.
Et lorsque nous suivons vos entretiens, vos échanges,
nous avons quelquefois la surprise de découvrir les
bases erronées de vos concepts qui, bien qu'acceptant,
arrivent à éliminer ces notions incroyablement
difficiles à admettre de présences capables
d'actions qui dépassent votre compréhension,
votre entendement
L'Humain est l'Humain, amis ; c'est vrai qu'imbriqués
dans vos Plans se situent les nôtres, pointe acérée
d'un fer de lance merveilleux et puissant qui pénètre
les carapaces épaisses de vos sphères et,
dois-je le dire, les carapaces épaisses de votre
entendement.
Où est le visible, où est l'invisible ?
Où est le réel, où est l'irréel
?
Où est le rationnel, où est l'irrationnel
?
Nous vous avons, amis, fait dire par Esprits interposés
qui venaient dans une humilité profonde et dans un
amour immense, donner ces conseils qui vous sont nécessaires,
nous vous avons fait dire qu'il était temps de réformer
certains de vos gestes qui encore alourdissent votre marche
et souvent enchaînent vos pieds à ce poteau
solide planté dans la plaine de vos espoirs et de
vos attentes. Mais
mais
enfants, la chaîne
est puissante, solide et lourde aux pieds qui veulent allégrement
franchir ces distances dans une impatience qui nous navre
un peu. Nous vous avons fait dire, amis, de transformer
ces éléments, et qu'à travers un travail
intense et puissant, vous pourriez !
Vous posez, certes, des questions pour apporter la preuve
que vous n'attendez que notre réponse pour agir,
mais les Humains sont ainsi faits que les questions fusent
et ensuite, ils musent, nez levé vers d'autres lointaines
clartés, car leur attente a reçu son offrande
et ils ont été satisfaits.
Mais pourquoi, enfants, pourquoi ?
Que faites-vous de tout cela ?
Rien !
et le temps s'écoule, et le temps passe,
et il faut pourtant que se fasse le chemin que vous devez
grimper.
Nous vous avions donné cette chance de rencontrer
d'autres lumières, de découvrir d'autres prières,
mais pourquoi, enfants, avoir fait de vos instants autre
chose que ce que nous espérions pour vous ?
Le Ciel parle, enfants !
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Spirite
Visa
pour l'Au-delà
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Quand
le Ciel parle, le Ciel pleure !
il pleure sur
vos erreurs, amis très chers,
il pleure sur
votre entêtement,
il pleure sur
votre orgueil,
il pleure sur
vos refus, vos reniements,
il pleure sur
ce que vous accomplissez à chaque instant dans
la conscience profonde de vérités que vous
détenez, de vérités qui pourtant,
instant après instant, entachent et obscurcissent
vos jours
Le Ciel pleure et pleure encore et toujours
Nos mains se tendent et nous supplions mais
combien écoutent,
combien entendent et
combien font ?
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Regardez
les rayons lumineux qui, émanant de nos Plans, viennent
éclairer votre Terre obscure, enfants. C'est vrai,
ils illuminent la surface de la Terre, mais au lieu de faire
monter la prière qui remercierait Dieu de cet envol
glorieux, vous regardez dans une glace pour apercevoir l'image
qu'elle vous renverra car vous contemplez "le Dieu"
pour qui ces êtres bienheureux ont envoyé cette
lumière brillante, car elle est descendue, bien sûr,
pour vous, enfants très chers !
Peut-on concevoir qu'un autre que soi soit digne de recevoir
ce rayon chaleureux ?
« Quel est le bienheureux sur Terre qui aura fait
autant que moi et qui méritera, ma foi, d'être
glorifié ainsi ?
»
Ah, enfants, ces rayons chaleureux, nous les lançons
justement pour pouvoir -comme le laser puissant détruit
les plaques de protection- détruire ces carapaces
qu'instant après instant vos mains fébriles
vont dresser entre vous et nous, entre l'Ombre et la Lumière
Oui, amis, nos Plans s'imbriquent !
Oui, amis, dans une syntonie puissante, constante, nous
avançons, non pas main dans la main, mais nos bras
tendus autour de vous pour écarter tous les cailloux
de ces chemins que nous voudrions de joie ; pour écarter
les cailloux, mais aussi être les garde-fous de vos
pas un peu trop pressés, de vos pas
échevelés.
Oui, amis, nos Plans s'imbriquent
présents
constamment ; mais analysez-vous ces manifestations ?
Vous cherchez toujours la cause profonde, scientifique et
humaine
Ne cherchez plus !
Lorsque vous aurez vu s'accomplir près de vous ces
miracles un peu fous, comprenez et comprenez encore qu'il
n'y a vraiment dehors que nos mains et que nous !
Terre ! planète aux limites étriquées
!
Même si vos pensées et votre compréhension
vous font croire que vous avez atteint des paliers de supériorité
que peu peuvent atteindre et toucher, quelle ignorance est
la vôtre, peuples de la Terre, tous confondus dans
des recherches qui nous navrent. Vous ne tendez pas vos
efforts vers la pureté, mais vous tendez vos efforts
à augmenter encore la puissance de destruction qui
sèmera des drames.
Des êtres pleurent dans ces lointains, des êtres
pleurent, sacrifiés par les mains orgueilleuses d'équipes
médicales qui froidement torturent
torturent
anéantissent et perdent
et perdent les vies
qui attendaient toutes.
Exploitation vénale, orgueilleuse et inhumaine
des souffrances et des drames
Humanité qui s'exprime sans cesse dans des gestes
que nous blâmons et qu'un jour nous sanctionnerons,
car la main de Dieu commence à se faire lourde sur
une Humanité qui saute allégrement sur les
gouffres profonds, creusés par des sentiments pleins
de bassesse. La main de Dieu se fait lourde sur ceux qui
sautent allégrement au-dessus de ces gouffres, et
un jour viendra où des pas mal assurés entraîneront
ces masses qui ne pourront se relever.
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Temps,
il est temps en vérité, de retrouver les coursiers
de vos vies, en les reprenant d'une main plus puissante
pour empêcher qu'ils ne courent sur ces pentes qui
ne peuvent vous mener qu'au gouffre.
Ah,
la science humaine !
Que devient-elle cette science humaine ?
Elle aurait dû être le germe de toute vie,
de tout effort tendu pour apaiser, guérir, protéger
et garder !
Nous ne pouvons la comparer aujourd'hui qu'aux gestes précis
de ces médecins qui, dans les sinistres lumières
des camps de concentration, exerçaient leurs talents
et faisaient leurs recherches sur des êtres qui, hurlant
leur terreur, leur souffrance, ne pouvaient plus que supplier
Dieu d'abréger leurs vies pour échapper aux
bistouris, aux piqûres et aux poisons
Ah, la détresse des êtres qui comprennent qu'ils
ne peuvent plus attendre que de Dieu une lumière
d'espoir et un peu de douceur, pour enfin arrêter
ces heures qui, comme des bêtes immondes, les emportent
et les traînent à travers un monde où
il ne peut plus y avoir d'espoir, et où la vie s'arrête
au milieu des quêtes puissantes et tremblantes d'êtres
qui, à genoux, supplient et supplient encore, pour
que puisse enfin se fermer une porte sur cette vie qui n'a
été pour eux que drame et destruction.
Peuples inconscients, vous tentez toujours davantage
de défier Dieu en avançant dans des créations
qui, vous le croyez, vous placeront au niveau du Créateur.
Où est votre sagesse, enfants ?
Où est votre sagesse ?
Vous dansez sans cesse sur des volcans qui commencent à
être en éruption et lorsque l'explosion se
fera, vous ne pourrez que mettre vos bras sur vos visages
bouleversés, et vous qui aviez un temps défié
Dieu, vous baisserez les yeux en pleurant sur vos destins,
en demandant qu'Il tende la main pour protéger et
épargner
Mais il ne sera plus temps, enfants !
Oui, sa main se tendra, mais pour accompagner les pas de
ceux qui auront sans cesse et sans répit tendu les
instants de leurs vies vers sa Beauté, sa Bonté
et sa Gloire.
Et là, dans un autre miroir, ils pourront apercevoir
au milieu des masses à genoux, le visage plein de
courroux de ce Dieu qui pourtant, sans cesse vous bénit,
et dans une caresse, trace à travers l'Amour, sur
vos fronts inclinés, la croix de l'Immortalité,
de la Lumière, sur un chemin d'Eternité.
Recomposez, enfants, recomposez !
Puissions-nous ne plus jamais avoir à exprimer
ces demandes réitérées de sagesse,
d'attention, de travail, d'acceptation, d'humilité.
Remodelez
vos vies, enfants
La glaise inerte et froide semble si compacte sur la table
du sculpteur, mais vous verrez tout à l'heure surgir
de cette masse informe la plus belle des formes, car sous
les mains habiles de l'artiste -qui passeront comme on glisse
sur cette terre glacée- naîtra, dans la plus
grande beauté, la statue de l'espoir que vous pourrez
alors porter sans cesse, sans fin, sur ce long chemin qui
conduit à sa Gloire.
Suivez nos conseils, amis, suivez nos conseils pour aller
un peu plus vite encore, à chaque instant de vos
vies d'Humains, et vous verrez briller des lendemains à
nuls autres pareils ; mais pour atteindre ce but promis,
enfants, que de pas encore !
Il vous faudra alors
franchir les étapes d'une vie qui nous donne encore
du souci car vous prenez ce que l'on vous donne, mais allégrement,
vous refaçonnez avec des élans humains
ce qui n'appartient qu'au divin.
Ecoutez, enfants, écoutez !
Nous vous avons montré une route bordée de
fleurs et non de ronces. C'est vrai que ces arbres blancs
d'aubépines odorantes cachent sous la virginité
des fleurs, des épines acérées, mais
amis, ce sont nos mains qui vont les couper pour les déposer
à vos pieds lorsque vous aurez franchi le pas. Hâtez-vous,
enfants, car ces fleurs sont fragiles et une trop longue
attente détruirait leur vie ; et si votre pas se
ralentit, amis, vous ne pourrez en vous penchant, prendre
dans vos mains tremblantes qu'un bouquet de fleurs flétries
dont toute vie aura fui. Hâtez-vous, enfants, hâtez-vous
!
Nous restons près de vous, et nous gardons toujours
l'espoir que vous voudrez comprendre, pour enfin le prendre,
où est le réel chemin de sa Gloire.
Archange
Raphaël
Message reçu par incorporation
Médium : marcelle olivério
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