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Amis
!
le message que nous allons donner devra être délivré
car nous suivons, enfants, cette participation secrète
dêtres concernés au cours de ces réunions
où lamour et la paix devraient régner,
réunions qui ne voient éclore que la graine
destructrice de la révolte haineuse et de la jalousie
intense et puissante
Nous avions donné avec
amour et patience de longs messages pour quun travail
intense puisse être accompli et que des esprits enfin
débarrassés de leurs voiles obscurs puissent
sapprocher de la lumière brillante et chaude
Nous devons, amie Renée, nous adresser aujourdhui
en particulier à toi car nous voulons téviter
la souffrance dune explication publique où
ton être profond pourrait être déchiré
dans la confrontation de ton moi profond, aux gestes que
tu as faits et à notre jugement car, aujourdhui,
amie, le jugement sera
Nous tavions, enfant, mise en garde contre la duplicité
dêtres incarnés ou désincarnés.
Nous tavions, mise en garde contre la faiblesse de
gestes et délans qui ne devaient point être
ton lot, nous tavions avertie du cheminement difficile
et lent que tu devrais accomplir pour parvenir enfin à
tapprocher de cette route qui, de lacets en lacets,
sur une côte abrupte, au bord dun précipice
grondant, pourrait enfin te mener au terme de bien des années
defforts au point où tu crois déjà
-où tu croyais déjà- être arrivée
Ah, enfant, que nos curs sont tristes aujourdhui
! Tu nas retenu aucun de ces appels, aucun de nos
conseils, aucune de nos mises en garde, et emportée
par le désir de briller, de timposer, tu tes
laissée aller à des gestes et des attitudes
que nous déplorons
Pourquoi, enfant, pourquoi avoir laissé le pas à
ta nature humaine, envieuse, et non aux élans purs
et beaux qui devraient thabiter ?
Attention, amie, attention, tu es en ce moment sur le bord
dun tremplin -javais déjà donné
cette image lors dun tout premier contact avec cette
assemblée attentive, et mes paroles à travers
lespace et le temps étaient déjà
tiennes- tu es, amie, sur le bord dun tremplin qui
te balance au-dessus dun abîme profond et grondant
et tes muscles bandés ne font que te permettre de
faire bouger ce tremplin pour que, délan en
élan, de poussée en poussée, il te
projette
non pas vers les hauteurs et les lumières
que tu entraperçois, mais, hélas, dans
un bond plus puissant, il te projette vers le fond grondant
et grouillant de dangers où tu chuteras
Pourquoi, amie, navoir pas su comprendre nos paroles
lorsque nous te disions de rendre plus pur lécrin
où étaient remis ces pouvoirs ?
Nous avons voulu pour toi, cette épreuve de la puissance
grisante dune domination sur une assemblée,
sur des Esprits qui venaient là pour attendre une
instruction et demander la Lumière ; pourquoi, dans
la violence haineuse de la parole et de lélan,
dans le bouillonnement rageur de ton être, avoir pris
parti pour des éléments de perturbation contre
des éléments de Lumière qui nessayaient
que dapporter encore et toujours des explications
à des cas douloureux et précis, des cas que
tu ne voulais point voir examiner dans trop de détails,
car tu craignais que le moment vienne, un jour, où
la même analyse pourrait être faite, par nos
soins, de ton propre vécu.
Tu as, dans cette assemblée -nous ten avions
avertie- un élément perturbateur mû
par des puissances qui, se servant de cet Esprit mauvais,
sèment la perturbation dans ce Centre où tant
damour aurait pu prendre naissance
Nous avions
donné lavertissement des Ombres de cette assemblée
en nous tournant vers la lumière lointaine, mais,
nos appels à la prudence ont été vains,
et tu as, en toute conscience, le cur bouillant de
colère et de rage, pris le parti de ces Ombres.
Tu nacceptes pas la critique dautres Centres
; mais la critique nétait point, amie, il ny
avait que constatation de gestes bas et vils, il ny
avait que la constatation de la violence haineuse dun
être touché trop au vif de sa duplicité,
que tu aurais dû non seulement relever, mais sanctionner,
et cette puissance de refus que tu opposais à un
ami très cher parce quil osait sexprimer,
tu aurais dû lavoir antérieurement, tu
aurais dû lopposer plus tôt aux actions
et aux élans de cet être pervers et perdu
Nous avions, il y a fort longtemps, donné à
Marie-Madeleine, un message que je vais te redonner aujourdhui
car il est temps, en vérité je te le dis,
que tes yeux se dessillent, et que tu prennes conscience
des pas que tu fais, non vers le pied de cette côte
qui te conduira vers la lumière, mais à reculons,
vers une obscurité épaisse.
Nous avions dit que nous envoyions dans ce Centre, ces messagers,
afin de vous guider vers la Lumière ; que la jalousie
souvent pincerait les curs et que la révolte
grondante serait là ; que tu rejetterais souvent,
refuserais souvent ; que, si tu avais su comprendre lamour
que nous toffrions, tu aurais su taccrocher
à ce fil conducteur que nous tavions envoyé
pour diriger tes pas.
Ces paroles étaient dites bien avant que tes gestes
eussent extériorisé des pensées quavec
souffrance, nous qualifions de jalouses et de révoltées.
Pourquoi, amie, avoir levé les bras dans un geste
qui traduisait le peu dintérêt que tu
attachais à nos paroles lorsque dans un élan
aimant, ta mère te demandait si tu avais relu nos
messages ?
Pourquoi, amie, avoir, dans ce moment, suivi lattitude
de cet être contre lequel pourtant nous avons fait
une mise en garde précise ? Manipulée, amie,
tu es manipulée par cet être bas et vil, et
tu ne comprends point et ne veux point comprendre
Tu tes accrochée, amie, à la nullité
presque perverse, et tu as lutté presque pied à
pied pour défendre cet idéal de bassesse et
dinutilité. Tu tes opposée de
toutes les forces de ton être, pour défendre
non la pyrite, mais le vulgaire caillou que tu aurais dû,
dun coup de pied énergique, dégager
du chemin afin quil ne blesse pas tes pieds et quil
évite aux pas de ceux qui te suivent en taimant,
un choc ou une chute grave.
Tu détruis en ce moment ton père et ta mère
-ces êtres qui te sont chers- et dans le silence douloureux
de leurs vies, des prières intenses montent vers
nous pour demander en retour que te soit transmis plus de
compréhension, plus de lucidité, plus dénergie,
plus de force. Nous tenvoyons tout cela, amie, mais
hélas !
fermée, tu es fermée
à tout ce qui nest pas cette lueur venue du
fond de ténèbres opaques et tes yeux se posant
sur un ver luisant que tu aperçois près de
toi, tu cries au miracle en pensant que létoile
de la lumière divine ta été offerte
et a été posée près de toi pour
illuminer le velours de tes nuits et accompagner la douceur
de tes jours. Mais frotte tes yeux, enfant
ouvre tes
yeux, enfant et regarde !
regarde !
regarde
!
et si tu sais le faire, tu verras que ce que tu
croyais
Lumière a disparu dans la terre noire
et grasse, et si tu sais comprendre, tu sauras que ce que
tes mains serraient nest plus, car tes mains ne serrent
quun vide désespérant et triste.
Quand donc amie, comprendras-tu ?
Je reviens, -et je men excuse- sur cette prise de
position que tu as eue au cours de cette dernière
séance et que jamais, mentends-tu, jamais,
jamais tu naurais dû avoir.
Tu es, en train daffronter cette épreuve que
représentait pour toi cette décision du Plan
Spirituel davoir à arrêter le travail
dun ami qui nous est très cher, mais sache
que tu ne sais -ni ne peux- diriger cette assemblée
qui tendait tous ses espoirs vers toi. Tu affrontes mal,
amie, cette épreuve qui aurait dû pourtant
te faire comprendre quil était temps de te
préparer à cette mission sacrée qui
était maintenant tienne. Mais non, rien ny
a fait : les messages étaient donnés pourtant
par tant de voix qui auraient dû avoir en toi un écho
de travail puissant, intense et spirituel
Nous avons
bien voulu venir donner des messages en envoyant ces amis
si chers (il s'agit de Marcelle) qui, au prix de tant defforts,
de tant de souffrances, de tant de sacrifices, acceptent
dêtre ces instruments damour, de vérité
et de lumière car sache, amie, quil nous est
difficile de nous manifester à travers ces êtres
encore si peu évolués que vous êtes.
Le canal que jemprunte est pur, lumineux, valable
et tu aurais dû remercier ce canal des communications
quil pouvait te donner car elles tétaient
pratiquement toutes destinées. Tu ne le fais point,
amie, et ceci importe peu, mais il importe néanmoins
que tu saches que les efforts que nous faisons, que la souffrance
que nous avons pour te délivrer ces conseils ne doivent
pas être vains.
Tu refuses et rejettes, tu continues à mener tes
séances sur ta lancée étriquée
et quand souvent des propos venus de bien loin timposent
un silence et une réserve que tu ne peux plus franchir,
parce que bloquée par une impuissance et une incapacité
à mener les choses et à exprimer, ta réaction
est presque de violence.
Pourquoi, amie, dans cette incapacité où tu
étais de mener cette assemblée dont les yeux
étaient tournés vers toi, au fil de cette
évolution que nous voulions pour ce Centre aimé,
nas-tu pas su, en toute humilité, te mettre
au rang des écoliers, et demander quun enseignement
puissant te soit fait, -que tu aurais
subi- mais dont
tu aurais tiré profit.
Notre présence est constante en ces moments de réunion,
constante et tu le sais, puisque, et je vous en avais avertis,
des interruptions intempestives venues de bien loin se faisaient
si souvent et tu savais que les propos de Marie-Madeleine
naissaient de source bien plus lointaine, bien plus lumineuse,
bien plus puissante, mais malgré cette analyse de
faits tangibles, tu ne savais encore rester à ta
place.
Jai souvent prononcé le mot « enfant
», et jai dit que denfants, vous devriez
devenir adultes, et comme lenfant vous devriez apprendre
les premières lettres, puis les phrases complexes
pour arriver aux textes difficiles, mais tu nas point
compris que ces paroles étaient aussi pour toi et
tu nas point su demander, lancer un appel, en disant
:
« Merci à vous, amis lointains et puissants
qui daignez venir nous aider. Je suis aujourdhui comme
lenfant, vraiment, qui doit apprendre ses premières
lettres
»
Car
tu en es uniquement au stade des premières lettres
et de longs efforts sont nécessaires encore pour
que tu puisses commencer à lire couramment dans ce
livre que nous tendons vers toi.
Tu es en train, en ce moment, de te discréditer aux
yeux de ceux qui avaient mis tant despoir dans ce
changement de direction de Centre.
Nous avons attiré votre attention, -ton attention
en particulier- sur le nombre de messages donnés
au fil du temps par des voix différentes et des messagers
différents pour un appel à plus de travail,
de spiritualité et ceci avait pour but de te faire
comprendre combien était long et difficile encore
le chemin que tu avais à parcourir.
Tu avais dit : « Mais, la vérité, nous
lavons
»
Le message donné entre vos murs et relu, tapportait
la preuve du contraire puisque nous vous disions que vous
étiez loin de cette vérité. La tienne
est encore cachée, amie, et il te faudra creuser
longtemps de tes doigts fébriles et impatients, te
déchirant les mains en te cassant les ongles et en
faisant perler ton sang pour que tu puisses enfin arriver
à la trouver, à la prendre
et à
la garder.
Des
conseils tont été donnés dune
manière large puis, cernant de plus en plus le problème,
nous tavons, en des termes plus précis, donné
des conseils et des directives que nous aurions espéré
te voir accepter et garder, que nous aurions espéré
te voir mettre en pratique mais il nen a rien été,
et si lobjectivité est en toi, tu entendras
encore résonner à tes oreilles les paroles
dune voix aimante qui un jour te mettait en garde
sur lissue qui pourrait se faire en ces lieux, si
tu ne daignais point avancer et te transformer.
Par la voix et les mots de ta mère, de ta mère
qui captait un message venu de bien loin, nous tinformions
que si tes pas ne te conduisaient enfin vers une autre voie,
nous serions obligés de mettre à la tête
de ce Centre quelquun de plus digne ou, le regret
et le chagrin au cur, de faire sarrêter
et se fermer ce Centre damour où tant defforts
et tant despoirs auraient été vains.
Mais ces avertissements donnés, tu te dirigeais encore
et toujours sur la voie du refus en délaissant la
voie de la sincérité.
Attention, amie, car ces conseils qui te sont donnés
pour ce Centre pourront être élargis à
des contacts extérieurs à ce Centre [ce Centre
spirite est adhérent à l'Union Spirite Française
de Tours] et notre mise en garde est puissante dactions
que tu devras contrôler dans un élan plus pur
et plus propre.
Sache quil vaut mieux quelquefois se laisser diriger
par la flamme pure et faible dune simple allumette
plutôt que de rechercher les spots brillants et étincelants
qui brûleront tes mains et que tu ne pourras point
tenir ;
car sache, amie, et souviens-toi
que lon peut
toujours emporter avec soi, le long dun chemin difficile,
la petite boîte dallumettes où lon
puisera pour faire revivre la flamme, car les spots les
plus puissants resteront limités à un fil,
et si, dans un geste, pour avancer dun pas de plus
tu tires sur ce fil, tu ne pourras que le débrancher
et lobscurité épaisse et dangereuse
te paralysera
Cherche vite, la petite boîte dallumettes car
ton obscurité est trop épaisse et trop pesante
cherche-la amie
Jai déjà dit, enfant, que lorsque lêtre
perdu savance à tâtons dans la brume
épaisse qui couvre et feutre toutes choses ; quand
désespéré, ne pouvant rien apercevoir,
il avance à tâtons, au hasard, en craignant
de sentir le gouffre souvrir sous ses pas, ah ! que
la voix amie qui appelle et dirige est douce à entendre
!
Cette voix amie a retenti dans le lointain derrière
la ouate épaisse dun brouillard écrasant,
opaque et glacial, mais tu ne veux point lentendre.
Ah ! que nas-tu couru vers cette voix qui voulait
te guider car tes pas hésitants se hasardant dans
ce brouillard, tu téloigneras de cette voix
qui avec tant damour et de patience tappelle
tappelle
et le brouillard tenserrant de
plus en plus, tisolant de plus en plus dans cette
gangue que rien ne pourra pénétrer, étouffera
les sons qui pourtant se font toujours entendre et tu iras,
perdue et glacée, vers ce gouffre que tu redoutais
tant et quavec une inconscience navrante tu vas découvrir
dans une chute douloureuse parce que trop longue et trop
horrible
Que pouvons-nous pour toi, enfant, maintenant ?
Tous
les éléments tont été
donnés.
Peut-être sauras-tu enfin comprendre et analyser et
peut-être sauras-tu alors tendre les mains et aller
tasseoir sur ces bancs décolier pour
demander enfin dêtre instruite pour pouvoir
à ton tour enseigner, car sache, amie, que jamais
lenfant ne pourra accéder à une chaire
de faculté sil ne sait quouvrir un abécédaire.
Sache que jamais nous ne remettons à un aveugle le
soin de conduire un troupeau tremblant qui attend et demande
tant de soins damour.
Sache, amie, quen fonction des efforts damour
faits dans ce Centre, nous naccepterons plus lépreuve
que tu imposes à tes parents -deux êtres déjà
si éprouvés- avec une légèreté
qui nous navre.
Voilà, amie, un long message donné aujourdhui
dans la souffrance, un long message que tu vas écouter
dans la souffrance et dans la révolte mais que tu
devras entendre en présence de tes parents, en présence
de ces amis que nous chérissons tendrement et que
nous voudrions protéger de souffrances plus grandes.
Je vais devoir partir car dautres êtres attendent
et supplient et dautres mains se tendent dans des
élans de sincérité que nous ne pouvons
négliger. Puis-je, amie, espérer que tu laisseras
ton être profond simprégner de ces paroles
qui sont damour, même si elles te semblent dures
et difficiles à entendre, et peut-être, quand
la révolte sera passée, inclineras-tu la tête
dans une humilité que tu oublies trop souvent davoir
!
Ne dis pas : « Moi, je donne lamour !
»
Quel amour donnes-tu, amie ?
Lamour de paroles, de surface, de façade ?
Si tu donnais lamour, tu saurais que cest par
lamour quon aide les êtres noirs et pervers
et non en les soutenant contre la Lumière.
Tu pourrais donner lamour avec ton être profond,
dans des élans chaleureux qui feraient irradier ton
être et que dautres percevraient comme on perçoit
une aube qui se lève, mais hélas, enfant,
tu nirradies point encore et ta présence nest
encore quhumaine
Tu ne projettes point encore ces vibrations intenses qui
font que les regards se tournent et saccrochent, qui
font que les curs se gonflent dans une attente anxieuse
en se disant : « Je vais enfin pouvoir recevoir
»
Tu nirradies point, enfant, car tu nes que présence
présence humaine
présence courante
Aussi ne dis plus : « Moi, je donne lamour
»
car tu nas pas encore pu touvrir à lamour,
à lamour immense, à lamour puissant,
à lamour qui sait accepter comme il saura donner
Ne dis plus, enfant : « Moi, je donne lamour
»
car pour donner lamour, il faut être amour
amour
amour
et tu nes quhumaine
humaine
désespérément humaine
Nous allons suivre le cheminement de ton écoute et
de tes pensées. Sache que nous te donnons une dernière
chance de comprendre et daccepter, puis nous agirons
car tu auras eu largement la possibilité de décider
de ta voie et alors, enfant, si, comme nous le souhaitons,
tu daignes te nettoyer, touvrir à d'autres
valeurs et te grandir, tu pourras enfin un jour, dans une
humilité enfin acquise, dans une propreté
enfin trouvée, chanter la Gloire de ce Dieu qui devrait
toujours être dans ton cur
Message
reçu par incorporation
de l'archange Raphaël
Médium : marcelle olivério
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