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Ephphata
- Ephata
Ephata
- Ephphata
Six
ans après avoir fait paraître "Ephphata", marcelle
olivério a appris par hasard -mais qu'est le hasard ?-
que l'Eglise catholique s'apprêtait à publier
un livre sous le même nom que le sien
Ce
que dit la loi
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L'auteur doit être protégé contre l'emploi
du titre qu'il avait choisi ; un "emprunt" qui peut lui
porter préjudice en entraînant une confusion
possible dans l'esprit du public entre deux uvres
d'un genre identique et portant le même titre (dans
le cas présent il s'agit de deux ouvrages spiritualistes*).
Cette confusion plus ou moins voulue est d'autant plus probable
en cas d'ouvrage relevant d'une même discipline.
Les circonstances dans lesquelles les idées ou titre
qui les annoncent ou les rassemblent sont reprises, peuvent
être sanctionnées. Il en est ainsi lorsque
des règles de loyauté se trouvent enfreintes
et qu'il y a risque de confusion dans l'esprit du public
à cause de la ressemblance des thèmes développés
et de l'identité d'un but recherché.
La concurrence peut ainsi revêtir un caractère
parasitaire si elle permet d'attribuer au dernier ouvrage
des bénéfices d'exploitation qu'il n'aurait
pas connus sans la notoriété acquise du premier
ouvrage publié. Il y a en outre usage parasitaire
si l'utilisation des éléments qui marquent
l'uvre d'originalité est susceptible de nuire
au premier publicateur.
L'auteur d'une uvre de l'Esprit peut-il être
réputé jouir du paisible exercice de son droit
patrimonial si le titre qui identifie celle-ci aux yeux
du public est repris dans le but de présenter une
autre publication et ceci, avec la circonstance aggravante
que cette dernière est d'un genre analogue.
Suivant l'acheteur potentiel d'un produit commercialisé
qui rencontre d'abord en tous lieux spécialisés,
un titre, celui-ci a valeur de "signal" susceptible
d'influencer avec force, et si cette image se présente
deux fois en un même point de distribution, l'acte
d'acquisition se complique d'une pression qui vient dévoyer
l'indépendance de sélection.
En effet, ce n'est que dans un second temps que ce même
lecteur aurait la possibilité d'un choix totalement
impartial à la condition d'avoir la volonté
de consulter successivement le contenu de l'un et de l'autre
ouvrage.
Dans ce cas, des deux livres, celui qui aura le bénéfice
de la plus forte publicité présentera sans
doute un attrait supplémentaire indépendant
de toute création artistique et dépendant
des seules considérations économiques ; il
n'y a plus chances égales de succès et le
premier publicateur, ayant utilisé un titre qu'il
a choisi en fonction de sa création élaborée
subit réellement un dommage. Au contraire, le candidat
au renom le plus richement doté en promotion et qui
se présente en second sera d'autant plus responsable
de l'abus commis. Or, selon la loi et le droit commun, l'existence
d'un dommage doit précisément être réparé
par celui qui l'aura causé, même s'il n'y a
eu qu'imprudence ou négligence
n.d.l.r.
: Dans notre cas, on peut douter d'une imprudence ou d'une
négligence de la part de Fayard, [Groupe Hachette]
mais parler plutôt de
malice.
Le tirage ne rentre pas en ligne de compte ; il ne doit
pas avoir d'incidence quant à une décision
de Justice.
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usage
parasitaire
concurrence déloyale.
Points
de distribution : endroits où le public peut
rencontrer les uvres.
Dans le cas d'Ephphata, nouvelles religions, spiritualité
; et d'Ephata, religion ou droit canon (ensemble des livres
admis comme divinement inspirés) ; dans les deux
cas, nous sommes dans le domaine des recherches transcendantales
et peu ou pas d'endroits suffisamment achalandés
sur ce plan pour bénéficier de salles distinctes
- tous les ouvrages qui vont dans un éventail comprenant
les religions, le droit canon, la spiritualité, certaines
méthodes de nourriture, les exégèses,
se trouvent réunis géographiquement dans un
point commun. Ce n'est pas la différence de quelques
mètres qui pourra éviter la confusion, et
le budget -important- de publicité consacré
au livre par Fayard ne fera pas pencher le plateau d'une
balance dans le sens de l'équilibre, or le droit
patrimonial est fondé sur l'équité
et sur le respect d'une propriété tout à
fait personnelle.
*
Spiritualisme : quelques définitions
- doctrine par laquelle l'esprit constitue une réalité
indépendante et supérieure ;
- doctrine philosophique qui admet l'existence de l'esprit
comme réalité substantielle ;
- doctrine qui distingue essentiellement l'esprit et la
matière ;
Ext. : Doctrine reconnaissant en outre l'existence de
Dieu et les valeurs spirituelles qui constituent la fin
propre de l'activité humaine.
Après
avoir pris contact avec l'éditeur catholique, Fayard
a demandé un délai de réflexion pour
savoir si la direction allait changer le titre de leur livre
ou pas.
La méditation n'a apparemment pas dû se faire
dans la Lumière : ce fut une fin de non-recevoir
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C'est
la loi !
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La
loi du 11 mars 1957 précise :
"Le titre d'une uvre de l'esprit, dès lors
qu'il présente un caractère original, est protégé
comme l'uvre elle-même.
Nul ne peut -même si l'uvre n'est plus protégée
dans les termes des articles 21 et 22- utiliser ce titre pour
individualiser une uvre du même genre, dans des
conditions susceptibles de provoquer une confusion "
(art. 5).
Quand un éditeur accepte de publier un livre, il
est tenu de faire une recherche d'antériorité
afin de voir si le titre de l'ouvrage n'a pas déjà
été utilisé par un éditeur.
«
le dommage doit être réparé
par celui qui l'a causé même si celui qui l'aura
causé n'est coupable que d'une imprudence ou d'une
négligence. » [Art. 1382]
En conclusion :
Peut-on penser que l'auteur est tout à fait dégagé
de toute contrainte pour exploiter ses prochains ouvrages
avec cette concurrence redoutable qui a été
cernée, d'autant qu'un titre est divisible : il peut
annoncer un seul ouvrage, plusieurs versions, plusieurs
tomes ?...
C'est
la loi !
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Et
la Justice ?
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Le
Juge a précisé
a.- que le titre doit être original et ne pas relever
d'une façon générale d'un domaine historique.
"Ephphata" étant un mot du Christ, qui est
plus à même de lutiliser, si ce nest
lEglise catholique ?
n.d.l.r. : Subjectif ! car, Jésus était-il catholique ?
b.-
que la chaîne des librairies "La Procure"
et la librairie "Saint-Paul" de Lyon qui pourtant
diffusaient un prospectus annonçant la sortie imminente
du livre et sa diffusion dans leurs rayons ne pouvaient
pas être incriminées car il ne s'agissait de
leur part que d'une intention et pas d'un fait établi,
le livre n'étant pas encore imprimé
Marcelle olivério a donc été déboutée
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En
résumé :
antériorité de 6 ans du livre Ephphata de
marcelle olivério ;
notoriété créée : livre
cuménique par excellence présenté
durant 6 années sur plus d'une centaine de radios,
affiches en librairies et conférences ;
continuité de diffusion d'Ephphata - bons
de commande à l'appui ;
au nom du droit patrimonial : choix d'un titre qui
permettait de pouvoir développer plusieurs ouvrages.
S'agit-il là, d'un cas "fortuit" ?
de fors « hasard » : qui semble arriver
par hasard, d'une manière imprévue (Robert).
Marcelle n'y croyait pas
elle pensait que la Justice non plus n'y croirait pas
mais voilà !
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Premier
communiqué de Presse
adressé à l'Agence France Presse et à
tous les médias nationaux et régionaux.
Un
nouveau pavé dans la mare déjà bien
encombrée de l'Eglise
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La
Justice des Hommes vient d'entériner la décision
des... "Vedettes de l'Eglise" de publier, dans les
tous prochains jours, un livre de méditation sous le
nom d'un autre livre de méditation spiritualiste
de six ans son aîné.
L'Eglise
catholique décadente n'est plus le Saint-Bernard
de la pensée chrétienne mais le bernard-l'hermite,
qui se camoufle dans la coquille de Fayard, son éditeur
: légal, mais immoral.
Le silence complice de Mgrs Lustiger et Decourtray depuis
le début de cette affaire n'est-il pas significatif ?
L'attitude
pas très
catholique de Fayard face aux autorités
judiciaires
Fayard, « sûr de sa victoire » a refusé
tout compromis et, par des allégations "malicieuses",
a voulu prouver à la Justice que la confusion était
impossible -malgré un titre identique- parce qu'Ephphata,
recueil de communications de l'Au-Delà, était
introuvable :
"
l'ouvrage fantôme à inspiration
religieuse de Madame Olivério, est, ainsi qu'elle
le reconnaît elle-même, épuisé
et introuvable dans aucune librairie de sorte qu'il n'y
a aucun risque de confusion entre les deux ouvrages."
(Fayard).
Assertions mensongères car Ephphata est toujours
en vente dans les FNAC, et ce depuis sa parution en 1982.
n.d.l.r. : on notera, d'aucuns dirait "l'humour",
nous dirions plutôt la "dérision"
(Dérision : Mépris qui incite à rire,
à se moquer de
Robert) de l'éditeur
catholique : un ouvrage "fantôme" pour un
recueil de communications de l'Au-delà.
Par
ailleurs, l'éditeur catholique Fayard met en balance
leurs 25 000 exemplaires face aux 4 100 Ephphata auto édités,
argument qui a incontestablement influencé le Président
du Tribunal de Grande Instance de Paris
Inquisition
2000
Forte de l'aval de l'autorité humaine, l'Eglise
catholique va donc diffuser son "Ephata" (un "ph"
en moins).
Ce choix, voulu par elle d'un même titre pour une
uvre du même genre, n'a-t-il pas pour but inavoué
de semer la confusion dans l'esprit des masses et de limiter
la portée de messages communiqués par des
sphères divines dont l'Eglise a, de tout temps, voulu
s'assurer l'exclusivité pour pouvoir, à loisir,
les camoufler ou les exploiter en les tronquant ?
Ephata
contre Ephphata
Affrontement entre l'Eglise catholique et le Spiritisme
qu'elle a discrédité depuis des siècles
en l'associant à des pratiques de tables "tournantes",
de contacts avec les défunts.
Il est bien plus que cette sorte de profanation de la religion
de la mort, il est l'enseignement du Ciel à la Terre
par lequel s'effectue l'initiation de l'Homme aux lois de
Dieu...
Il a su à travers Ephphata... « trouver le
moyen de présenter de façon non religieuse
le message chrétien aux hommes désormais non
religieux... » (Alain Woodrow - Le Monde).
L'Eglise
catholique saura-t-elle le lui pardonner ?...
marcelle olivério
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Silence
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Aucun
média et animateurs d'émissions littéraires
n'a réagi face aux menées subversives de Fayard
et de l'Eglise complice
aucun média n'a relevé
l'incident si ce n'est France 3 Picardie dont voici
le commentaire
mais quel état d'esprit !
Reportage
du 31 octobre 1988
«
Ephphata » avec un ou deux "ph", «
ouvre-toi ! » en Araméen.
Ces mots prononcés [n.d.l.r. - la journaliste a sûrement
voulu dire : ce mot prononcé
] par le Christ
lors de la guérison d'un sourd-muet a aujourd'hui
le don de délier les plumes.
En
1982 Marcelle Olivério, médium spiritiste
[n.d.l.r. : la journaliste a dû sûrement vouloir
dire : médium spirite
] publie sous ce titre
un recueil de messages cuméniques inspirés
selon elle par Saint Raphaël. Six ans plus tard et
un "ph" en moins les grands noms de la Hiérarchie
catholique choisissent le même intitulé pour
un ouvrage de méditation édité chez
Fayard.
Pour la Spiritiste [n.d.l.r. : la journaliste a du sûrement
vouloir dire : la Spirite
] le préjudice
est au-delà de l'usurpation du titre :
« Pour moi, il y a un double problème :
il y a un problème de captation de titre par les
Hiérarchies de l'Eglise et partant par Fayard, et
il y a un problème de fond beaucoup plus grave qui
à la limite va rejoindre un problème de société,
car la parution du livre de l'Eglise sous le même
titre que le mien, va incontestablement créer une
confusion dans ces deux courants de pensées parallèles
mais tendant au même but : l'évolution de l'être
dans la quête de Dieu et de sa Vérité... »
Orthographe,
contenu différents, au delà de ces arguments
secs, l'Eglise prise au dépourvu à Amiens,
embarrassée à Paris, se montre peu bavarde.
Marcelle Olivério, elle, attend dans la sérénité
le jugement en référé de mercredi en
peaufinant le deuxième tome d'Ephphata sur le matériel
le plus moderne [n.d.l.r. : il s'agissait d'un ordinateur
Macintosh
] car cette médium sans clientèle,
mais non sans ressources, cadre mal avec une image de minorité
opprimée.
En jetant une nouvelle pierre dans le jardin actuellement
très encombrée de l'Eglise, elle réalise
une excellente opération publicitaire.
Les voies de la quête spirituelle sont bien impénétrables !
Christine Dupré
Journaliste France 3
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Deuxième
communiqué de Presse
adressé aux journaux et télévisions
lors de la "sortie" -à grand renfort de Publicité-
du livre de l'Eglise
Quand
l'Eglise catholique renoue avec le passé
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La justice
des Hommes vient d'entériner la décision des
Hauts noms des Hiérarchies catholiques (Cardinaux
Lustiger, Decourtray, Garrone etc...) de publier un livre
de méditation sous le nom d'un autre ouvrage spiritualiste
et cuménique, de six ans son aîné,
d'obédience spirite.
Forte
de l'aval de cette autorité humaine, l'Eglise catholique
décadente va donc diffuser son "Ephata"
dans le but inavoué de semer la confusion dans l'esprit
des masses.
Mais ces basses actions suffiront-elles à contrecarrer
un courant de pensées qu'elle ne peut plus endiguer ?
«
L'Eglise qui aurait dû être la fille de Dieu
est en train de crever les yeux des masses qui la contemplent
et qui attendent... »
Archange Raphaël
marcelle
olivério
Découragé
par l'attitude des Humains -qu'ils soient Juges, Évêques,
avocats, voire même Cardinaux- on pourrait en vouloir
à Dieu "Tout-puissant".
Que fait-il ? Existe-t-il seulement ?
La réponse vient, inéluctable : y a-t-il encore
des crucifix dans les tribunaux ?
« Tu ne jugeras point ! »
Jésus n'a-t-il pas conseillé de ne point juger
?
Il a été reconnu coupable et condamné
à mort
Il a, par son sacrifice, démontré
les limites de la Justice des Humains !
D'ailleurs, a-t-il parlé à ses juges ?
Il savait qu'il ne convaincrait personne, politiques ou
religieux, que tous connaissait déjà, la nature
de son enseignement, qu'il n'avait rien caché, que
tout avait été dit au grand jour ; que tous,
religieux et politiques, voulaient le tuer, mais que personne
ne voulait en assumer la responsabilité
Et pourtant aujourd'hui, combien se réclament
se recommandent de lui ?
Beaucoup, dont les Hiérarchies catholiques !
Mais
« Supprime la source d'intérêt,
et tu verras que les sentiments ne seront point
»
Archange Raphaël. [Extrait du livre "Ephphata"]
«
L'Eglise qui aurait dû.......
L'Eglise
n'a pas su tirer les leçons de l'Histoire et elle
a, à son tour, jugé et condamné -ou
fait condamner- certaines fois à mort
On pense aussitôt
à Jeanne d'Arc
et à l'Evêque Cochon
aux Templiers,
soldats de Dieu
aux Cathares,
les "Parfaits" de l'Eglise
au Chevalier
de la Barre
à Giordano
Bruno, le Dominicain
à Galilée,
« et pourtant elle tourne !
»
à l'affaire
Calas
à Calvin
et Luther
à certaines guerres
de religions et à certains massacres
à certains bûchers allumés
pour cause de
"sorcellerie"
ou "d'hérésie
"
à l'Inquisition
et à son cortège d'intolérances
à Michel de Notre-Dame dit Nostradamus
etc
etc
etc
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Tuer
au nom de Dieu
un Dieu d'Amour et de Miséricorde,
est-ce être
de Dieu ?
est-ce digne d'un chrétien ?
« Tu ne tueras point, ni un autre, ni toi-même
»
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Pourquoi
la sollicitation doit-elle peser sur vos âmes et sur
vos
vies ? Pourquoi ?...
Quelle force vous pousse à céder à
cette sollicitation alors que la même force bien utilisée,
bien dirigée, pouvait vous pousser à refuser.
Pourquoi, dans les situations qui peuvent être éclaircies,
les adultes tendent-ils leurs élans à être
bousculés ?
Si ce libre arbitre que Dieu vous a donné pour le
choix de vos vies était intervenu, la réflexion
aidant, des erreurs ne se seraient pas produites.
La sollicitation existe mais il appartient à l'être
de tendre la main pour l'arrêter et la bloquer.
Il y a toujours deux voies à la croisée des
chemins : une voie qui conduit difficilement vers la pureté
et la paix, et une voie qui conduit, beaucoup plus facile
et aisée, vers le drame et l'horreur.
« Alors » allez-vous dire « il y a peut-être
drame et horreur mais n'y a-t-il pas aussi simplement "erreur"
et qu'est l'erreur dans une vie qui tend justement à
un point d'évolution des destins ? »
Mais c'est d'erreur en erreur que vous avancez !...
La sollicitation se fait, c'est certain, mais souvenez-vous
de Jésus tenté dans le désert pendant
le temps de son jeûne, amené sur le faîte
du Temple, sommé de sauter pour que les anges de
son Père le récupèrent...
A-t-Il cédé à la sollicitation ou aux
incitations ?
Il n'a fait que lever les yeux vers le Ciel et a prié
avec plus d'ardeur pour que la force gonfle son cur
pour aller au bout du chemin et Il a accompli son destin.
Bien sûr, vous n'êtes pas Jésus... Enfants,
vous ne l'êtes plus, et vous êtes des adultes
conscients, souvent concernés par des erreurs trop
acceptées.
Raphaël
Archange
extrait de « Quand le Ciel parle
»
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Déjà
un antécédent :
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Quand
Allan Kardec a pris la décision de créer "la
Revue Spirite" en 1858, dans quel but l'Eglise a aussitôt
créé
"la Revue Spiritualiste".
Dans quel but ?
Et çà continue
Marcelle a eu l'occasion -plusieurs fois- de voir des textes
d'Ephphata plagiés ou même carrément
copiés par les hiérarchies catholiques (Grenoble,
Lisieux, Lyon
) et même Mgr Decourtray a lu un
texte extrait de son livre "Ephphata" à
une messe de minuit un 24 décembre
sans toutefois
en préciser l'origine et le nom de l'auteur
L'Eglise, aujourd'hui, propose un texte anonyme pour ses
"adeptes" ou "fidèles" lors des
enterrements religieux, intitulé : le fil n'est pas
coupé !
[extrait du livre de Philippe
Ragueneau, journaliste, fondateur de la deuxième
chaîne de télévion : "l'autre côté
de la vie" dialogue avec son épouse décédée
Catherine Anglade, speakerine de la télévision
]
Bien sûr, l'Eglise ne croit pas bon de préciser
qui en est l'auteur
le voici
Le
fil n'est pas coupé !
La mort nest rien, je suis simplement passé de
lautre côté.
Je suis moi, tu es toi
ce que nous étions lun
pour lautre, nous le sommes toujours
Donne-moi le nom que tu mas toujours donné ;
Parle-moi comme tu las toujours fait ; nemploie
pas un ton différent ;
Ne prends pas un air solennel ou triste ; continue à
rire de ce qui nous faisait rire ensemble ;
Souris, penses à moi ; prie pour moi
Que mon nom soit prononcé à la maison comme
il la toujours été, sans emphase daucune
sorte, sans trace dombre : la vie signifie ce quelle
a toujours signifié, elle reste ce quelle a toujours
été : le fil nest pas coupé
Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce
que je suis hors de ta vie ?
Je tattends
Je ne suis pas loin, juste de lautre côté
du chemin
Tu vois, tout est bien !
« L'Eglise qui aurait dû.......
Et
la grande question est posée : « Et
Dieu dans tout çà ?
Que fait-il ? Où est sa Toute-puissance ? »
La
réponse vient, inexorable :
«
Il contemple et Il pleure, enfants ! Il
pleure sur la crasse, l'ignominie
Il pleure sur la
turpitude des Humains
» ; «
nous
ne sommes pas des violeurs d'Esprits, désincarnés
ou réincarnés ; nous conseillons et prions,
mais
» ; «
nous
ne blâmons ni ne jugeons, car que sommes-nous, sinon
des messagers d'amour et de paix
» Archange
Raphaël [extraits]
« Le Seigneur ne tarde pas à tenir sa promesse,
alors que certains prétendent qu'Il a du retard mais
il fait preuve de patience avec vous, ne voulant pas que
quelques-uns périssent, mais que tous parviennent
à la conversion. [
] Le jour du Seigneur viendra
comme un voleur, [
] la Terre et ses uvres seront
mises en jugement. Puisque tout cela doit ainsi se dissoudre,
quels hommes devez-vous être ! Quelle sainteté
de vie !
Quel respect de Dieu !
"Nous attendons selon sa promesse des cieux nouveaux
et une Terre nouvelle où la justice habite !"
C'est pourquoi, mes amis, faites effort pour qu'il vous
trouve dans la paix, nets et irréprochables, et dites-vous
bien que la longue patience du Seigneur, c'est votre salut !
C'est dans ce sens que Paul, notre frère et ami,
vous a écrit selon la sagesse qui lui a été
donnée.
Eh bien, mes amis, vous voilà prévenus : tenez-vous
sur vos gardes, ne vous laissez pas entraîner par
les impies qui s'égarent et ne vous laissez pas arracher
à votre assurance ! » Pierre [Epitre]
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