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Ainsi
soit-il !
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Dieu
n'a imposé à personne une tâche impossible.
Ja'afar
Ibn Abi Tâlib
Etre
ce que nous sommes et devenir ce que nous sommes capables
de devenir, tel est le seul but de la vie.
R.-L.Stevenson
Choisir,
c'est sans cesse rejeter celui que tus es,
pour celui que tu pourrais être.
Paul
La Cour
Ce
n'est pas assez de faire des pas qui doivent un jour conduire
au but, chaque pas doit être lui-même un but
en même temps qu'il nous porte en avant.
Johann-Wolfgang
Gthe
Que
me reste-t-il de la vie ? Que me reste-t-il ?
Que cela est étrange,
il ne me reste que ce que j'ai donné aux autres.
Vahan
Tekeyan
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La
prière
selon l'archange Raphaël
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Evoluer,
c'est déjà reconnaître l'autre, reconnaître
l'autre sur un plan humain comme sur un plan spirituel, reconnaître
l'autre avec ses efforts, son travail, ses attentions, son
amour.
Evoluer,
c'est se reconnaître, se reconnaître non pas
en tant qu'être avec une valeur intrinsèque
définitive, car vous n'avez cours sur un plan de
valeur personnelle qu'autant que cette valeur personnelle
pourra être utilisée pour servir à d'autres.
Partant, c'est savoir se reconnaître en tant que cette
valeur agissante, c'est savoir s'abstraire de soi.
Evoluer,
c'est oublier sa petite tranquillité et l'exigence
des moments que l'on veut passer dans une communion de vie
qui, malheureusement, ne peut plus avoir cours quand est
nécessaire une communion de pensées avec des
êtres désemparés.
Evoluer,
c'est savoir faire siennes ces qualités définitives
qui sont la base de tout chemin d'évolution : l'humilité,
la simplicité, la gentillesse, la sincérité,
le travail, l'action, le courage, la foi, la tolérance,
la prévenance, l'Amour ; c'est savoir sortir de soi-même
pour aller vers l'autre, agir et se transformer.
Evoluer,
c'est savoir accepter des tâches, même si elles
semblent les plus difficiles et les plus pénibles,
sans sentiment de dévalorisation.
Evoluer,
c'est savoir, à son tour, faire les tâches
les plus humbles pour participer à l'action totale.
Evoluer,
c'est refuser de s'isoler, refuser de s'abstraire ;
c'est retrouver un pôle d'intérêt dans
le travail et dans les efforts des autres, participer à
ces efforts et à ce travail sans se lasser, sans
discontinuer, même si la fatigue écrase.
Evoluer,
c'est se transformer, et sachez que vous vous transformerez
si vous savez faire vôtres ces préceptes de
travail intérieur sans quoi vous ne pourrez rien
réaliser.
Bannissez le mensonge, bannissez la duplicité.
Evoluer,
c'est savoir accepter la remarque -quelquefois le reproche-
non pas dans la révolte en se jugeant blessé,
en se jugeant persécuté, mais savoir accepter
la remarque ou le reproche comme des éléments
déclencheurs d'un processus d'amélioration
à travers l'analyse.
Evoluer,
c'est déjà savoir analyser, car sans analyse
vous ne pourrez rien, sans réflexion vous ne pourrez
rien.
Evoluer,
c'est donc chercher l'opinion de l'autre pour mieux comprendre
son problème, c'est accepter ce que l'autre dira,
accepter le conseil même s'il blesse, car, souvenez-vous :
« le flatteur qui vous perd est toujours mieux
accueilli que l'ami qui vous sauve en vous désapprouvant
» Sachez que l'amitié vous "critiquera",
que l'amitié vous conseillera, que l'amitié
vous aidera, peut-être à travers des remarques
ou des reproches, mais jamais l'ennemi, car l'ennemi vous
flattera, vous encensera ; seul l'ami sincère saura
vous dire des vérités que souvent vous refuserez,
que vous accepterez mal.
Evoluer,
c'est accepter ces vérités, les garder, les
analyser, les méditer, les comprendre, parce qu'à
travers elles, vous verrez et vous comprendrez que l'être
que vous voyez dans le miroir, en face de vous, n'est qu'un
être que vous avez paré des plumes du paon.
Retirez ces plumes une à une, et demandez à
l'ami qui est près de vous de vous aider à
les arracher.
Alors, vous vous retrouverez nus, face à vous-mêmes
Evoluer,
c'est ne pas chercher à camoufler sous un fard épais
la pâleur de son visage, pâleur née de
la honte ou des regrets, car il ne sert à rien de
se leurrer
Evoluer,
c'est apprendre à faire la part de l'indiscrétion
et de la délicatesse, de l'élan et de l'indifférence.
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Evoluer,
c'est échapper à la gangrène qui
ronge une âme
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archange
Raphaël
médium : marcelle olivério
Au
fil du temps, nos curs ont battu au rythme de vos
espoirs et de vos joies, se sont attristés au rythme
de vos tristesses, ont souffert au rythme de vos souffrances.
Jour après jour pourtant, nos curs ont
battu pour les vôtres sur un autre rythme qui, celui-là,
scandait des hymnes d'amour et de joie, des hymnes de paix.
Jour après jour, nos voix ont prononcé
des paroles d'encouragement, des paroles de tendresse, pour
remplacer les paroles souvent méchantes et haineuses
qui franchissaient vos lèvres.
Jour après jour nous avons dispensé
la tendresse et l'amour alors que vous, sans comprendre,
sans vouloir analyser, dispensiez agressivité et
haine dans une presque jalousie qui nous désespérait.
Jour après jour, il nous a fallu de ces mêmes
mains d'Amour, bénir, relever, puis reposer
et laisser partir
Jour après jour, à travers les gestes
négatifs de ces esprits que nous entourions pourtant
d'amour et de force, des forces grondantes rampant sur le
sol rougi et désert, se sont précipitées,
appelées par des pensées trop noires, pour
fondre et s'abattre sur des vies innocentes qui ont cessé
d'être, et qui sont, ventail fermé sur un destin
humain, devenues les portes ouvertes sur un autre destin
pour des réincarnations à venir
Des
chiens hurlent à la mort parce que l'ombre de la
mort plane, l'ombre d'une mort, assouvissement d'une haine
qui, implacable, s'est exprimée dans une rancur
et une révolte qui nous désespèrent
et qui nous navrent.
Les Humains sont ainsi faits que la haine qu'ils projettent
sera toujours le pain de leurs jours tant que l'analyse
en profondeur des faits ne pourra leur permettre d'ouvrir
tout grands leurs yeux sur des réalités de
pureté et d'amour, de sincérité et
de loyauté
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Connaissez-vous, amis, la force puissante d'une pensée
négative ?
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Des
chiens hurlent à la mort
des bêtes aussi
meurent
Pauvres bêtes, pauvres éléments d'amour
et de tendresse sacrifiés à la haine dans
des souffrances que nous essayons d'endormir.
Pourquoi, allez-vous dire, la cruauté d'un Dieu qui
laisse une main sinistre et noire s'abattre pour détruire
une vie innocente ?
Hélas, mille fois hélas ! Comme Dieu doit
quelquefois laisser la violence des peuples s'exprimer dans
des guerres qui ne voient que carnages et que meurtres,
et qui ne voient que ruisseaux et rivières de sang,
nous devons quelquefois, enfants, conseillés en cela
par cette Volonté définitive et puissante
qui est la ligne de conduite de nos jours et de nos actes,
nous devons laisser s'abattre le couperet de la haine et
de la destruction comme dans un symbole offert à
l'être perdu dans ses ombres pour qu'il comprenne
l'iniquité de ses gestes, et qu'il mesure l'horreur
de la profondeur du gouffre où ses pas l'ont conduit.
Si des hurlements de douleur et d'horreur retentissent tragiquement
sur votre Terre, si vos esprits s'apeurent, sachez, enfants,
que pour nous, Esprits, qui souhai-terions tant ne pouvoir
donner que des messages de joie et de paix, ces hurlements
à la mort retentissent comme les échos de
la détresse non seulement de l'être qui part,
mais de la détresse de celui dont les gestes noirs,
ces gestes qu'il aurait pu réprimer et réfréner,
arrêter, ont conduit au drame
Si
le Ciel pleure sans cesse, c'est qu'il pleure sur le délabrement
de vos vies et sur le peu de foi de vos âmes, sur
la tristesse des gestes accomplis, sur le doute qui paralyse
et empêche, sur les espoirs que l'on foule aux pieds,
sur les attentes que l'on repousse, sur les nonchalances
qui endorment, sur les mauvaises compréhensions des
faits, sur les refus d'admettre, sur le manque d'amour dont
vous faites preuve dans vos contacts journaliers.
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Si
le Ciel pleure, enfants, il pleure à travers l'amour
donné, largement donné, car si le Ciel pleure,
enfants, il ne pleure que sur vous
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Nous
attendions tant de vous, enfants !
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
Tendez vos élans et vos jours vers cette seule Lumière
que je souhaite faire briller dans votre horizon de nuit,
de souffrance, de chagrin et de drame.
Lorsque
sur les chemins écrasés de soleil, écrasés
de chaleur, les lourds chariots s'avançaient, tirés
par des bufs qui passivement baissaient la tête,
attentifs seulement à satisfaire l'ordre puissant
d'un maître énergique et déterminé,
lorsque ces lourds chariots s'en allaient sur des chemins
pleins de poussière que le pas lourd des attelages
faisait voler alentour dans un nuage qui, souvent, obscurcissait
la vue, ces chariots chargés s'éloignaient,
emportant l'offrande d'une terre riche qui avait su donner
des éléments d'amour puissants pour que le
pain puisse, un jour, faire renaître des vies ; lorsque
ces convois chargés s'éloignaient vers le
lointain, il était toujours, dans certains coins
déshérités, des masures sordides où,
étendue sur un grabat, une mère agonisante
levait vers Dieu ses yeux désespérés,
des yeux qui seuls maintenant, brillaient dans un visage
ravagé de souffrance et couvert de larmes
Et l'appel montait vers ce Ciel qui tout à coup semblait
s'être obscurci, pour une prière qui demandait
pour l'enfant famélique couché aux côtés
de la moribonde, la main d'amour qui pourrait, en le prenant
et en le gardant, redonner au petit corps décharné
la douceur de l'enfance et l'espoir de la vie. Et le cri
de la mère montait vers Dieu pour ce seul être
qu'elle aimait, dans l'oubli de sa propre souffrance ; et
c'est à travers son propre sacrifice qu'elle demandait
pour cet enfant né de sa chair la miséricorde
et l'amour de Dieu.
Savez-vous,
enfants, ce qu'il faut de courage à l'être
qui supplie pour oublier sa peine, sa douleur, son angoisse
et sa propre vie pour que la vie de l'autre refleurisse
?
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Laissez-les entrer ces perdus de la vie, enfants
laissez-les pénétrer dans vos demeures closes
et douillettes,
confortables et sécurisantes ;
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enfants,
ne fermez pas le lourd ventail de vos portes devant cette
horde qui avance, écrasée par de trop lourds
problèmes, et qui, silencieuse et muette, lève
la tête et regarde, yeux écarquillés,
bouches tordues de souffrance silencieuse et scellées,
curs battant pourtant d'un espoir immense bien que
déchirés par l'ultime solution envisagée
Appelez-les d'un geste large, enfants, ces détresses
perdues et écrasantes, ouvrez-leur votre intimité,
l'intimité de vos vies pleines d'amour, de tendresse
et d'attention
Dépensez-vous sans compter : donnez l'eau qui désaltérera,
à l'un, le pain qui apaisera la faim, à l'autre
Que vos mains soient douces pour nettoyer les plaies, caresser
les fronts enfiévrés, essuyer les larmes qui
coulent, détendre, dans une caresse attentive et
douce, les muscles tendus, contractés, trop souvent
blessés, apaiser, ralentir les battements de curs
qui ne peuvent battre et s'exprimer qu'au rythme des drames,
des déceptions, et au rythme douloureux du constat
de vies où tout était trop obscur et trop
sombre
Souvenez-vous
de ce mot
« aider »
Ah ! la magie de ce mot si court !
Aider !
donner l'élément principal de sa vie,
de son âme, de son être
Aller au-devant de l'attente, de l'angoisse, au-devant de
l'espoir
Prendre au plus profond de ses éléments de
vie pour étoffer les vies chancelantes et défaillantes
Aider
tendre la main pour porter et soulager,
tendre la main pour offrir et donner,
tendre la main pour apaiser et calmer,
tendre la main pour entourer et garder
Aider
aider, toujours aider, sortir des limites étriquées
de sa vie, faire exploser les barrières de défense
sécurisantes que l'on avait construites autour de
son être, autour de ses jours, autour de son "moi"
Aider
avancer sur le chemin difficile rempli de pierres et
d'ornières, avancer pour aider, au mépris
de cette eau glacée qui gicle sur vos chairs, au
mépris de ce soleil écrasant qui détruit
votre vigueur
Aider
savoir
sans regrets quitter la tiédeur de son nid, le confort
de son lit, le bonheur de sa vie, pour bondir vers les lieux
déshérités où les drames se
jouent, où l'obscurité règne et où
l'attente ne peut que s'éteindre car nulle voix n'appelle
en réponse à un autre appel au secours.
Aider
savoir laisser sa maison et sa vie pour ouvrir la porte
de l'autre demeure où l'on pourra enfin faire renaître
l'espoir.
Aider
aider, comprendre, s'abstraire, aimer
car, sans cet amour, enfants, pouvez-vous aider ?
Aider,
c'est savoir partager avec l'autre, donner à l'autre,
offrir à l'autre, mais ne jamais tendre la main pour
reprendre ce qui a été offert, ne jamais exiger
en retour
Aider, c'est savoir appeler à son aide les
êtres de même valeur que soi pour, dans un bloc
puissant, faire face à ce spectre douloureux et sombre,
hideux et horrible de la souffrance et du drame.
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La
prière
selon
l'archange Raphaël
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Aider, c'est déjà savoir accepter l'autre,
comprendre l'autre, aimer l'autre
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Avez-vous, un jour, enfants, su ce qu'était qu'aider
?
Aider
c'est ne pas chercher l'excuse qui va vous déculpabiliser
d'un geste d'erreur, c'est aller plus loin dans sa propre
analyse, pour qu'ensuite, libérés de tout,
vous puissiez donner ce que l'autre espère et attend.
Aider
c'est vouloir toujours davantage de soi pour pouvoir
le diriger ensuite vers l'autre.
Mais savez-vous seulement vous aider vous-mêmes ?
Vous attendez vous-mêmes l'aide de ceux qui doivent
vous la donner, vous attendez l'aide espérée
pour aplanir les difficultés de vos jours, arrondir
les angles trop pointus de vos vies
Vous qui voulez être aidés, enfants, que ne
savez-vous, à votre tour, faire face à votre
destin d'immobilisme pour le secouer avec l'énergie
farouche de la volonté d'aider.
Aider
n'était-ce pas, enfants, ce que prônait le
Maître dans des élans d'amour ?
N'a-t-Il pas enseigné aux "Douze"
ce geste d'aide qu'Il leur a demandé de dispenser
largement aux quatre coins d'une Terre désolée
?
N'est-ce pas ce que vous demande ce Dieu de Lumière
et d'Amour
aide et assistance à autrui,
aide et amour pour autrui,
aide et compréhension pour autrui,
aide et tolérance pour autrui ?
Aider
construire une forteresse d'éléments solides,
construire un Monde d'éléments de Lumière,
de pureté et de joie, afin que cette forteresse élaborée
solidement, puisse un jour, ouvrir toutes grandes ses portes
pour accueillir les perdus, les désespérés,
les désemparés, les êtres chancelants,
les êtres écrasés
Alors, enfants, parce que pour aider vous aurez su construire
ce Monde de lumière et de joie, vous serez devenus
les réceptacles de force de ces éléments
d'aide que vous avait apporté, que vous apporte et
que vous apportera encore ce Dieu attentif et vigilant,
qui Lui, n'a jamais cessé, ne cessera jamais de vous
aider dans un geste large qui dispensera son amour et sa
paix
Et
parce que des êtres menacés et blessés,
parce que des êtres écrasés et perdus
ont lancé vers nous cet appel à l'aide, nous
avons franchi les distances de vos gouffres pour essayer
de graver et ciseler dans l'écorce de vos vies les
mots : « aimer » et
«
aider » afin qu'ils soient vos compagnons sur
ce chemin qui vous conduira un jour, en toute humilité,
en tout bonheur, en toute pureté, vers Dieu et vers
sa Gloire
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
La
mer roule ses galets, et la vague est venue lécher
les ruines blanches d'un palais, d'un palais qu'avaient
construit avec amour tous ces amis qui vous entourent et
qui vous aiment ;
vous, avez-vous fait de même ?
Avez-vous su ouvrir vos curs ? Avez-vous su sécher
les pleurs de ceux qui maintenant mendient et appellent
à votre merci ?
La mer a roulé ses galets, le soleil, lui, a basculé,
et la nuit s'est étendue, silencieuse, sur des vies
perdues
Puissiez-vous,
enfants très chers,
Retrouver dans une prière
Le chemin merveilleux
Qui vous conduira à ce Dieu
Plein de tendresse et plein d'amour
Qui vous bénira pour toujours.
Puissiez-vous
retrouver l'espoir qui vous conduira vers sa Gloire !
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
Dans
des yeux il y a des pleurs,
de l'angoisse dans certains curs
Nous
souhaitons vous voir heureux et redécouvrir ce Dieu,
leçon d'amour, d'éternité, qui vous
regarde avec pitié, avec tendresse, avec passion,
et qui vous appelle
« mes enfants !
»
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Il
a tendu la main vers vous, et c'est Lui qui est à
genoux
pour vous prier, une vie entière, de ne regarder
que Lumière.
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ainsi
soit-il !
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Ouvrez
les yeux, et levez-les donc vers ce Dieu qui, sans cesse,
vous offre l'espoir de pouvoir retrouver sa Gloire !
Puissiez-vous, des nuits entières, faire exploser toutes
ces barrières qui vous isolaient de la Vie.
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
Ouvrez
vos fenêtres sur la Vie !
Essayez de redevenir "enfants", en échappant
au tourbillon de ces vies de folie
Recomposez, recomposez, il est temps, et ne faites plus
flotter au vent la bannière de votre haine.
Pensez et repensez à ce destin de Vérité
qui pourra vous offrir la beauté de l'amour immense
et sincère d'un Dieu d'Amour et de Lumière.
Rejetez
les Ombres noires,
et réapprenez à chanter sa Gloire
Nous
tendons encore une fois la main sur vos fronts baissés
pour y tracer, dans un geste triste, la croix de Celui qui
pleure sans cesse sur l'Humain perdu qui pirouette et danse
sur le cadavre de sa vie
Que cette croix vous régénère, vous
réconforte, vous purifie, afin que jamais plus nous
n'ayons à vous dire et vous redire encore :
« Il suffit !
»
Puisse le jour se lever sur vos vies en vous apportant l'espoir
et le bonheur de chanter dignement sa Gloire !
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
La
main de Dieu se tend toujours sur les êtres et les
foules, et parce que cette main montre un chemin qui est
un chemin de tendresse et d'amour, nous pleurons toujours
dans ces Plans lointains, lorsque des êtres se perdent
en s'écartant de ces voies bénies par Celui
qui a donné sa vie, pour que l'amour, éternellement,
fleurisse sur la Terre sans défaillance et sans répit.
Pauvre planète !
Que de trous à ta surface, pauvre Terre perdue !
N'étaient-ils point suffisants, enfants, ces trous
déjà existants dans le sol, ces trous cachés
par une herbe que l'on croyait solide ?
N'étaient-ils point suffisants ces gouffres déjà
existants, ces gouffres creusés par les mains des
Ombres, ces gouffres préparés pour vous faire
chuter lamentablement et tristement ?
Pourquoi, enfants, pourquoi continuer à creuser de
toutes vos forces vives pour, dans une émulation
orgueilleuse, apporter la preuve que, vous aussi, détenez
ce pouvoir de faire quelque chose.
Aplanissez le chemin, ne creusez pas de trous où
des pas mal assurés pourront conduire des êtres
; et cette terre et ces pierres que vous aurez arrachées
des trous, n'en faites pas des monticules sur lesquels iront
buter ceux qui avancent en aveugles en ne sachant où
diriger leurs pas. Ne creusez pas de trous ; essayez au
contraire de reprendre de vos mains tremblantes les matériaux
sordides de ces trous qui ont été creusés
par d'autres, pour, en les accumulant, faire des montagnes
qui pourront permettre à d'autres de quitter ce sol
et cette Terre stagnante pour monter vers les hauteurs vertigineuses
d'autres découvertes, et ainsi accéder à
ces sommets de bonheur et de joie que, seule, la pureté
de l'Infini pourra offrir
L'amour, seul, est le rouleau compresseur le plus puissant
pour niveler les chemins que doivent emprunter les êtres.
Donnez l'amour, et l'être le plus perdu pourra s'épanouir
et vivre
Nous avons trop longtemps entendu résonner des mots
cinglants, des mots de haine, des mots qui détruisaient
des âmes
Nous souhaitons aujourd'hui que ce langage se transforme,
ce langage, mais aussi ces
attitudes.
Nous souhaitons un autre vocabulaire, d'autres élans,
d'autres démarches, d'autres acceptations, d'autres
participations.
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Faites,
enfants, que ces trous que vous avez creusés, soient
très vite -très vite- rebouchés à
force d'offrandes d'amour et de charité.
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Que
la paix et la protection du Seigneur soient sur vous dans
ce chemin douloureux et dans ces épreuves difficiles
qui vont encore être votre lot au fil du temps
Notre main s'est tendue, se tend et se tendra encore pour
accompagner vos pas, et nous gardons l'espoir que ce chemin
que nous venons de vous montrer, vous accepterez définitivement
de le suivre pour aller, pour
courir, libérés
et heureux vers Dieu, vers sa Lumière et vers sa
Gloire
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
Si
je peux aujourd'hui formuler une prière, ce sera
celle de pouvoir, un jour, voir revenir l'amour sur ces
êtres que nous avons bénis, que nous avons
aimés, que nous avons chéris, pour qu'en toute
humilité, ils viennent se prosterner aux pieds de
Dieu qui projette, sur des curs oublieux, les gestes
d'amour et d'attention, et qui ne formule qu'un espoir,
celui de vous voir, enfin, redécouvrir le chemin
de sa Gloire
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
La tempête souffle très fort en ce moment,
enfants, et les troncs orgueilleux qui se dressaient, altiers,
voulant recueillir l'hommage de nos regards, sont là,
gisants comme des statues brisées, sève s'écoulant
de blessures ouvertes comme le sang qui s'échappe
de veines sectionnées
Ils sont là ces troncs orgueilleux, corps étendus,
sans vie, après les promesses d'un printemps qui
les parait de vert
Combien d'êtres, enfants, étaient à
ce printemps de leur vie : promesse d'espoir
promesse
de foi
promesse d'amour
promesse de Vie
Regardez-les, enfants, ces géants superbes que nos
mains ont tant bénis !
Regardez près d'eux ces silhouettes penchées,
ces silhouettes agenouillées, ces silhouettes en
prière au milieu de larmes de souffrance, de larmes
de regret ; silhouettes d'Esprits qui, du fond du Plan Spirituel,
tendaient, instant après instant, la main vers eux
-comme la mère attentive tend les bras pour accompagner
les premiers pas de son bébé- pour les guider,
les aider à avancer de leurs pas un peu chancelants
sur le chemin qui aurait dû les conduire vers Dieu
et sa Lumière
Déception et souffrance pour ces Esprits
Ils demandent : « Pourquoi ?
»
Et dans la conscience de l'échec de leur travail,
ils demandent à Dieu de faire porter sur eux qui
savent maintenant, les erreurs de l'autre, afin que la punition
ne soit pas trop dramatique parce que trop grande
Cependant, si dans un geste d'humilité vous savez
incliner la tête, si vous avez le courage de faire
un pas en avant, si vous avez le courage d'ouvrir une porte
et de vous présenter -de vous agenouiller- devant
ce Plan qui, tant de fois, a tendu des mains d'amour pour
éponger votre peine et essuyer vos larmes, vous pourrez,
parce que ce geste d'humilité sera devenu un geste
d'amour, faire descendre sur vos cieux tourmentés
et noircis les rayons d'une Lumière d'amour qui,
comme un message, apporteront la vie
archange Raphaël
médium : marcelle olivério
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la
prière
selon l'archange Raphaël
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