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Prière… de marcelle [Marie-Madeleine] à Jésus, dictée par l'archange Raphaël.

Seigneur Jésus,
toi qui fixes sur moi, sans cesse, le regard de tes yeux pleins de bonté et d'amour,
toi qui as tendu la main et qui m'as aidé à me relever,
toi qui m'as lavé de mes péchés et qui as ouvert pour moi le chemin de la vie,
prie pour moi et aie pitié de moi.

Intercède auprès de ton divin père pour que ma vie soit tendue vers le seul but de le servir par l'amour qu'il a mis en moi.
Qu'il veuille bien me donner le pouvoir et la puissance d'œuvrer dans sa Lumière, pour autrui ; qu'il me fasse le messager de sa Parole et de sa Vérité afin que je puisse toucher les cœurs.

Fais, mon Dieu, que nous puissions atteindre très vite ce point de vérité où par la fusion des dons que tu as daigné nous offrir, nous pourrons franchir la porte de la connaissance infinie qui nous révélera les vérités que nous devons offrir et les bontés que nous devons dispenser.

Nous nous en remettons à toi, Seigneur, et nous nous inclinons devant ta volonté car toi seul sais, et tes désirs sont des ordres que nous acceptons avec amour.

Garde-nous dans ta Lumière… éclaire-nous… et que ta volonté soit faite.

Merci, mon Dieu, de nous regarder avec amour.

Permets à tes messagers, Esprits de Lumière et de Vérité et à nos Guides, de nous apporter ton Verbe et tes Vérités.
Nous t'en serons infiniment reconnaissants.

Nous gardons ta Lumière et ton Amour en notre cœur et par eux seuls, nous vivrons…

archange Raphaël
médium : marcelle olivério





 


marcelle olivério

sa vie… son œuvre

   

C'est forte de ces notions théoriques que j'ai commencé la mise en pratique de ma médiumnité qui n'avait cessé de s'affirmer et d'évoluer.

Mon évolution médiumnique m'a permis de découvrir ma médiumnité sur différents plans : clairvoyance, clairaudience, puis, étant médium mécanique à effets moraux, la psychographie et l'incorporation, et enfin, la guérison spirituelle qui m'a permis de réaliser, instrument d'un Plan d'intervention sans cesse actif et efficient, ce que l'on pourrait qualifier de "guérisons miracles" : guérison d'une enfant atteinte d'atrésie des voies biliaires… (véritable condamnation à une mort… lente pour un bébé) ; cancer d'un sein : cette personne devait rentrer en clinique le lendemain pour être opérée et un examen préopératoire apporta la preuve que la tumeur avait disparu ; multiples autres guérisons sur des humains, mais guérisons plus spectaculaires encore sur des animaux : cancer de la face d'un chat, hémorragies bloquées, cicatrisations de plaies béantes de manière instantanée ; très spectaculaire guérison d'un pigeon qui avait été pratiquement dévoré par un rat et dont le bréchet était complètement dénudé, etc… La liste de ces guérisons que, sans ma foi et sans ma connaissance de la puissance des Plans et des Guides qui nous assistent je pourrais qualifier de miraculeuses, pourrait être très longue mais quelle importance de détailler tout cela ?…
Malgré ces résultats j'ai été orientée par mon Guide vers une médiumnité de communication qui me démarque de fort nombreux médiums français dont beaucoup font appel à moi pour des conseils de travail et d'évolution mais qui, pour la plupart, font de leur médiumnité - ce que je déplore beaucoup - un moyen de vivre, sans se souvenir que Dieu leur a donné gratuitement des dons pour les redonner gratuitement à leur tour.

J'avais, en qualité de Conseillère spiritualiste, ouvert un cabinet qui avait rencontré auprès de la détresse un immense succès mais les pouvoirs publics m'obligeant à demander des honoraires à mes… "patients", j'ai préféré ne plus recevoir et j'ai fermé ce cabinet continuant toutefois, toujours bénévolement, à aider de mes conseils, ceux qui me sollicitaient.

Je vis donc cette médiumnité orientée vers la communication dans la mission d'aider -je le répète- de façon désintéressée, les êtres désemparés en répondant à leur attente douloureuse et peut-être, plus loin la mission de réhabiliter le Spiritisme trop longtemps et toujours décrié, toujours ramené, rabaissé au seul plan de la nécromancie car -je le répète aussi- méconnu ou plus simplement inconnu.
Il est de fait que les premiers contacts avec un autre monde, démonstration par les faits de la survivance, ont ouvert une porte sur un horizon d'espoir et de consolation dans la découverte d'une autre vie intelligemment agissante. Mais combien peuvent encore se souvenir que le Spiritisme est comme l'exprime le texte de la quatrième couverture de mon livre « Ephphata », la voie par où les inspirations du Monde supérieur descendent sur l'Humanité et partant l'enseignement du Ciel à la Terre parce qu'il nous met en contact avec des Esprits Supérieurs dont les communications initient l'Homme aux lois suprêmes en éclairant les obscurs problèmes de la destinée. En ces temps de quête spiritualiste née des questions que l'être angoissé se pose, cet enseignement lumineux du Ciel à la Terre n'est-il pas la réponse puisqu'il offre des éléments de consolation certes, mais aussi des éléments de réflexion et d'analyse qui permettront à chacun dans les limites de sa propre démarche et de notre propre culture, de comprendre enfin le pourquoi de sa vie et d'affronter plus facilement des épreuves qui ne pourront alors être qu'un tremplin pour, en les dépassant, s'élever plus haut.

Ephphata : « Ouvre-toi ! »
Médium écrivain, j'ai reçu, et continue d'ailleurs de recevoir par écriture automatique et incorporation, des messages de mon guide, l'Archange Raphaël.
Ces messages, j'ai commencé à les publier.
Un premier livre, « Ephphata » paru en 1982 a été réédité.
Les… texte, maquette, titre, de ce livre présentés sous couverture d'un de nos plus grands peintres actuels, Raymond Moretti, sont de conception entièrement médiumnique.
Ephphata est l'ouverture à d'autres vérités…
la redécouverte des valeurs essentielles des vies, l'instrument de l'évolution…
Il est également, de l'avis de tous, particuliers ou journalistes, le livre des réponses car, ouvert au hasard il apporte immanquablement une réponse à une question même informulée…

Un autre livre a suivi ;
« Quand le Ciel parle… » offre aux lecteurs les paroles pleines de tristesse mais aussi pleines de tendresse et d'amour d'un Plan qui ne fait qu'espérer un autre devenir pour une Humanité qui danse trop allégrement sur des volcans.

Puis « Spirite » qui explique le… pourquoi de la vie !


  Ndlr - offerts à votre réflexion, sur le site « Ephphata »
  cliquez sur « retour » et… « le Site »

SOS détresse…

En 1982, j'ai été la première en France à aborder à l'antenne de différentes radios et télés le grave problème du pourquoi de la vie, de la survie de l'Esprit, des rapports avec le monde invisible, réhabilitant ainsi ce Spiritisme définitivement décrié -le temps des grands Maîtres du spiritisme est, hélas, largement révolu… - dans une Société qui ne sait ou… ne veut reconnaître la juste valeur des choses.
Ces émissions ont permis à beaucoup de découvrir la réalité de l'Au-delà, de retrouver, à travers une remise en question, la notion de valeurs morales et spirituelles trop souvent oubliées et plus loin, ont permis à ceux qui s'étaient éloignés de Dieu, car s'étant éloignés de l'Eglise, de redécouvrir la réalité de sa radieuse présence.

SOS suicide…
Les années ont passé, et je continue ce chemin, ayant voué ma vie à cette action qui m'a, de surcroît, permis pendant de longues années, de sauver, avec mon équipe, des milliers de vies à travers l'association « SOS suicide » que, consciente de la souffrance qui suit la mort d'un être désespéré qui interrompt brutalement sa vie, j'avais fondée sur les conseils de mon Guide.
Cette association avait d'autant plus de raisons de naître, qu'il m'avait été donné, au cours des émissions de contact que je faisais en parallèle de mes émissions spiritualistes, de recevoir à l'antenne les témoignages de suicidants rescapés ou de familles de suicidés qui exprimaient leurs regrets de ne pas avoir été informés du suivi dramatique d'un suicide, et qui espéraient que cette action plus élargie dont j'exprimais le projet pourrait commencer très vite pour éviter que d'autres vies s'arrêtent.

Le suicide, cette abomination, ce drame !…
Souvenons-nous que
« le suicide n'est pas abominable parce que Dieu le défend, Dieu le défend parce qu'il est abominable… »

Souffrance d'un Esprit qui se rend compte qu'il a été à l'encontre des vérités, des volontés d'un Dieu qui souhaiterait la conscience profonde des êtres dans l'acceptation du sens des épreuves d'une vie.
Souffrance exprimée dans ce message donné par un garçon de vingt ans qui mit fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête ; souffrance, mais aussi à travers le constat des gestes accomplis, explication de l'attente douloureuse de cet Esprit, mise en garde contre des gestes inconsidérés, supplication pour que s'arrêtent les appels de ses parents car il ne voulait plus entendre ces appels qui se font et qui, au milieu de ses tourments, de ses jours et son temps, ce temps de souffrance infinie que son geste inconsidéré a fait naître, piètre offrande aux promesses d'une vie qu'il a eu tôt fait d'étouffer de ces mains :

« Non, arrêtez !… » dit-il « Cessez !… Vous me torturez !…
Vous me faites revenir sur un passé que je vomis mais vous ne m'avez pas compris quand je lançais mes mots vers vous… Des conseils, vous m'en avez donné mais j'attendais plus de netteté dans la démarche qui m'aurait peut-être permis d'avancer sur ce chemin de vie que je refusais en ne voulant l'affronter…
Arrêtez, arrêtez, je vous en prie, laissez-moi !…
J'ai eu ce défi de me braquer contre la vie, mais j'ai besoin de tant de prières pour enfin retrouver la lumière des jours que je dois affronter pour réparer l'iniquité du geste que j'ai fait, et je ne vois pas arriver le jour ou je serai libéré de cette angoisse qui me torture…
Faites que ce temps ne dure où je vous vois toujours remettre en questions, questionner… demander…

Laissez les morts à leur sommeil quand vous ne savez pas ouvrir les portes de nos plans !
Laissez-nous en paix, ne nous appelez pas sans cesse, ne venez pas relancer toujours cette balle qui sans détour vient frapper nos âmes d'horreur car nous avons compris l'erreur qui a été fatale à nos vies.
Chemins de destins tracés de toute éternité, et nous, nous avons bifurqué sans vouloir regarder la main qui se tendait, qui se tendait pour nous tirer… nous aider… nous montrer une autre voie…
Mais, mais j'ai pleuré tant de fois dans le silence de mes nuits, mais vous ne compreniez pas…
Le poids qui pèse sur une vie est toujours un poids trop lourd et on croit que sans détour, on pourra trouver la paix, mais où est la paix, où est la paix… ?
Souffrances et tourments, regrets et remords et il nous faut avancer encore dans ces plans difficiles où nous nous retrouvons, Esprits d'un même Plan ayant commis les mêmes erreurs, perdus et réunis dans la même douleur et trop souvent dans la même révolte car on en veut à cette porte qui a si vite cédé sous le poids de nos gestes…
Obscurité autour de nos souffrances, gouffre infini et nous n'en n'avons pas fini d'essayer de nous approcher de cette main qui se tend pour apaiser tous nos tourments à travers l'amour offert, et l'élan d'une prière qui sans cesse demande à Dieu le pardon pour ces malheureux qu'elle voudrait voir enfin apaisés.

Non, ne nous appelez plus… et nous vous demandons, même de… fermer votre mémoire au souvenir de notre nom, pour nous donner le temps de nous armer de courage pour ouvrir cette nouvelle page du temps à terminer qu'il nous faudra affronter très vite…

Je parle, je dis, j'exprime… je souffre… je demande et j'exige… mais je le fais avec l'amour immense que je vous portais et je reste, chaque fois qu'il m'est permis de le faire, je reste à vos côtés pour venir puiser un peu de courage… pour, je vous l'ai dit, découvrir cette nouvelle page de cette vie à recommencer ; alors, lorsque je suis, dans ces moments bénis, autorisé à le faire, puis-je espérer n'entendre que des paroles d'amour, des paroles de compréhension qui me donneraient la force et la volonté de cette nouvelle résolution à prendre pour accomplir ce que je dois…

Ne pleurez plus les erreurs passées ô vous que j'aime…
Lorsqu'on arrive au mot… "fin" au terme d'un ouvrage, il faut refermer ces pages et poser le livre que l'on a tant aimé, en le gardant, c'est vrai, de côté, pour le retrouver à son gré au courant du flot des souvenirs qui s'égrènent et défilent, des souvenirs des moments de bonheur, mais pas les souvenirs des moments d'erreurs qui pourraient assombrir ce ciel que nous voudrions voir toujours rempli de clarté…

Ah ! Comme nous aspirons à cette lumière dans nos fonds d'obscurité ! Ne commettez jamais un suicide, ô vous que j'aime !… Mon expérience et mon épreuve vous préservent de tout geste inconsidéré !…Souvenez-vous que j'aurais exprimé la réalité de mes instants, et si trop de souffrance vous écrase cependant, sachez que près de vous des mains se tendent et que l'amour infini de Dieu a permis pour ces malheureux la présence de guides aimants, ou d'êtres chargés de missions, qui en vous appelant aussi « enfants », pourront vous prendre par la main pour vous conduire par un autre chemin, aux bonheurs accomplis… et vous accepterez cette vie dont vous êtes signataires…

Voilà, je parle à une mère, à un père, mais je m'adresse aussi cependant à tous ces amis présents pour demander que des prières montent pour ces êtres inconnus qui attendent, comme on attend au coin d'une rue, pour apercevoir un passant qui pourra, en souriant, lancer un mot d'amour vers lui, vers ce paria ébloui qui comprendra alors que même si dans son Plan, il fait très noir, dehors il y a quelque part des êtres pleins d'amour qui pourront encore et toujours lancer ce rayon d'espoir ; et c'est fort de cet espoir qu'il pourra un jour, à travers peut-être, beaucoup de travail et peut-être encore beaucoup de souffrance, trouver très vite le chemin montant qui le conduira cette fois repentant, ébloui, et heureux, vers Dieu et vers sa Gloire… »

A condition de ne pas les juger pour leur geste difficile, on peut aider les Esprits qui ont coupé le fil de leur vie, en priant pour eux… [Prières]

« SOS suicide » a permis, pendant des années, une action nationale : plus de 44 000 interventions téléphoniques par an… un standard aux lignes multiples où une équipe de soixante à soixante-quinze bénévoles répondait 24h/24 aux appels désespérés, et pour la première fois en France, un numéro vert national à la disposition des proches des désemparés qui appelaient pour nous donner les coordonnées de ceux qui, près d'eux, étaient en train de sombrer et qu'aucune intervention familiale, amicale, ou thérapeutique ne pouvait rattraper.

 
médium…
 


 

 
    C'est ainsi que nous jetions sur le gouffre du désespoir, la passerelle qui nous permettait de franchir les distances pour forcer le barrage du silence destructeur, et plonger au cœur des drames. Alors pouvait commencer ce dantesque combat contre la mort, qui exigeait non seulement un accompagnement, mais aussi la perception de l'élément générateur du drame qui se jouait. Découverte indispensable, car tout drame a ses causes et nul ne peut aider si les difficultés d'un chemin ne sont pas aplanies.
Pour ce faire, nous intervenions auprès des personnes, administrations, organismes concernés ou compétents pour apporter une solution aux problèmes.

Sauver des corps est important mais insuffisant.
Lorsque les suicidants rescapés de la mort quittent un hôpital après avoir été - quelquefois durement - récupérés, ils se retrouvent face à leurs problèmes restés pendants durant le temps de leur hospitalisation. Comment alors recommencer à les affronter lorsqu'on se sent culpabilisé, dévalorisé par ce nouveau constat d'échec de sa vie : le ratage de sa propre mort !…
Il faut que le terrain soit aplani pour que les pas encore chancelants d'un être puissent le porter vers d'autres espoirs. S'il ne l'est pas, l'être écrasé par le poids trop lourd d'une vie qu'il ne peut plus assumer, se laissera de nouveau dominer par son désir de mort, mort qu'il concrétisera trop souvent avec les drogues que les ordonnances des médecins et psychiatres mettent en trop grand nombre à sa portée.

« SOS suicide » était le bout du chemin pour tant de désemparés, mais l'indélicatesse d'une association politisée [Phénix à Paris], sans scrupule, présidée par un homme de… "pouvoir" -comme il se plaisait à l'affirmer- qui a pris indûment notre dénomination pour bénéficier de sa notoriété, m'a amenée, à cause de confusions préjudiciables à la souffrance, à devoir interrompre -la mort dans l'âme- cette action pourtant unique dans sa forme et sa valeur car au terme d'un procès inique, cette association accepta de ne plus utiliser notre nom, mais demanda au Tribunal, qui nous avait, en dépit des preuves de notoriété fournies, et d'un dépôt payant du nom de l'association à l'I.N.P.I. « dénié le monopole d'un sigle composé des noms communs "SOS" et "suicide" que nous n'avions pas inventés » (dixit le Président du Tribunal de Paris), [N.d.l.r. - Que dire de « SOS amitiés », « SOS Drogue », « SOS Médecins », « SOS psychiatrie », « SOS attentats » etc… etc… etc…] de reconnaître, en fonction justement de la valeur d'espoir que représentaient maintenant ces mots « SOS suicide » comme un vocable générique de toute action engagée face au suicide et à la souffrance. Ce qui revient à dire que cette dénomination, pouvant être utilisée par n'importe qui en y adjoignant un mot quelconque, nous aurions été obligés, notre notoriété étant telle que seul « SOS suicide » restait dans les mémoires, d'assumer la paternité de gestes qui auraient pu se faire dans une autre éthique que la nôtre, car la souffrance est un terrain de chasse accessible aux sectes, certes, mais aussi aux interventions vénales de thérapeutes qui, après la gratuité des premiers contacts, auraient pu rabattre ces désespérés vers des cabinets de groupe qui ne seraient intervenus que moyennant finances, en renouant avec le circuit lourd et dommageable des surcharges médicamenteuses ou des interventions psychiatriques…

Si l'on pouvait comprendre et se souvenir que le suicide est un problème d'Esprit et non de cerveau !…

 

 

 

     
SOS suicide…