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Les Humains sont ainsi faits
Dieu
Le Ciel pleure
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Spirite
Visa
pour l'Au-delà
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Il
est un toujours dérangeant de côtoyer sans
cesse des éléments de valeur
Comme
l'amour et la haine se côtoient, la tristesse et la
joie s'interpénètrent, et l'oubli est la faculté
que l'humain veut garder précieusement par-devers
lui pour se permettre de ne plus penser à ce qu'il
devrait être, à ce qu'il devrait accomplir,
aux gestes qu'il devrait avoir.
L'humain est ainsi fait qu'il ne veut pas voir projeter
la Lumière sur ses propres gestes et sur ces propres
fonds car il est difficile, ô combien difficile, de
pouvoir se voir tel que l'on est quand on veut s'imposer
aux autres paré de toutes les vertus
Et par
cela même, les Humains deviennent oublieux de tout
ce qui leur est donné et qu'ils acceptent volontiers
-qu'ils exigent même trop souvent car tout devient
un dû- et il suffit qu'il y ait un problème,
une épreuve, la souffrance, un drame pour que l'on
dise :
« Seigneur, Seigneur, ne peux-tu tendre la main vers
moi ? Pourquoi m'abandonnes-tu ? Mais il faut que tu m'aides
maintenant à dépasser tout ceci parce que
mon épreuve doit se terminer, parce que je veux retrouver
la joie et le plaisir de la vie, de la vie facile que les
Humains mènent. C'en est trop, et je ne veux que
cela continue
» et l'on attend avec impatience
que Dieu tende la main et d'un geste du doigt, fasse le
miracle qui va tout effacer alors qu'on serre au fond de
soi tant d'éléments de turpitude, d'iniquité,
de crasse la plupart du temps, d'abjection trop souvent
et on exige, et on demande, et on demande, et on exige,
et on attend, et on espère
et si le miracle
ne s'accomplit pas, l'humain désemparé rue
dans les brancards, se révolte et se cabre dans le
défi, la provocation, la haine, la violence
Ah
! enfants, quelle tristesse dans nos curs dans ces
moments ou nous constatons ces gestes que nous avons tant
de fois voulu apaiser et effacer de vous.
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Vous vous trouvez face à la Lumière qui
vous inonde et réchauffe vos âmes, éclaire
vos chemins, cette Lumière que nous vous offrons
sans cesse et sans discontinuer comme le cadeau le plus
merveilleux car lumière de Vie
Lumière
d'Amour
Lumière d'Espoir
Lumière
venue de fonds de pureté qui sans cesse, sans cesse,
la déverse à flots sur une humanité
que nous voyons flotter indifférente et souvent
pleine de violence, sur une humanité que nous aurions
tant voulu voir arriver
à des points de valeur,
à des points de grandeur qui auraient été
pour nos curs, des éléments de bonheur
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Nous
pleurons
nous pleurons sans cesse, enfants
Sans cesse nous tendons la main pour arrêter
sur des chemins trop difficiles, trop rocailleux, des pas
pressés, des êtres qui pirouettent, qui pirouettent
sans cesse, inlassablement portés par le tourbillon
des Ombres.
Il est dans l'Infini, enfants, des cercles qui tournent
et tournoient, symboles de ces vies qui sans cesse se côtoient,
qui pourraient être des échanges d'amour puissants
et vrais ; mais, enfants, enfants que nous aimons, où
sont ces élans ?
Pourquoi enfants, tant de
curiosité dans vos âmes ?
Vous ne regardez pas la flamme que nous avons offerte à
vos vies mais vous cherchez toujours à comprendre,
à analyser, à savoir, et la question est posée
-nous l'entendons sans cesse- lorsque des messagers que
nous vous adressons se présentent dans ces Centres
pour venir vous offrir une moisson d'amour. Combien de fois
ces questions fusent-elles :
« Mais qui es-tu ?
Quel est ton nom ?
Mais pourquoi viens-tu t'adresser à nous ?
Ne peux-tu faire bouger ce verre ?
Quand donc aurons-nous un apport de fleur pour embellir
nos heures ?
»
Comme dans ces Centres où Dieu est présent,
dans la vie, face à des envoyés de Dieu, face
à la Lumière que nous vous offrons, les questions
continuent à fuser, indiscrètes, analysant,
grattant, disséquant !
Mais non, enfant, mais non !
Où est la vérité des masses ?
Vous cherchez vite une place en vous blottissant à
nos pieds lorsque le drame couve et lorsque les nuages s'amoncellent,
lorsque l'horizon s'obscurcit, lorsque les vies sont menacées.
Mais enfants, lorsqu'on s'est incliné devant Dieu
pour appeler encore et toujours pour que sa main se tende
en offrant l'amour, pourquoi souiller ces places qui sont
devenues les vôtres en essayant d'ouvrir instant après
instant, porte après porte, ce Plan que vous ne pouvez
pénétrer ? Trop lointains de nos vérités,
il vous faudra encore avancer par pas, puis par bonds pour
pouvoir franchir ces distances qui vous séparent
de nos Plans
Ah !
Mais savez-vous quelle est votre chance d'avoir
reçu tant d'attention ?
Les heures passent, les jours s'écoulent, les ans
s'envolent
la Terre tourbillonnante dans une folie
ignoble continue dans les sarcasmes, les rires et les fantasmes,
cette course qui ne la conduira pas à l'Eternité
Non, enfants, non
Un enfant que nous aimons rappelait, il y a un instant,
que le cercle se bouclait à travers l'éternité
de tant d'absence, et de tant de silence
Silence jamais
pourtant, enfants, car nous étions toujours présents
pour parler à vos curs, à vos âmes,
pour ranimer toutes ces flammes qu'avec rage, violence,
vous éteigniez chaque fois que nous les avions rallumées
par un souffle d'amour, un souffle de tendresse. Vous avez
repoussé nos caresses, vous avez craché sur
nos pieds quand nous arrivions trop pressés de venir
vous entourer d'amour, de tendresse, de bonté pour
vous offrir la vérité de moments inexprimables.
Vous avez nettoyé la table de ces offrandes et de
ces dons, mais avez-vous jamais su prononcer le mot :
pardon, au regard de ce Dieu qui malheureux se penche
?
Combien d'entre vous ont compris, enfants que nous avons
chéris ?
Combien ?
Dans ces murs, des êtres qui, pour la première
fois, approchent ces contacts avec nous, des êtres
qui sont tombés à genoux pour attendre que
notre main se tende. Sachez, enfants que ce que nous exprimons,
nous l'exprimons pour vous également. Sachez, enfants,
que dans ces murs, vous êtes tous au même Plan
: que l'erreur de l'un un jour, sera celle de l'autre un
autre jour ; que les fantasmes accomplis de l'un ont été
ou seront les phantasmes de l'autre ; que la curiosité
des uns a été la curiosité des autres
ou sera celle de demain car vous en aurez toujours besoin
et vous aurez toujours faim de ces éléments
qui vous font vibrer d'une curiosité malsaine et
inacceptable
Combien de fois, enfants, Dieu est-il venu dans vos vies
pour essayer de comprendre ce qui se passait sous vos lits,
dans les endroits les plus cachés, les plus secrets
de vos décors ?
A-t-il eu besoin, alors, de
savoir si vous valiez la peine qu'il tende la main pour
vous montrer les chemins ou pour briser chacune de vos chaînes
?
Non, enfants, non !
Présent sans cesse, sans attente, sans espoir, même
si son cur vibrait d'une impatience fébrile
à vous voir avancer sur un chemin moins vil, Il était
là toujours bras ouverts, cur aimant, et Il
appelait ses enfants qu'Il voyait tant souffrir, pour leur
offrir le plus doux des sourires dans une étreinte
chaleureuse et aimante !
Il en avait fait pousser des plantes merveilleuses sur vos
chemins, enfants, mais
mais
Regardez dans ces lointains, enfants
Contemplez le
chemin parcouru : chemin humain comme chemin spirituel,
chemin ancien, chemin nouveau
Retournez-vous, enfants, et regardez à nouveau l'horizon
que vous avez laissé derrière vous : y a-t-il
des fleurs partout, enfants ?
Tant de graines avaient
été semées et tant de graines commencent
à être semées dans ces âmes que
nous accueillons, mais, enfants, pourquoi toujours, avec
des gestes fébriles, piler, broyer, saccager, étouffer
au lieu d'entourer, de préserver, d'arroser, de
garder ; d'arroser, enfants, d'arroser, d'arroser avec les
élans de votre amour, avec, peut-être, ces
larmes qu'un jour vous découvrirez de bonheur ; mais
de larmes aujourd'hui, il n'y a que celle de nos curs,
de notre attente, de notre espoir, et, je dois le dire,
larmes d'espoir, mais larmes de
désespoir devant
les constats accomplis.
Une Humanité qui nous désespère car,
à travers quelles prières, enfants, allons-nous
pouvoir lancer vers vous ces appels à plus de valeur
?
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Spirite
Visa pour l'Au-delà
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Où
pouvez-vous trouver le bonheur, enfants, dans les gestes
que vous faites ?
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Est-ce
réellement une fête pour vous ces moments de
retrouvailles ?
Y a-t-il seulement dans vos curs ces sentiments de
bonheur de retrouver ces Invisibles qui, pourtant, présents
sans cesse, souhaitent pour vous une vie paisible, une vie
de bonheur remplie de promesses.
Y a-t-il une réelle attente ?
Vous préparez-vous, enfants, à ces instants
de communion avec nos Plans lointains ?
Ah ! enfants, nous accompagnons vos pas et nous voyons chaque
fois les mêmes gestes désinvoltes : la réunion
approche et on est fébrile : que va-t-il se passer
? que va-t-on entendre ? que va-t-on pouvoir tirer de tout
cela ?
mais
mais !
Nous pourrions compter sur nos doigts ceux qui réellement
se préparent, s'impatientent car leur âme est
toute ardente de retrouver ces moments où, réunis
dans un élan, nos deux plans vont fusionner
Nous pourrions compter sur nos doigts ceux qui ont répété
tant de fois : « Seigneur, mais Seigneur, quelle est
ma joie de retrouver ces instants !
Ai-je assez nettoyé
mon âme ?
Ai-je assez ranimé cette flamme
que j'avais laissée éteindre il y a si longtemps
ou ai-je compris qu'il fallait allumer cette flamme pour
t'apporter la preuve, Seigneur, de l'amour qui montait vers
toi pour t'offrir la chaleur de mon cur aimant, de
mon respect, de ma tendresse
? »
Ah, enfants, ah, enfants !
S i
l'amour porte, il y a d'autres points de détresse
et ces êtres que nous voyons insolents et mauvais,
curieux, menteurs, déchaînés, pirouettant
sans cesse sur des sables mouvants, bravant et bravant encore
en levant le menton, quand nous les voyons ensuite s'incliner
en se présentant en disant : « Je suis ton
enfant, tu dois continuer à m'aider, à m'aimer,
à me porter
Oui je suis là devant toi,
Seigneur, oui, je te brave car je suis en fureur et rien
jamais ne me fera arrêter, et je ne baisserai jamais
la tête devant tes volontés car ma volonté
seule me guide !
»
Ah, quand nous voyons ces enfants venir ensuite tout
repentants, quand nous sondons le fond des âmes, quand
nous voyons vaciller ces flammes qu'avec amour nous préservions,
mais quelle tristesse, enfants !
Regardez la plage de vos vies, enfants, regardez, regardez
et regardez encore car elle est loin d'être le décor
des beautés accomplies
La mer sans arrêt vient lécher ce sable où
nous aurions souhaité voir de toute éternité,
des pas s'imprimer, des pas qui couraient vers ce point
de lumière que nous offrions à vos prières
pour vous apporter la clarté, pour vous apporter
la beauté, pour vous remplir de notre bonté
; mais, regardez-la la plage de vos vies, enfants !
La mer, sans arrêt, vient rouler sa lame et elle a
éteint ces flammes en déposant force galets,
force déchets, les déchets de ces palais qu'avec
amour nous avions bâtis pour embellir toutes vos vies.
Vous sautez allégrement, enfants, au milieu de ces
excréments et vous pensez avoir trouvé la
vie ; vous courez et vos pas s'enfoncent dans ce sable humide
où plus rien n'est resté qu'un peu de mousse
abandonnée, arrachée à la crête
des lames, et nous, au-dessus de vous, laissons couler nos
larmes car si vous pouviez regarder encore, vous apercevriez
alors le nombre de fois où vos pas insouciants ont
été effacés du sable et vous ne verriez
plus que la trace de deux pas lourdement imprimés
car Dieu vous avait tant porté
Mais comme l'enfant qui s'arrache à l'étreinte
trop solide, au baiser qui l'embête, car il a autre
chose en tête que de se laisser cajoler, vous vous
arrachez à nos bras et vous accélérez
le pas pour bien nous faire comprendre que vous pouvez partir
sans attendre et braver vos destinées, des destinées
qu'hélas vous construisez, enfants, avec des matériaux
qui ne défieront jamais le temps
Si je m'exprime ainsi aujourd'hui, enfants, c'est que, au
moment de ces retrouvailles, il est important que se fasse
ce point qui ne laissera aucune ombre sur ces engagements
que vous avez peut-être pris allégrement, comme
cela, d'un élan, en voulant venir vers nos Plans
; mais, enfants, sachez que ces moments de communion ne
doivent être souillés par rien
Dans un pays lointain que nous bénissons, [le Brésil]
comme à travers le travail de celle que nous aimons
[la médium], se faisaient ces moments d'attention,
ces passes de dégagement données, offertes
à ceux qui venaient le demander avant justement ces
moments de rencontres. Purifiés, nettoyés,
dégagés, les êtres vidés de leurs
éléments de stress, de leurs éléments
de haine, pouvaient se présenter à nous un
peu plus propres, un peu plus vrais, ayant retrouvé
le sens de ces vérités qui ne devraient être
que le pain de vos vies.
Quel est celui de vous, enfants, qui, dans l'attente de
ces moments qui commenceront bien plus tard, quel est celui
de vous, enfants, qui aura eu ce geste, justement, de commencer
à nettoyer son âme pour se présenter
moins impur et plus vrai devant nos regards atterrés
?
Oui, enfants, la joie et la tristesse s'imbriquent et s'interpénètrent,
et lorsque nous ouvrons une fenêtre, nous avons toujours
l'espoir de pouvoir apercevoir une toile d'une beauté
sublime où l'élan de chacun aurait pu apporter
cette touche de lumière sur un pastel déjà
délicat que vous auriez refait, c'est vrai, tant
de fois, pour ne pas oublier le petit temple de l'amour
ailé, le jet d'eau qui continue à gicler dans
la vasque en répandant alentour la fraîcheur
de ses gouttes ; l'herbe si verte que le pas aurait envie
de la fouler, les arbres dont les branches s'inclinent et
dont les feuilles pourraient bruisser doucement au gré
du doux zéphyr ; les oiseaux qui chantent et qui,
à gorges déployées, lancent vers le
Créateur la tendresse et le merci de leurs curs
Nous espérons toujours découvrir cette uvre
d'amour en ouvrant toutes grandes nos fenêtres ; mais,
enfants, quelle palette triste et sombre !
Les roses,
les jaunes, l'or, l'argent, le turquoise, le blanc
le blanc, enfants, tout a été remplacé
par des teintes plus sombres, et nous avons beau vous appeler,
vous dire :
« Mais non, enfant chéri, il faut que
tu retires toutes ces teintes de mort
remplace donc
le noir par une touche d'or, enfant que nous aimons
», vous nous regardez en dressant le menton, et la
touche de noir devient plus intense
Je crois qu'il faudrait qu'on y pense à ces gestes
accomplis.
Vous voulez aller sur le chemin de la spiritualité,
de la lumière, mais enfants, lorsque le fardeau trop
lourd des erreurs accomplies, des engagements négatifs
trop pris va peser trop lourd sur vos épaules, comment
pourrez-vous avancer pour aller d'un pas plus pressé
vers Dieu qui vous regarde et qui pleure, et qui du fond
de son cur lance vers vous avec tendresse, la plus
douce des caresses comme on offrirait une fleur
Notre joie est immense, enfants, de vous voir venir vers
nous, mais sachez que c'est nous qui sommes à genoux
pour vous prier et vous prier encore de faire un peu plus
d'efforts pour arriver à cet horizon que nous avons
offert à vos vux, pour vous demander encore
de nettoyer vos fonds profonds ; nous, qui sommes à
genoux pour vous demander d'écarter de vous ces éléments
d'indifférence et de trop grande confiance que vous
avez dans ces fonds qui ne sont remplis que de tourments
car quelle est la teinte de ces fonds, enfants ?
Vous avez paré vos visages, car vous voulez paraître
plus sages, plus beaux, plus purs et plus vrais, mais
mais enfants
le regard de Dieu va plus loin que la
façade : il pénètre jusqu'au tréfonds
des âmes et nous tremblons souvent, enfants, du fond
de notre désespoir, car en plongeant dans les tréfonds,
nous n'y trouvons que du noir
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Et
le Ciel pleure, enfants, le Ciel pleure !
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Larmes
de joie pour ces retrouvailles, pour cette porte qui de
nouveau s'est ouverte sur un destin que nous voulons chantant,
mais larmes de tristesse ô combien ! Larmes de tristesse
sans cesse versées, sans cesse dispensées
car nos curs déchirés ne peuvent que
pleurer, pleurer et néanmoins espérer qu'une
porte enfin s'ouvre pour laisser pénétrer
jusqu'à vos Plans ternis, cette Lumière d'Amour
que nous braquons toujours pour illuminer vos jours
Combien, combien d'attente, combien d'attente !
évitez
de glisser sur la pente des jours trop assombris par des
gestes difficiles. Nous gardons l'espoir qu'au fil des jours,
au fils des soirs, vous pourrez analyser et comprendre,
et que vous irez sans attendre sur ce chemin montant que
nous montrons à votre attente. Nous gardons toujours
l'espoir que vous pourrez comprendre
et qu'un jour,
vous nous donnerez la joie de visages épanouis dans
l'amour.
Nous gardons toujours l'espoir que vos gestes difficiles
pourront être écartés de vos vies, et
notre attente est puissante, puissante et notre souffrance
est lancinante lorsque nos voix sont étouffées
par vos réactions de brutalité
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Spirite
Visa
pour l'Au-delà
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L'amour
!
l'amour
l'amour de Dieu toujours présent,
l'amour de Dieu toujours offert à ces enfants qui pourtant
ricanent et se gaussent
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Nous semons largement, nous vous couvrons de bénédictions,
nous vous entourons de tendresse et à travers nos
plus belles prières, nous avons à cur
de vous offrir la bannière de l'espoir et de la vie,
la bannière de lendemains chantants, la bannière
d'un amour qui, flottant sur une Humanité enfin assagie,
pourra être le symbole d'une nouvelle vie, une vie
remplie de bonheur et de joie, et c'est sans fin que nous
avons l'espoir que vous pourrez comprendre à quel
point il est important de devenir dignes pour pouvoir espérer
mériter sa Gloire
Une larme, enfants, n'est rien, mais pouvez-vous savoir
quel fleuve impétueux
les larmes qui coulent
de nos yeux, pourrait faire déferler sur la Terre
alors, vous seriez en prières pour demander à
Dieu qu'Il ouvre à vos regards l'horizon merveilleux
d'un ciel redevenu bleu car aucun nuage ne l'assombrira
Car, enfants, les larmes de Dieu ont coulé longtemps
sur une Terre qui, hélas, ne rendra pas d'échos
et l'immensité de sa Gloire continuera encore longtemps
à être assombrie par le noir d'actions
que nous blâmons.
Puisse le flot de ces larmes cesser un jour de s'écouler,
et puissiez-vous, enfants que nous aimons, trouver très
vite la solution qui vous apportera la clé qui, seule,
pourra ouvrir à votre espoir, la porte qui conduit
au chemin qui vous mènera à sa Gloire
message
reçu par incorporation
de l'archange Raphaël
médium : marcelle olivério
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Spirite
Visa
pour l'Au-delà
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